Le prix du temps et la manière d’en bien user - R.P. Hamon
La Patrie trahie par la république - Jean Raspail
La France a quitté la maison de son Père et son Fiancé pour se donner à des brigands de passage qui l’ont mise sur le trottoir - Réflexion
A propos de la crémation des corps des défunts...
Les Juifs sont-ils «déicides» ?
Jésus a été condamné à mort, injustement, lui le saint et l’innocent. De plus, Jésus était Dieu : de même que la mise à mort d’un parent est techniquement un « parricide », que l’assassinat d’un roi est un « régicide », de même la condamnation et l’exécution injuste de celui qui est Dieu s’appelle un « déicide ».
Nous pouvons donc nous poser la question : qui est responsable de ce
« déicide » ? Et parce que, au cours de l’histoire, de façon populaire, on a quelquefois accusé « les Juifs », plus ou moins indistinctement, d’être les responsables de la mort du Christ, on se demande si réellement les Juifs sont « déicides », et de quelle manière.
Pour répondre convenablement à cette question, il convient de faire un certain nombre de distinctions.
Ceux que nous voyons, dans l’Évangile, agir contre Jésus
Les Évangélistes sont très clairs. Si la plupart des auditeurs de Jésus sont transportés d’enthousiasme par sa prédication, ses miracles et le rayonnement qui émane de sa personne, un certain nombre de contemporains lui deviennent progressivement de plus en plus hostiles, désirant d’abord son élimination, ensuite sa mort, puis complotant en vue de cette mort, enfin faisant procéder à son arrestation et réclamant voire exigeant du Procurateur romain son exécution.
En ce qui concerne spécifiquement le complot pour le faire mourir (avec son aboutissement fatal), et non pas simplement l’hostilité doctrinale, pour saint Matthieu, il s’agit des princes des prêtres et des anciens du peuple (Mt 26, 3) ; pour saint Marc, des princes des prêtres et des scribes (Mc 14, 1), ou encore des grands prêtres, des scribes et des anciens (Mc 14, 43) ; pour saint Luc, des princes des prêtres et des scribes (Lc 22, 2), ou encore des princes des prêtres, des magistrats du Temple et des anciens (Lc 22, 52) ; pour saint Jean, il s’agit des princes des prêtres et des pharisiens (Jn 11, 47). Tous signalent par ailleurs que Jésus comparut devant le Sanhédrin (la plus haute autorité judiciaire juive) et fut condamné par ce tribunal, même si la condamnation « exécutive » fut celle de l’autorité romaine.
Il s’agit là, nettement, des « autorités » de la nation juive : autorités religieuses, politiques et intellectuelles, les trois dimensions étant d’ailleurs intimement mêlées dans cette « nation-religion ».
Ce ne sont pas tous les Juifs
Toutefois, il est clair que ce ne sont pas tous les membres de ces catégories (princes des prêtres, anciens du peuple, scribe, magistrats du Temple, pharisiens) qui sont impliqués dans ce complot, mais seulement quelques-uns : même si ceux-là furent spécialement actifs.
Les trois premiers Évangélistes signalent ainsi qu’un chef de synagogue demanda un miracle à Jésus (Mt 9, 18 ; Mc 5, 22 ; Lc 8, 41). Saint Jean nous parle de Nicodème, « pharisien et un des premiers des Juifs » (Jn 3, 1) qui était disciple de Jésus. Il témoigne qu’il y avait division entre les pharisiens à propos de Jésus (Jn 9, 16). Il souligne que « même parmi les chefs » du peuple juif, un certain nombre crurent à Jésus (Jn 12, 42). Les Actes des Apôtres affirment qu’une « foule considérable de prêtres » vint à la foi chrétienne après la Pentecôte (Ac 6, 7).
Concernant spécifiquement le Sanhédrin, saint Jean signale une intervention de Nicodème en faveur de la régularité d’un éventuel procès (Jn 7, 50-51). Saint Luc parle de Joseph d’Arimathie, « qui n’avait pas consenti aux décisions des autres » membres du Sanhédrin (Lc 23, 50-51). Les Actes des Apôtre affirment que Gamaliel, « pharisien, docteur de la Loi et honoré de tout le peuple » (Ac 5, 34), donna au Sanhédrin des conseils de modération à propos des Apôtres.
