Message de Sainte Marie a Vassula qui reçoit des locutions depuis 1985 :

« …Tout comme Je suis apparue à Lourdes et à Fatima, Je suis pareillement apparue à Garabandal, donnant un Message semblable ; Garabandal est la suite du Message de Fatima ; mais, une fois de plus, Satan a jeté de la poussière dans les yeux des autorités ecclésiastiques pour les mettre dans la confusion ; il a semé ses semences dans leur cœur 4 afin qu’elles nient Mes apparitions et empêchent Mon Message de devenir universel ; Vassula, Nos Cœurs saignent, blessés par les épines qui ont été enfoncées en Eux ; comme Je pleure sur vous, enfants ! Je t’aime, Vassula ; Mon Cœur blessé Se lacère de vous voir balayés par la queue du dragon !

…Oui, Ma Vassula, Je suis blessée par l’erreur répétée que commettent les autorités ecclésiastiques en rejetant Mon message de Garabandal ; Garabandal est l’amplification du message de Fatima »

26 janvier 1988 Source 

Garabandal est un village perdu des montagnes Cantabriques, à 80 km au sud de Santander et à 40 km de Torrelavega. C’est un village de 270 montagnards à la vie rude. Ils sont pauvres mais d’une piété exemplaire. Ils ont été douloureusement éprouvés par les Rouges au temps de la guerre civile, « la Croisade », et ils se le rappellent fort bien. Le 18 juin 1961, l’Archange Saint Michel, qui semble avoir neuf ans, apparaît à quatre petites filles qui, elles, en ont douze ou onze: Conchita, Jacinta, Loli et Mari-Cruz. Il annonce la venue de Notre Dame du Carmel pour le 2 juillet suivant. Et ce 2 juillet 1961, Notre Dame ne manque pas au rendez-vous. Robe blanche, manteau bleu, scapulaire au poignet droit, cheveux châtain foncé, figure allongée, bouche délicate – qui « est très belle », insiste Conchita – la voix très belle aussi, inimitable même, aucune femme ne lui ressemble ni dans la voix, ni dans le visage, ni en rien; elle paraît avoir dix-huit ans. Quelquefois, elle porte l’Enfant-Jésus dans ses bras. Les extases des enfants, individuelles ou collectives, se multiplieront plus d’un millier de fois, jusqu’au 20 janvier 1963. Souvent elles seront annoncées plusieurs jours à l’avance. Saint Michel préparera les « voyantes » à recevoir dignement la Sainte Communion; puis il la leur apportera dans un ciboire d’or, comme aux trois enfants de Fatima.

La Sainte Hostie sera toujours invisible aux yeux des enquêteurs sauf dans la nuit du 18 au 19 juillet 1962, où, devant de nombreux témoins, l’Hostie deviendra visible sur la langue de Conchita pendant trois minutes. Ce miracle, d’ailleurs annoncé publiquement quinze jours avant, demeure un des grands événements historiques de Garabandal, et l’un des arguments essentiels des défenseurs des apparitions.

Un premier MESSAGE de la Vierge, annoncé d’avance lui aussi, fut donné le 18 octobre 1961 :
« Il faut faire beaucoup de sacrifices, faire beaucoup pénitence. Visiter souvent le Saint-Sacrement. Mais avant tout, il faut être très bons. Si nous ne le faisons pas, viendra un châtiment . Déjà la coupe est en train de se remplir : Si nous ne changeons pas, le châtiment sera très grand. »

Après le 20 janvier 1963, seule Conchita eut encore des extases publiques, particulièrement le 8 décembre, fête de l’Immaculée Conception dont elle porte en réalité le nom. Conchita n’est en effet que le diminutif espagnol de Marie de la Conception.

