Menace de mort à petit feu de la France - Jésus à Marcel Van

Prophétie sur la menace de mort à petit feu de la France. En l’année 1945, le Christ s’adresse à Marcel Van : « Ensuite, Jésus revient sur les grandes menaces qui pèsent sur l’avenir de la France : « O mon enfant, prie pour le pays que j’aime particulièrement… Ah… La France… si on ne prie pas, elle sera encore une fois malheureuse, et le règne de mon amour ne pourra que difficilement s’y établir… Van, ne doute pas de ce que je viens de te dire, en voyant que la situation en France est déjà un peu plus stable… Mon enfant, je parle ainsi pour que la France soit avertie et sache prévenir, car l’ennemi veut faire de ce pays un foyer de discordes. Il faut beaucoup prier… France ! … France ! … Promets-tu de m’être fidèle ? Es-tu décidée à protéger et étendre le règne de mon amour dans le monde ? » Après la menace du communisme, le Seigneur en évoque une autre, plus subtile et progressive : « Petit apôtre de mon amour, écris au sujet de la France… Français, mes enfants, et vous, mes prêtres de France, je vous aime. Soyez sur vos gardes afin de prévenir. L’ennemi de mon amour va vous lancer avant tout son poison à la tête. Soyez sur vos gardes. Ce parti, contrairement au parti communiste, ne nuira pas directement à mes enfants. Il ne détruira pas d’un seul coup le pays que j’aime, mais il le détruira peu à peu. Oui, peu à peu, il va se propager, peu à peu il va vomir sa fumée infernale pour vous faire mourir asphyxiés : il agira de façon à vous éloigner peu à peu de mon amour, pour vous rapprocher progressivement de l’amour profane. Oui, mes enfants, il agira ainsi peu à peu… Ayez confiance en mon amour, consacrez votre pays à mon amour… Mieux vaudrait pour la France être gouvernée par un homme du peuple à l’esprit obtus, que de l’être par un ennemi de mon amour qui la mènerait à la ruine complète… Pauvre France ! une fois libérée du communisme, elle subira une influence plus perverse encore, celle de la Franc-maçonnerie… O France, pays que j’aime… Considère les paroles que je t’adresse ici… Français, mes enfants, si vous repoussez loin de vous mon amour, de quel amour pourriez-vous bien vous servir pour relever la France ? S’il n’y a aucun amour pour relever la France, alors la France se verra couverte d’épaisses fumées montant de l’enfer. .. » Père Marie-Michel – Extraits de l’Amour ne peut mourir, Vie de Marcel Van, 1990 (Le Sarment-Fayard)

Prière pour la France dictée par Jésus à Marcel Van (1928-1945)

Marcel Van est né en 1928 près de Hanoï (Vietnam) ; souhaitant devenir prêtre il entre dans une congrégation française, en 1945 il est arrêté par les communistes, il meurt en prison le 10 juillet 1959. Cette prière lui a été donnée par le Christ lors d’une apparition…

Prière pour la France dictée par Jésus à Marcel Van (1928-1945) :

Jésus :
« Petit enfant de mon Amour, écoute, je vais te dicter une prière, et cette prière, je veux que les Français me la récitent :
Seigneur Jésus, aie compassion de la France, daigne l’étreindre dans ton Amour et lui en montrer toute la tendresse. Fais que, remplie d’Amour pour toi, elle contribue à te faire aimer de toutes les nations de la terre. Ô Amour de Jésus, nous prenons ici l’engagement de te rester fidèles et de travailler d’un coeur ardent à répandre ton Règne dans tout l’univers. Amen »

Van est né en 1928 près de Hanoï (Vietnam) ; souhaitant devenir prêtre il entre dans une congrégation française, en 1945 il est arrêté par les communistes, il meurt en prison le 10 juillet 1959.

Marcel Van, apôtre caché de l'Amour

Marcel Van est un jeune religieux vietnamien qui a vécu dans la première moitié du XXe siècle. À l’âge de 14 ans, il est admis au petit séminaire, où il découvre Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus qu’il choisi comme soeur spirituelle. Rapidement il comprend que sa mission consiste à changer la souffrance en joie. Marcel Van est devenu un Frère rédemptoriste en répondant à sa mission d’apôtre caché de l’Amour par la prière et l’offrande.

" Oui, ..., prie, ne cesse de prier "