De façon plus générale, saint Jean souligne que même parmi « les Juifs » (dans le sens spécifique qu’il emploie et que nous avons déjà expliqué), il y avait une forte division à propos de Jésus (Jn 10, 19-21).
Ceux-là sont coupables de « déicide »
En tout, les membres du complot homicide contre Jésus doivent représenter quelques dizaines de personnes, peut-être quelques centaines. Et comme ils avaient vu tous ses miracles, d’origine certainement divine, ils avaient le devoir de mener une enquête religieuse extrêmement sérieuse pour vérifier les titres de crédibilité de Jésus, et recevoir son enseignement s’il s’avérait venir de Dieu lui-même.
En refusant de le faire, contre toute évidence et toute justice, ces hommes ont pris la responsabilité de « guerroyer Dieu de ses dons » et, au moins dans la cause (quelle que soit leur perception exacte du statut de Jésus), ils sont réellement coupables de déicide.
Les assistants du Vendredi saint à Jérusalem
On peut joindre à ce groupe militant contre Jésus, si l’on veut, les quelques centaines ou milliers de personnes rassemblées le jour du Vendredi saint devant la forteresse Antonia et qui, par entraînement, ignorance, peur, etc., ont fini par réclamer à Pilate la mort de Jésus, sans forcément comprendre ce qui était en jeu.
Toutefois, même s’ils n’ont pas parfaitement perçu de ce qui était en train de se passer, ils ont au moins demandé la mise à mort d’un homme innocent et visiblement béni de Dieu, ce qui les rend coupables d’un grave péché, lequel est, en fait et matériellement, un déicide.
Les Juifs de la Palestine et de la diaspora de l’époque, en général
En dehors de ces deux groupes (les participants du complot et les personnes présentes devant la forteresse Antonia), les Juifs qui résidaient alors en Palestine n’ont rien su de ce qui s’est passé le matin du Vendredi saint, n’ont rien demandé, n’ont rien fait dans un sens ou dans un autre.
La chose est évidemment encore plus vraie pour les Juifs de la diaspora, qui résidaient à des milliers de kilomètres de Jérusalem, et qui n’étaient guère informés des événements de la Palestine. De cet éloignement et de cette ignorance témoignent, par exemple, les Juifs de Rome accueillant saint Paul prisonnier : « Nous n’avons reçu de Judée aucune lettre à ton sujet, et il n’est venu aucun de nos frères qui nous ait avertis et qui ait dit du mal de toi. Mais nous demandons à apprendre de toi ce que tu en penses ; car au sujet de cette secte [l’Église chrétienne], nous savons qu’on la contredit partout » (Ac 28, 21-22).
Ces hommes qui n’ont pris aucune part personnelle à la mort de Jésus, qui en ont d’ailleurs tout ignoré, n’en sont évidemment pas responsables personnellement.
Une « responsabilité » historique et culturelle
Tout au plus peut-on dire, étant donné que ceux qui ont poussé à la mort de Jésus étaient en bonne partie les chefs du peuple juif, et le représentaient en quelque manière, que les Juifs de l’époque sont englobés « politiquement » dans cette responsabilité, comme n’importe quel peuple est englobé dans les décisions de ses dirigeants.
Lorsque nous disons : « Les Français ont déclaré la guerre aux Allemands en 1939 », nous savons bien que les Français de base n’en ont rien fait : ce sont les responsables politiques qui ont pris cette décision, mais statutairement ils représentaient le pays. D’ailleurs, tous les Français, même ceux qui ne voulaient pas la guerre, en ont subi les conséquences (les morts, l’Occupation, les restrictions, etc.). Il s’agit donc là d’une responsabilité non pas morale et personnelle, mais simplement politique et collective, « culturelle » si l’on peut dire, dans la mesure où chaque citoyen subit les conséquences (bonnes ou mauvaises) des agissements des chefs du pays.