Ces apparitions furent très importantes, surtout celle du 8 décembre 1964. Ce jour-là, Notre Dame du Carmel lui annonça que le 18 juin 1965, elle reverrait Saint Michel. Cette annonce prophétique, datant de plus de six mois, se réalisa à la lettre. Et ce fut le deuxième MESSAGE donné par l’intermédiaire du Grand Archange, Saint Michel. « Comme on n’a pas accompli, et comme on n’a pas fait connaître beaucoup au monde mon Message du 18 octobre, Je veux vous dire que celui-ci est le dernier. Auparavant la coupe (de la Colère divine) se remplissait; maintenant, elle déborde. Les Cardinaux, Évêques et Prêtres marchent nombreux sur le chemin de la perdition et entraînent avec eux beaucoup plus d’âmes. A l’Eucharistie, on donne sans cesse moins d’importance. Vous devez, avec vos efforts, éviter la colère du Bon Dieu, qui pèse sur Vous. Si vous Lui demandez pardon, avec des âmes sincères, II vous pardonnera. Moi, votre Mère, à l’intercession et par l’intermédiaire de Saint Michel, Je veux vous dire que vous vous amendiez. Déjà, vous êtes dans les derniers avertissements. Je vous aime beaucoup et Je ne veux pas votre condamnation. Priez-Nous sincèrement, et Nous vous exaucerons. Vous devez vous sacrifier davantage. Méditez la Passion de Jésus. »


La dernière apparition eut lieux aux Pins, à la sortie du village, le 13 novembre 1965. C’est à cette occasion, qu’au cours d’une conversation extrêmement émouvante pour nous, notre Mère du Ciel dit à Conchita les paroles que voici :
« Parle-moi donc de mes enfants de la Terre. Je les aime tant, Je les garde sous mon manteau. »

 

Si, de 1962 à 1970, les évêques de Santander « n’ont pas admis le caractère surnaturel des événements », le 21 décembre 1977, l’évêque actuel s’est déclaré ouvert, désirant faire procéder à l’examen des faits par une commission romano-santandérine; sa création est encore considérée comme inopportune, à cause de certaines réactions…

Rome, cependant, suit l’affaire de très près.
« … Nous faisons remarquer que nous n’avons trouvé aucun motif de censure ecclésiastique portant à condamnation, ni dans la doctrine, ni dans les recommandations spirituelles que l’on a divulguées à l’occasion des Faits de Garabandal, en tant qu’adressées à des fidèles chrétiens; d’autant plus qu’elles contiennent une exhortation à la prière et au sacrifice, à la dévotion eucharistique, au culte de Notre Dame sous des formes traditionnellement louables, et à la sainte crainte de Dieu offensé par nos péchés. Elles rappellent simplement la doctrine ordinaire de l’Église en cette matière. Nous admettons la bonne foi et la ferveur religieuse des personnes qui accourent à Saint Sébastien de Garabandal, et qui méritent le plus profond respect… »
De Santander, le 8 juillet 1965 Eugenio, évêque, adm. apost. de Santander

CONCLUSION

« VEILLEZ, CAR VOUS NE SAVEZ NI LE JOUR NI L’HEURE » (Matt. 25,19). Garabandal est, sans conteste, la continuation et l’amplification de Fatima. Nous dirons même : il est l’annonce de la réalisation du message de Fatima, dont le cardinal Ottaviani – au courant du Secret de Fatima – disait, le 11 février 1967:
« Le message de Fatima est avant tout un message de confiance et d’espérance, s’il est aussi une prophétie de calamités méritées par les péchés des hommes. »
C’est pourquoi, nous pouvons considérer l’Avertissement de Garabandal comme un nouveau signe de la Miséricorde infinie de Dieu, notre Père.

C’est pourquoi, mépriser l’Avertissement de Garabandal, début et élément essentiel du Message, comme nous avons méprisé le message de Fatima, c’est encourir une terrible responsabilité: celle des innombrables morts que causera le Châtiment prédit à Garabandal.