Les Juifs d’aujourd’hui, en général
Un long temps s’est désormais écoulé depuis la mort de Jésus, et le statut du peuple juif a considérablement évolué durant cette période. Qu’en est-il donc aujourd’hui de la mort de Jésus ?
Les Juifs d’aujourd’hui n’ont évidemment pas demandé personnellement la mort de Jésus : ils ne peuvent donc en être tenus pour personnellement responsables. Par ailleurs, l’entité politique qui représentait le judaïsme à l’époque ayant été entièrement détruite, ils ne peuvent pas non plus être englobés dans la responsabilité « politique » des Juifs qui vivaient à l’époque : pas plus que les Italiens actuels ne peuvent être englobés dans la responsabilité « politique » de l’Empire romain.
Toutefois, dans la mesure où le judaïsme actuel revendique l’héritage du judaïsme ancien, de l’histoire du peuple d’Israël à travers le temps et l’espace, ce judaïsme actuel en assume naturellement les gloires et les hontes, sur un plan culturel. Il s’attriste ainsi de la ruine de Jérusalem en l’an 70, aussi bien qu’il se glorifie de la bataille de Massada, mais seulement sur un plan culturel, sans en être réellement partie prenante : comme nous, Français, nous assumons dans notre histoire la victoire de Rocroi ou la défaite de Pavie, sans évidemment nous en sentir responsables.
C’est seulement au regard de cet héritage culturel (à certains égards largement mythique, d’ailleurs) que le judaïsme actuel peut, dans une faible mesure, être tenu pour solidaire de ce que certains Juifs ont fait à Jésus il y a plus de deux mille ans.
Les Juifs religieux aujourd’hui
La plupart de ceux qui se proclament juifs actuellement n’ont guère de lien avec la religion juive, sauf quelques lambeaux de tradition, comme nos contemporains offrent des cadeaux à Noël et mangent des œufs en chocolat à Pâques sans comprendre réellement le sens de ces actions.
Il en va différemment des Juifs actuels qui pratiquent le judaïsme, lequel est en réalité le judaïsme moderne, post-christique, ou encore talmudique. Ce judaïsme, ré-élaboré dans la période qui a suivi la vie de Jésus par cette portion des Juifs qui avait refusé de reconnaître Jésus comme le Messie, se construit sur ce refus d’admettre la messianité de Jésus.
Or, il est clair pour tout lecteur des Évangiles que Jésus a été condamné par le Sanhédrin pour un motif religieux : le blasphème. Un homme qui se présente comme Messie et Fils de Dieu sans l’être réellement est, selon la Loi juive elle-même, un blasphémateur digne de mort. Donc, il est clair que le judaïsme talmudique, qui récuse la messianité de Jésus, accepte dans son principe la condamnation religieuse de Jésus, quoi qu’il en soit des circonstances concrètes de son procès (qui peuvent être très contestables juridiquement), ou de la sentence prononcée.
Le Juif religieux actuel adhère, évidemment, à ce qu’est le judaïsme talmudique, adhère en fait (qu’il connaisse sa propre religion, ou n’en ait qu’une idée vague) à cette assertion que la condamnation de Jésus pour blasphème est religieusement justifiée. Le Juif religieux actuel se trouve donc logiquement et dans le principe solidaire des chefs religieux juifs qui condamnèrent le Christ Jésus, même si en fait et personnellement, lui-même n’a aucune intention de souscrire à cette condamnation, encore moins à ses conditions concrètes (injustices, mise à mort, etc.).
Pourquoi le célibat ecclésiastique ?
Pour bien répondre à cette question, il faut se rappeler la foi sur le sacerdoce. Notre Seigneur Jésus Christ a voulu que son sacerdoce continue, que son Sacrifice soit perpétué, lui remonté au Ciel le jour de l’Ascension. C’est pourquoi il a conféré, le Jeudi Saint, le sacerdoce à ses disciples par ces paroles :
« Faites ceci en mémoire de moi ».
Ainsi pourraient-ils offrir son sacrifice en son nom, in persona Christi. Sacrifice et Sacerdoce sont les biens de l’Eglise. Ses trésors et sont intrinsèquement unis. L’Eglise est essentiellement sacerdotale. Par le sacerdoce à elle conféré, Elle continue le Sacrifice du Christ. L’Eglise, à la messe ne fait pas un mémorial. Non ! Elle continue le sacrifice de la Croix sur nos autels. Voilà ce qu’a voulu Notre Seigneur Jésus Christ . La sainte Messe est avant tout le sacrifice de Notre Seigneur Jésus Christ sur la croix, continué d’une manière non sanglante, sur l’Autel, par la consécration des espèces du pain et du vin, par les mains du prêtre. Notre Seigneur Jésus Christ est présent sur l’autel, sinon il n’y aurait pas de Victime et partant plus de Sacrifice. Partant plus de sacerdoce. Tout cela est défini à jamais par l’Eglise au Concile de Trente. Ce sont des propositions de fide catholica definita.
Le grand danger aujourd’hui que court l’Eglise est de perdre cette notion de sacrifice. Il faut garder la foi en ce mystère, en ce sacrifice de la messe, dans la grandeur de cette oblation par laquelle Notre Seigneur Jésus Christ continue à s’offrir lui-même. Le vrai Prêtre à l’autel, c’est Notre Seigneur Jésus Christ qui est le Grand Prêtre. Le prêtre ministériel n’est que son instrument. C’est Notre Seigneur Jésus Christ qui est toujours le Grand Prêtre.
Mais c’est cela qui fait la grandeur du prêtre. Le prêtre est sublime ! Qu’une créature puisse au nom de Jésus Christ monter à l’autel, être l’instrument de Dieu et offrir Dieu lui-même, Notre Seigneur Jésus Christ, pour le salut du genre humain.
On comprend alors que le prêtre puisse avoir des privilèges, puisse avoir des devoirs, et tout particulièrement le devoir du célibat ecclésiastique. Le prêtre est tellement uni à Dieu, lorsqu’il monte à l’autel, lorsqu’il prononce les paroles de la consécration ! Il fait obéir, d’une certaine manière, Dieu lui-même. Oui ! Lorsque le prêtre prononce les paroles de la Consécration, Dieu lui obéit. Il vient sur notre autel, sous les espèces du pain et du vin. Pour que le prêtre soit digne de prononcer ces paroles sur le pain et le vin, il est normal que le prêtre garde le célibat. Comme Notre Dame. Elle aussi est Vierge parce que, par son Fiat, elle fait en quelque sorte obéir Dieu. Lorsqu’elle dit : Fiat mihi secundum verbum tuum (Qu’il me soit fait selon votre parole), à ce moment, Dieu lui obéit. Il vient en son sein. Il obéit à Marie, la Vierge Marie. Elle est Vierge Mère. Pour qu’une créature soit capable de faire obéir Dieu, il faut qu’elle soit vierge, qu’elle soit complètement indépendante des choses de la terre. La Très Sainte Vierge et le prêtre se ressemblent sur ce point et sont tout proches. Ce n’est donc pas en raison de son activité pastorale que le prêtre doit garder la virginité. Que « foutaise » tout cela !
Et c’est cette réalité surnaturelle qui attire le jeune à l’autel où il prononcera ces paroles sublimes : « Ceci est mon Corps ». « Ceci est mon Sang ». Vous ne lui ferez jamais quitter le monde pour célébrer un simple « mémorial ». Vous ne lui ferez jamais accepter et vouloir le célibat si on lui enlève cette grande réalité du Sacrifice de la messe. C’est donc dans les paroles de la Consécration que je trouve la raison du célibat, comme Marie dans son «Fiat». Alors on comprend très bien que des jeunes hésitent à se lancer dans le sacerdoce aujourd’hui, avec cette réforme liturgique de la messe de Paul VI qui a fait de notre messe plus un repas, plus une « Cène eucharistique » que le renouvellement du sacrifice de la Croix.
« Si l’on veut restaurer le sacerdoce, il est nécessaire de restaurer la liturgie dans toute sa valeur dogmatique et son expression hiérarchique selon le rite romain consacré par tant de siècle d’usage ».
Tout autre effort est vain. Quel travail pour les instituts « Ecclesia Dei ». Qu’ils y restent fidèles.