C’est pourquoi, il nous parait évident que NOUS DEVONS NOUS PRÉPARER et AIDER LES AUTRES A SE PRÉPARER à ces événements, l’Avertissement en particulier. IL NOUS FAUT donc le « CRIER SUR LES TOITS », « à pleins poumons », nuit et jour: c’est le désir formel de la Sainte Vierge – et secouer ainsi l’univers, englué dans son péché, avant qu’il ne soit trop tard !
« Je te bénis, Père, Seigneur du ciel et de la terre, parce que tu as caché ces choses aux savants et aux intelligents, et que tu les as révélées aux petits. Oui, Père! parce que tel a été ton bon plaisir. » (Luc 10,21)

1. – L’AVERTISSEMENT, dont Conchita eut connaissance par la Très Sainte Vierge, le 1er janvier 1965. Elle le transcrivit au crayon sur une simple feuille de papier et le remit au Père Laffineur, dominicain, l’apôtre éclairé et infatigable de Garabandal, le 19 juin 1965 :
« C’est comme un châtiment. Pour rapprocher davantage les bons de Dieu, et pour avertir les autres. En quoi consiste l’Avertissement, je ne puis le révéler. La Vierge ne m’a pas dit de le dire. Ni rien de plus. Dieu voudrait que, grâce à cet Avertissement, nous nous amendions, et que nous commettions moins de péchés contre Lui. »
Comme le P. Laffineur demandait à Conchita si cet Avertissement causerait la mort, elle écrivit en note :
« Si nous en mourons, cela ne sera pas le fait de l’Avertissement lui-même, mais bien de l’émotion – « de la peur » – que nous ressentirons, en voyant et en sentant l’Avertissement. »
Le 13 septembre 1965, Conchita disait à une jeune fille du nom d’Angelita :
« Si je ne connaissais pas l’autre châtiment qui doit venir, je dirais qu’il n’y a pas de plus grand châtiment, que l’Avertissement. »
Conchita précisera, le l4 septembre 1965 :
« L’Avertissement est une chose venant directement de Dieu. IL SERA VISIBLE PAR LE MONDE ENTIER, QUEL QUE SOIT L’ENDROIT OU L’ON SE TROUVERA, où chacun sera. « Il sera comme la révélation (intérieure à chacun de nous) de nos péchés. Les croyants aussi bien que les incroyants – « de n’importe quel pays » – les verront et les ressentiront. »
Et, le 22 octobre, elle disait à une dame espagnole :
« Ce sera comme du feu. Il ne brûlera pas notre chair, mais nous le ressentirons corporellement et intérieurement… Personne n’y échappera… Mais après l’Avertissement, tu aimeras beaucoup plus le Bon Dieu. »
Les éléments visibles extérieurs permettant à notre âme de se trouver dégagée de son voile corporel et charnel, l’Avertissement sera, dans la Lumière proprement divine: la connaissance individuelle, personnelle et surnaturelle, de l’état de notre âme, et la compréhension réelle des conséquences de nos péchés vis-à-vis de Dieu… ; une sorte de « Jugement particulier » nous permettant de nous purifier, de nous convertir et, par suite, d’aimer « beaucoup plus le Bon Dieu ». « Et le Miracle ne tardera pas à venir ». L’Avertissement – « il durera très peu de temps » – arrivera avant le Miracle: « pour que le monde s’améliore » et « pour nous purifier pour le Miracle ».

2. – LE MIRACLE, lui, doit avoir plus d’importance que le miracle du soleil à Fatima, le 13 octobre 1917. Il ne sera visible que de Garabandal même, et des montagnes environnantes; il aura lieu un jeudi à 20 h 30 et durera environ un quart d ‘heure; les incroyants seront convertis et les malades seront guéris. Ce miracle, Conchita l’annonce avec un calme et une fermeté qui ne se sont jamais démentis: elle en connaît la date très précise et, chose capitale, elle l’a confiée à la Congrégation du Saint-Office, en janvier 1966, pour qu’elle soit communiquée au Saint-Père. Suivant la volonté formelle de Notre Dame du Carmel, Conchita n’en fera connaître publiquement la date que huit jours auparavant.

Le Miracle – le Grand Miracle – sera la compréhension surnaturelle, dans la Lumière Divine, de la réalité intime et fondamentale de ce que sont le Sacerdoce et l’Eucharistie. Un signe visible de ce Miracle, semblable à une colonne de fumée, que l’on pourra photographier, filmer, téléviser – mais non le toucher – demeurera en permanence aux Pins, là où eurent lieu beaucoup d’apparitions.

3. – LE CHÂTIMENT, qui est conditionnel :
« Si nous ne le faisons pas (nous convertir) viendra un Châtiment… Si nous ne changeons pas, le châtiment sera très grand ! » (18 octobre 1961)
Ce sera le « Jugement des Nations ». « Il viendra sans qu’on l’attende, parce que le monde n’a pas changé », a dit la Vierge Marie (Loli et Jacinta, 19 juin 1962). Par sa purification intrinsèque, il provoquera le commencement d’un Renouveau merveilleux: celui du Grand Règne Spirituel Universel de Jésus-Christ, avec Marie, sur le monde entier.

 

Le Grand Miracle aura lieu moins de 12 mois après l’Avertissement et sera annoncé par Conchita huit jours avant. Il doit se produire un jeudi soir, à 20 h 30, entre le 8 et le 16 du mois de mars, avril et mai. Lors d’une interview de Conchita sur une chaîne de télévision irlandaise à New York, le présentateur lui a demandé si elle pouvait révéler la date du Miracle, elle a répondu : «Qu’il aurait lieu entre le mois d’avril et juin (in between the month, entre les mois) et qu’elle en donnera la date exacte 8 jours avant.»
Comme le mois de juin n’avait jamais été évoqué par elle auparavant il est possible qu’il se produira en mai.
Chose capitale, cette date Conchita l’a confiée à la Congrégation du Saint-Office, en janvier 1966, pour qu’elle soit communiquée au Saint-Père.
Il sera beaucoup plus important que celui du soleil à Fatima; il ne sera visible dans le ciel, que de Garabandal et des montagnes environnantes. Il se produira en la fête d’un jeune martyr de l’Eucharistie et durera environ un quart d’heure.
L’avertissement qui se sera produit auparavant aura purifié les cœurs de ceux qui auront bien voulu se convertir, et Dieu nous donnera la force nécessaire pour en supporter la vision.

Après le Grand Miracle il restera aux Pins un signe visible de jour comme de nuit. On pourra le photographier mais pas le toucher. Probablement un signe similaire à celui qui se trouvait au-dessus le l’Arche d’Alliance.

Attention ! Certains font courir le bruit que le Miracle sera vu de tous les sites dans le monde entier où la Vierge est, ou serait apparue ; que partout les malades seront guéris et les incroyants convertis. Non, ce n’est pas ce la Vierge a dit. Déjà à Fatima la Vierge avait spécifié : «Venez ici le 13 de chaque mois et le sixième mois Dieu fera un grand miracle.» Ce miracle ne s’est produit qu’à Fatima, et non dans d’autre lieux d’apparitions.

D’ailleurs à propos de Garabandal La Très Sainte Vierge a dit : «D’aussi loin et difficile que ce soit, vous arriverez à temps. Venez nombreux avec vos malades et vos amis : Les malades seront guéris et les incroyants convertis».

Qui sera guéri ? Lorsqu’on a demandé à Conchita, est-ce que tous les malades seront guéris? Elle à répondu : «La Vierge m’a dit : les malades seront guéris.»