Tenue vestimentaire et Dignité humaine
« Considérez les lis des champs […] je vous le dis, Salomon lui-même dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un deux. » Saint Matthieu 6,29
Dieu a revêtu chacune de ses créatures de pureté et de beauté. Et on ne se lasse pas de les regarder avec joie et admiration.
L’homme, par le péché originel, a perdu sa pureté originelle. Dès lors, la beauté de son corps provoque le trouble et la convoitise.
C’est pourquoi, Dieu lui-même a revêtu Adam et Ève, afin de les éduquer à la modestie des sens de la vue et du toucher qui réveillent la concupiscence de la chair.
Le vêtement désormais ne sert pas seulement à préserver le corps des intempéries, mais il est encore nécessaire pour protéger la pudeur et la chasteté, et cela été comme hiver !
Tant que la modestie chrétienne ne sera pas pratiquée, la société continuera de s’avilir.
« La société parle par le vêtement qu’elle porte. » Pie XII
D’où viennent ces désordres moraux, ces divorces, ces viols, ce tourisme sexuel, cet avilissement de la jeunesse ? Des modes impures et provocantes dans la rue, dans les images, dans le travail, dans les écoles, à la télévision.
L’âme qui veut rester chaste se doit de baisser les yeux, de fermer les oreilles, afin de ne pas être provoquée. C’est vraiment une agression continuelle que le monde nous offre !
Et vous accepteriez d’y participer sous prétexte de mode, pour ne pas paraître « vieux jeu » !…
« Les personnes qui suivent la loi de Dieu ne doivent pas suivre la mode. » Bienheureuse Jacinthe de Fatima
- ou devenir une personne admirée,
- ou devenir une chair convoitée.
« Et moi je vous dis que quiconque regarde une femme avec convoitise a déjà commis l’adultère dans son cœur. » Saint Matthieu 5,28
- Avec goût et modestie.
- En travaillant l’harmonie des formes et des couleurs.
« Que les femmes aient une tenue décente, et soient parées avec modestie. » Saint Paul 1 Tim. 2,9
L’Au-delà et la Prière
Le texte ci dessous utilise les termes de « matière » et « métamatière ». Méta est un préfixe qui provient du grec μετά (meta) qui signifie « après – au-delà de – avec ».
Lorsqu’un humain active sa fonction croire en priant il ouvre un canal communication avec la nature de métamatière ce qui permet le passage du flux d’intelligence métamatérielle vers l’environnement matériel instinctif. Il entre en communication avec un partenaire esprit hautement intelligent qui l’approvisionne en intelligence puis il la diffuse dans son environnement matériel au travers de ses comportements intelligents. Ainsi se transfère l’intelligence de l’univers de métamatière chez son partenaire l’univers de matière.
Quand les forces du mal sont aux affaires pour faire régresser les humains leur principale besogne est de les empêcher d’ouvrir le canal de communication avec la nature de métamatière qu’est la prière. Pas de communication métamatérielle pas d’évolution d’intelligence. Pas d’évolution d’intelligence pas de comportements intelligents responsables. Ils restent faibles ballotés dans les desideratas des forces du mal qui les mènent dans les profondeurs de la décadence humaine.
Quand les forces du bien sont à l’action pour faire progresser les humains leur principale besogne est de les encourager à ouvrir le canal de communication avec la nature de métamatière. Communiquer avec le métamatériel permet d’évoluer en intelligence. Évoluer en intelligence induit des comportements intelligents responsables qui leurs ouvrent des horizons durables et sereins guidés par les forces du bien.
Science et Croyance sont complémentaires. La Science est le moteur, la Croyance est le guide. Leur complémentarité est l’élan fructueux de l’évolution humaine si elle est guidée par les forces du bien ou l’élan désastreux si elle est guidée par les forces du mal.
Nul besoin de produire des vibrations soit en chantant, soit en tapant des mains ou soit encore en jouant d’un instrument de musique pour ouvrir le canal de communication avec la nature de métamatière détentrice et émettrice de l’énergie intelligence. Il n’est pas réservé aux seuls chamans et sorciers. Tous les humains à tout moment peuvent facilement entrer dans leur for intérieur pour prier sincèrement afin de communiquer avec la nature de métamatière.
Les rêves vainqueurs
Les comportements quotidiens de notre vie matérielle génèrent le patrimoine métamatériel que nous utiliserons après la mort de notre corps de matière cela pour inciter les humains à transférer de l’intelligence saine dans la nature de matière au travers de comportements quotidiens de paix et de responsabilité.
Les comportements intelligents anarchiques génèrent un foétus d’esprit non viable lorsqu’il naîtra dans la nature de métamatière à la mort du corps humain gestateur et l’humain gestateur se verra vivre dans la vie de cet esprit non viable pour l’éternité. Pour ne pas prendre les humains au dépourvu la nature de métamatière leur permet d’avoir un contrôle quasi quotidien sur l’état de croissance du fétus d’esprit dans leurs rêves. Par ce moyen ils peuvent contrôler l’état de croissance du foétus d’esprit et orienter leurs comportements quotidiens de façon adéquat pour qu’il se génère sainement. La règle est qu’il faut toujours se voir sortir vainqueur des situations de nos rêves.
A partir du constat quotidien que notre fœtus d’esprit (notre patrimoine métamatériel) s’est généré de façon adéquat parce que nous avons visionné son anatomie métamatérielle au travers de rêves vainqueurs nous pouvons aller confiant vers la mort de notre corps de matière. Nous sommes certains que l’esprit qui va naître de la mort de notre corps de matière sera viable et nous nous verrons vivre dans la vie viable de cet esprit pour l’éternité.
Les sentiments
Les animaux et les végétaux ont une seule énergie pour vivre : l’instinct. L’instinct détermine des sentiments instinctifs.
Les humains en ont deux : l’instinct commun aux êtres vivants matériels et l’intelligence métamatérielle. L’intelligence détermine des sentiments intelligents que les animaux et les végétaux n’ont pas. Les animaux prédateurs n’ont pas de sentiments intelligents quand ils tuent et mangent leur proie. Les humains en ont quand ils tuent des animaux pour se nourrir ou quand ils tuent d’autres humains. Il doivent le faire avec l’aval d’une nécessité, d’un métier ou d’une spiritualité pour ne pas avoir de remord. La nécessité, le métier ou la spiritualité prennent sur eux le poids d’avoir mal agit.
Avec l’intelligence les humains ont un pied dans la nature de métamatière. Ils ont accès à cette nature dans leurs rêves quotidiens et héritent de sa spécification : l’éternité.
Les animaux et les végétaux n’ont pas cette faculté. Ils n’ont pas l’intelligence. Ils n’ont pas accès à la nature de métamatière. Ils naissent, vivent, meurent et puis plus rien. Les humains naissent, vivent, leur corps de matière meurent mais eux ne meurent pas. Ils se voient vivre dans la nature de métamatière pour l’éternité (comme ils se voyaient vivre dans cette nature dans leurs rêves quotidiens) au travers de la vie de l’esprit issue de leur propre vie lequel esprit se renouvelle sans cesse dans la nature de matière.
Le terrorisme jihadiste mondial
Le terrorisme jihadiste mondial est l’exécutant des basses oeuvres des forces du mal qui pilotent la manoeuvre de recul nommée Nouvel Ordre Mondial. Quand les filiales de la Science, la finance, la pétrochimie, l’industrie de l’armement, la politique, le soutiennent instinctivement il prospère et gagne. Quand elles le freinent il régresse et finit par disparaitre.
La Croyance n’a rien à voir avec les agissements du terrorisme jihadiste mondial. Ce n’est pas elle qui le soutient et le pilote. Il est sourd aux appels des religions à cesser ses horribles agissements. Il agresse la Croyance sans différencier les religions au gré des décisions de ses patrons. Leur « Allahu akbar » est une reprise d’une expression religieuse pour se cacher du monde sous le chapeau de la Croyance.