Par ailleurs, il est possible que le jour du Grand Miracle il y aura moins de monde que prévu à Garabandal, car l’Avertissement ne convertira pas tout le monde. Même si logiquement c’est bien sûr Dieu que nous choisirons, il y aura un certains nombre de révoltés qui opteront pour le démon et l’enfer. Comment ces malheureux en sont-ils arrivés à faire ce choix ?
En fait, lorsque nous venons au monde, nous ne sommes que des innocents, et il nous est difficile de contrôler ces forces négatives qui petit à petit, jour après jour entament, déchire, diminuent et ébranlent notre belle innocence. Pourtant nous sommes tous né avec le pouvoir de choisir, et notre façon de mettre à mal notre potentiel d’innocence ne tient qu’à nous. La déception peut mener à une vie de colère et de malveillance, et si nous descendons plus bas encore, on peut devenir aveugle à la douleur qu’on inflige aux autres, ou à nous-mêmes ! Mais on peut choisir aussi une autre route, et malgré la violence rencontrée en chemin, et les moments de désespoir, on peut choisir d’écouter une autre voix : celle de Dieu.
En attendant le grand miracle
Des voix pontifiantes s’élèvent parfois pour nous rappeler que Conchita, une des quatre voyantes de Garabandal, est la seule à connaître la date du Grand Miracle et que le fait d’essayer de trouver cette date revenait à usurper son rôle.
Faux ! Il n’est pas question de ça ; Conchita nous donnera la date du Miracle huit jours avant qu’il ne se produise. Mais la Vierge Elle-même ne nous a-t-Elle pas donné des points de repères en ce qui concerne cet heureux événement : Le Grand Miracle se produira entre le mois de mars, avril ou mai, un jeudi soir à 20 h 30, le soleil luira encore ; il coïncidera avec la fête d’un saint de l’eucharistie et un heureux événement dans l’Église ; il sera, moins de douze mois, précédé de l’Avertissement.
Si La Très Sainte Vierge voulais nous empêcher de deviner la date du Miracle, Elle ne nous aurait pas donné toute ces indications ; Elle nous aurait simplement demandé de considérer Ses deux messages et de patienter. Essayer de trouver cette date est une sorte de sainte impatience en attendant cette rencontre avec le Ciel. Bien sûr, les malades y trouvent une grande espérance et si à la fin des apparitions en 1965 on avait su que le Miracle ne se produirait pas avant (plus de) 50 ans après la première apparition de Saint Michel, le 18 juin 1961 et celle de la Vierge, le 2 juillet 1961, beaucoup se seraient découragé.
Bien évidemment, ces précisions ont également été données pour que le jour où ces événements arriveront, nous ne soyons pas surpris et que tout le monde sache qu’ils étaient prophétisés.
Le Miracle doit se produire le jour de la fête d’un martyr de l’Eucharistie.

Qu’est-ce qu’un martyr ? C’est quelqu’un qui est mort ou a enduré des tourments pour la religion chrétienne, des souffrances du corps et d’esprit, d’amour envers le Christ.

Alors examinons quelques saints qui sont souvent évoqués en relation avec le Miracle ; même si le Bon Dieu va peut-être nous en dévoiler un auquel nous n’avons pas pensé ! Plusieurs noms reviennent souvent, notamment ceux de Saint Tarcisius, Saint Pancrace et Saint Hermenegild, mais seuls les deux derniers pourraient être pris en considération. A moins que la date de Saint Tarcisius soit modifiée encore une fois, car à l’origine sa fête coïncidait avec la fête de l’Assomption de Marie, le 15 août, raison pour laquelle elle a été repoussée au 26 août.

Saint Hermenegilde fêté le 13 avril. Prochaine concordance avec le jeudi qui pourrait convenir : 13 avril 2017.
En l’an 586, à Tarragone en Espagne, le fils du roi arien des Visigoths Léovigild, fut converti à la foi catholique par l’évêque saint Léandre et ne se laissa fléchir ni par les faveurs ni par les menaces de son père, qui, irrité, le priva du règne et le fit enfermer dans une étroite prison. Au moment des fêtes pascales, ayant refusé de recevoir la communion des mains d’un évêque arien, il fut frappé à mort d’un coup de hache, sur l’ordre de son père. Trois ans après sa décapitation, la nation wisigothique revenait elle aussi à la foi de l’Église romaine.
Ceci devrait faire réfléchir tous ceux qui reçoivent la Communion dans la main et distribuée par des laïcs.

Le 13 avril 2017, c’est aussi le jeudi Saint et le dimanche 16 avril 2017, le jour de Pâques catholique et orthodoxe. Ces deux fêtes ne concorderont plus avant 2025 et comme le Miracle doit coïncider avec un événement heureux dans l’Église, il se pourrait qu’il s’agisse de la réunification de ces deux Églises séparée depuis 1054.
Sur le plan astronomique, on constate que Jupiter, qui dans la sainte astronomie représente le Christ, sera dans le ventre de la constellation de la Vierge et ce même jour la Lune sera aux pieds de la Vierge. Cette configuration astronomique ne s’est jamais produite depuis 1922 et ne reproduira plus avant 2200. De plus, Uranus, qui toujours selon la sainte astronomie représente l’Église, sera en conjonction avec le Soleil qui représente Dieu.

Mais pour information, voyons quand même brièvement qui sont ces deux autres Saints et leur histoire.