Les forces du mal qui ont pour mission de mener le Terrien dans le chemin caillouteux de la régression jusqu’au Reset en utilisant les filiales de la Science sont seuls maîtres du terrorisme jihadiste mondial. Les forces du bien qui incarnent la Croyance n’ont aucune emprise sur lui. Elles n’agissent pas dans la même direction. Les forces du bien s’emploient à faire avancer le Terrien dans un chemin durable et serein alors que les forces du mal s’emploient à le faire régresser d’un chemin caillouteux et périlleux telle une chimiothérapie nécessaire pour arriver à l’aplasie.
La Gay Pride russe
Les Etats Unis sont les pilotes de la manoeuvre de régression nommée Nouvel Ordre Mondial. Ils ont pour mission de conduire le Terrien dans la périlleuse manoeuvre de recul qui doit amener le Terrien au fond du gouffre de la décadence, situation obligée pour la venue du Reset, lui-même obligatoire pour une remise en marche avant de l’évolution du Terrien dans un chemin durable et serein. Le chemin est étroit et périlleux. Les peuples sont réticents à reculer et la menace nucléaire est omniprésente.
Un roc entravait la progression du Nouvel Ordre Mondial : la Russie. Les Etats Unis ont essayé de briser sa résistance avec des burins agressifs mais ils ont du arrêter vu le risque réel de conflit nucléaire. La limite a été atteinte. Ils n’iront pas au-delà. Ils n’iront pas à la guerre nucléaire. Ils ont pour mission de faire reculer le Terrien en faisant très attention de ne pas le détruire avec un conflit nucléaire global. Ils ont donc misé sur une manière plus douce pour faire accepter la décadence aux élites russes afin de libérer le passage de la manoeuvre de recul.
A Helsinki le président Trump a fait une proposition conciliante au président Poutine : la paix en Syrie contre la démocratie c’est à dire la mise en place de la décadence dans la société russe. Poutine a accepté. Bientôt une Gay Pride à Moscou. Le chemin de la décadence du Terrien est désormais dégagé.
Les architectes du nouvel Ordre Mondial
L’intelligence humaine est pilotée par la nature de métamatière comme les instinct humains sont pilotés par la nature de matière. La nature de métamatière a tout pouvoir sur l’intelligence humaine.
Les Grands Architectes du Nouvel Ordre Mondial pensent être tout en haut de l’organigramme terrestre. Ils disent « Nous sommes au sommet. Au dessus de nous il n’y a personne ! Nous dictons nos lois ». C’est mal connaitre le fonctionnement universel. La nature de métamatière, détentrice et émettrice de l’énergie intelligence, pilote naturellement leur intelligence, sans qu’ils s’en rende compte, comme la nature de matière pilote naturellement leurs instincts.
La nature de métamatière veut rappeler à l’ordre le Terrien, pas la biodiversité issue de sa domination. Elle n’a rien fait. Elle n’est pas fautive. Elle n’a pas à subir un rappel à l’ordre métamatériel. Le Terrien souffrira seul. La biodiversité issue de sa domination ne sera pas impactée. Les forces du mal ont inconsciemment ordre de ne pas employer la force nucléaire pour mettre à genoux le Terrien. Elles même s’étonnent d’un tel comportement. Il leurs serait facile d’anéantir la Terre. C’est dans leurs fondamentaux. Elles ne savent pas que leur intelligence est pilotée par l’instance détentrice et émettrice d’intelligence, la nature de métamatière qui leurs défend d’utiliser l’arme nucléaire.
Le Terrien touchera le fond de la décadence quand les gens copuleront de façon ordinaire en public, n’importe où, sous l’oeil bien veillant des autorités devant des écoliers attentifs venus avec leur enseignants pour s’initier à la décadence et prendre exemple. Ce sera le signal pour enclencher le Reset.
Au signal les forces dédiées au Reset s’appliqueront à détruire les idoles entreprises vectrices de tous les maux humains. Les sociétés seront désorganisées. la nourriture n’arrivera plus dans les magasins. Une famine grandiose décimera les terriens pris au piège des entreprises qui les nourrissaient.
L’imposture des gilets jaunes
« Leur dieu c’est leur ventre »
… il est temps de démystifier le mouvement dit des gilets jaunes et de démontrer que celui-ci n’est ni spontané, ni apolitique, ni sans leaders, ni sans arrière-pensées, mais qu’au contraire celui-ci porte la marque, les méthodes, la dialectique et la signature de l’ultra-gauche.
Que la population dans sa majorité soit incapable de s’en rendre compte est une chose ; que des mouvements de droite, y compris catholiques « bien pensants » le soutiennent en est une autre, très regrettable. Ils porteront une lourde responsabilité en cautionnant ce qui n’est qu’une énième tentative de révolution (le vieux rêve communiste) à base de revendications démagogiques pour citoyens naïfs et décérébrés, afin de maintenir leur paradis terrestre jusqu’au bout : « leur dieu c’est leur ventre » (Philippiens 4:19) sera le fil conducteur de cet article.
Décortiquons tout cela en commençant par le début. Il est important de bien identifier les étapes afin de comprendre ce à quoi nous aboutissons aujourd’hui.
La société gangrenée par la pensée marxiste
Il y a un demi-siècle, un auteur voyait dans le marxisme matérialiste et athée
« une création maçonnique et judaïque vouée à la destruction de la civilisation chrétienne. »
En effet,
« l’athéisme n’est pas une idéologie ayant pour seul principe la négation de Dieu, mais une conception procédant d’abord d’un antinomisme eschatologique caractérisé par un combat contre Dieu au profit d’un autre dieu. »
Cet autre Dieu, on l’a vu, c’est notre ventre, c’est à dire la recherche d’un paradis sur terre et non au ciel.
Le marxisme est un système de pensée où, « par la lutte dialectique, l’homme se fait soi-même sans soumission à Dieu. » En fait, ce système de pensée consiste à considérer les éléments naturels et la science, non pas à partir de l’observation des lois naturelles, mais en les redéfinissant selon ses propres critères utilitaristes et idéologiques. Marx a appelé cela le « matérialisme historique ».
C’est donc un système de pensée redoutable car « il se construit sans aucune référence à la création qui nous entoure, sans lien avec la Vérité révélée c’est à dire en fin de compte, sans Dieu. »
C’est ainsi qu’ils supplantent l’esprit chrétien, par une nouvelle mentalité basé sur le progrès qui est le nouveau nom du matérialisme athée marxiste, celui-ci se décomposant en progrès technique (la civilisation des machines), progrès scientifique (refaçonnage de l’homme par la génétique), progrès social (collectivisme, renommé socialisme), progrès moral (de l’avortement au mariage homosexuel), progrès politique (démocratie et « valeurs » républicaines), progrès matériel (société de consommation basée sur l’argent-roi) et bien entendu progrès religieux (suprématie de la religion des droits de l’homme sur toutes les autres).
D’ailleurs, la gauche ne s’en cache pas, elle s’est toujours présentée comme les forces du progrès.
Tout ceci participe d’une même conception de la vie et d’une même ligne de pensée qui prend sa source dans la synagogue de Satan. Bernard Lazare écrivit :
« Marx, descendant d’une lignée de rabbins, hérita de toute la force logique de ses ancêtres, il fut un talmudiste lucide et clair… il appliqua ses qualités natives d’exégète à la critique de l’économie politique. Il fut animé de ce vieux matérialisme hébraïque qui rêva perpétuellement d’un paradis réalisé sur la terre. »
Cela explique beaucoup de choses, et la raison pour laquelle le matérialisme athée érigé en religion supplante avec efficacité l’esprit chrétien : il promet un bonheur sur terre et non au Ciel.
Je ne sais pas si les lecteurs de ces lignes comprennent bien l’importance de ces propos, car il s’agit là de l’émergence d’un système de pensée qui est devenu majoritaire en grande partie grâce à l’activisme gauchiste et à la complicité des médias.
Un système de pensée… cela veut dire qu’on a empoisonné les têtes, que les principes de raisonnement sont faussés, que les bases à partir desquelles nous réfléchissons prennent leur source dans une mentalité et un mode de vie d’inspiration marxiste et matérialiste. Pour quasiment toute la population. Et ce à grande échelle depuis au moins la fin de la seconde guerre mondiale.
Dans un tel contexte, il n’est donc pas étonnant que la population soutienne le mouvement des gilets jaunes. Les têtes sont gangrenées jusqu’à la moelle.