Saint Tarcisius est fêté le 26 août. Il est celui à qui on pense le plus car Conchita aurait évoqué quelqu’un qui lui correspond. Mais la date ne correspond pas et pour l’instant il ne rentre donc pas en ligne de compte pour la date du Miracle.
Saint Tarcisius, pour porter la sainte communion à un malade, protégeait sous son manteau les Saintes Espèces, le corps du Christ, et refusa de les donner à des enfants païens qui voulaient les profaner. Ils le lapidèrent et s’enfuirent. Vint à passer un soldat chrétien qui emporta le cadavre. Il fut enseveli dans les catacombes.
Le sarcophage de saint Tarcisius est utilisé comme autel de la basilique St-Tarcisius de Rome. L’église en a fait le patron des enfants de chœur et il fut donné en exemple à la jeunesse catholique jusqu’au XXe siècle.

Le 12 mai l’Église fête Saint Pancrace, un des nombreux martyrs de la persécution de l’empereur Dioclétien, qui gouverna l’empire romain de 284 à 305.
Prochaine concordance avec le jeudi qui pourrait convenir : 12 mai 2016.

Mais est-ce un martyr de l’eucharistie ? Dans la mesure où l’on considère l’eucharistie comme le centre de la vie de tout catholique, on est en droit de répondre par l’affirmative.

Saint Pancrace de Rome est né en 289 AD et mort en 304 après Jésus-Christ. Dans l’Eglise antique Pancrace représenta un modèle d’adolescent qui donna sa vie par amour de son Seigneur, restant fidèle au baptême qu’il avait reçu depuis peu. Il était né en Phrygie (région historique de l’actuelle Turquie occidentale) de Cledionuse et Cerada, tous deux nobles, qui professaient la religion païenne, dans laquelle ils éduquèrent aussi leur fils. Pancrace, orphelin en jeune âge, fut confié aux soins de son oncle Denis, élu administrateur des biens patrimoniaux que la famille du neveu possédait en Phrygie et à Rome. Oncle et neveu se déplacèrent très tôt dans la ville impériale, où une communauté chrétienne vivait intensément la foi dans le Seigneur crucifié et ressuscité.
Denis et le jeune Pancrace entendirent parler de la nouvelle religion et demandèrent d’en faire partie. Ils se soumirent à une catéchèse absorbante et, dans une solennelle veillée pascale, ils furent admis dans la communauté chrétienne avec le baptême, qui leur fut administré très probablement par le pape de l’époque, St Marcelin. En ce temps-là sévissant, sur la jeune Église de Rome, la persécution de Dioclétien, la plus grave et la plus longue de toutes : une vraie bataille entre christianisme et paganisme. Pancrace, déjà animé par le désir du martyre, fut arrêté et conduit devant le juge, qui lui demanda qui il était. L’adolescent répondit fermement : «Je m’appelle Pancrace et je suis chrétien». Le juge essaya de toutes les façons de l’induire à un acte de culte vers l’empereur. Le jeune Chrétien fut inflexible: il n’aurait jamais renoncé au Christ pour les faveurs d’un homme, fût-il l’empereur de Rome lui-même.
Alors le juge fut obligé d’appliquer la loi et ordonna que Pancrace fût décapité hors de la ville, sur la voie Aurélia. La pie matrone romaine Ottavilla prit le corps du martyr et le fit enterrer dans le cimetière de Calepodio. Les persécutions contre l’Église terminées, sur la tombe du jeune martyr fut érigée une basilique, où la communauté chrétienne de Rome se rendait le dimanche après Pâques pour présenter au Saint les nouveaux baptisés, qui déposaient sur son autel l’habit blanc adossé au baptême. Ils le priaient de pouvoir imiter son courage et sa foi dans le Seigneur ressuscité.

Avant le Miracle il y aura un événement qui fera que beaucoup ne croiront plus à Garabandal, et ce désistement n’aura rien à voir avec les fait que les événements tardent à venir. Il s’agit là très probablement de la mort de Joey Lomangino, l’aveugle qui devait recevoir des yeux neufs le jour du Miracle et qui est décédé le 18 juin 2014.