Vision sur la France d’après les colloques de Marcel Van Page 78 Le 15 Novembre 1945 Marcel Van : Pendant la bénédiction du Très saint sacrement, j’ai vu Jésus assis me prendre sur ses genoux ( j’avais alors la taille d’un petit enfant ) et m’étreindre dans ses bras. Je ne cessais de le regarder et lui, de son coté, me regardais aussi puis, approchant son visage du mien, il me donna un baiser. Ensuite, me faisant signe de regarder devant moi, il me dit à l’oreille: « Regarde la France, regarde la France ». Je tournai donc la tête et portai mon regard dans la direction qu’il m’indiquait de la main; j’aperçus un drapeau noir qui était planté là. Quand à ma soeur Thèrése, de son bras gauche, elle m’entourait l’épaule gauche et de ne cessait de me regardait en souriant comme si elle n’avait pas remarqué le drapeau planté devant elle… Un instant après, Jésus regarda ma soeur Thèrèse et dit:  » Pauvre France ! Une fois libéré du communisme, elle aura affaire à une société secrète plus perverse encore : la Franc-maçonnerie ». Puis il me dit :  » Mon enfant, prie pour la France, sinon malheur à elle » En disant ces paroles, il avait l’air plus triste qu’auparavant, mais je n’ai pas vu pleurer.J’ai constaté seulement qu’il fixait du regard le drapeau noir qui se trouvait là; puis me regardant de nouveau, il sourit et me recommanda de vous communiquer ces choses… Durant la méditation qui suivit je revis ma soeur Thèrése. Elle avait d’abord les yeux fixés sur le drapeau puis elle me regarda de nouveau, ne cessant de sourire. Mais au moment où elle leva une seconde fois les yeux vers le drapeau noir, les larmes inondaient son visage. le regard fixé sur le drapeau, elle ne cessait de verser d’abondantes larmes. J’en fus tellement ému que je me mis moi même à pleurer. Thérèse pleurait toujours. C’était la première fois que je la voyais pleurer ainsi. Maintenant encore, quand j’y pense, je ne peux retenir mes larmes. Ma soeur leva ensuite les yeux sur Jésus qui, lui ne pleurait pas, se contentant de regarder le drapeau. j’ai entendu alors ma soeur thérèse, toujours en pleurs, parler à Jésus en français. je n’ai retenu que quelques mois que, d’ailleurs, je ne peux écrire correctement….Elle disait:  » O mon Jésus…Jésus..Embrasse toi…La France…. » C’est tout ce que j’ai retenu et je n’y comprends rien. Ma soeur Thérèse me regarda de nouveau, ses larmes avaient cessé de couler et elle me dit « Mon cher petit frère, qu’est-ce que tu penses de cela ? » Je me contentai de lui répondre: « Tout ce que je peux faire c’est de prier » Elle ajouta:  » Oui, mon petit frère, prie, ne cesse de prier  » Vers la fin de l’oraison, je vis que le drapeau noir était brisé et qu’il gisait par terre. Alors, Jésus se pencha de nouveau sur moi..Comme au début..Thèrése fit de même et je ne vis plus rien, si ce n’est mes larmes qui coulaient en présence d’un si grand amour…. Quand je me voyais assis sur les genoux de Jésus, je tenais en main du papier et une plume et j’étais très beau, n’ayant pas la taille que j’ai maintenant mais celle d’un enfant de 4 ans.. Ma soeur Thérèse était, elle aussi très belle. Cette fois, je l’ai vue plus distinctement; son visage frais et souriant venait encore ajouter à ma beauté.

" O Jésus, nous consacrons la France à ton Amour"

Vision de Marcel Van (1928-1959) sur la France. Mon Père permettez moi de vous raconter avec ma soeur Thèrése, ce qui s’est passé hier soir. Je commençais à faire mon chemin de croix quand je vis Jésus assis qui regardait la France en versant d’abondantes larmes. Mais cette vision ne dura qu’un instant. A l’heure de la méditation, je vis de nouveau Jésus tout seul qui regardait de nouveau la France en pleurant et il disait d’une voix éplorée  » France, France !! … Pourquoi m’abandonner ?….Non, Non…Puisse ce malheur ne jamais arriver… » Puis, sans parler davantage, il restait là à regarder en pleurant. Un instant après, j’aperçus ma soeur Thèrése qui me conduisait par la main. Cette fois là, elle avait revêtu son manteau et moi, j’étais tout petit comme la fois précédente. Je la vis donc sourire, se pencher vers moi et me dire « Récitons ensemble la concécration pour la France à Jésus »  » O Jésus, nous consacrons la France à ton Amour  » Après l’avoir récitée 2 ou 3 fois, elle inclina la tête sur le coeur de Jésus pour pleurer. A ce moment là, Jésus ne pleurait plus mais il était triste. Moi même je ne pleurais pas non plus, je tenais les yeux fixés sur Jésus qui, en silence, portait sur moi son regard plein d’Amour et de pitié. Alors Thérèse, tout en pleurant, adressait à Jésus certaines paroles que je répétais après elle. Mais comme elle parlait français, je ne comprenais absolument rien et j’ai tout oublié. Elle s’exprimait d’une voix tremblante et très claire et moi j’avais une voix élévée et très belle comme celle d’un enfant. Il m’est impossible de parler ainsi. Alors ma soeur Thérèse relevant la tête, Jésus lui donna un baiser puis presse la tête contre son coeur (de Thèrése), comme il aurait fait à un petit enfant. Ensuite Jésus me donna aussi un baiser mais j’étais si petit que Thérèse a du me prendre dans ses bras et Jésus se pencher pour me donner cette marque de tendresse. J’étais au comble de la joie. Je ne t’ai pas demandé de prier spécialement pour aucun autre pays, je te l’ai demandé uniquement pour la France. Oh !! Petit frère, il faut que tu pries vraiment beaucoup pour la France, surtout pour que les francais soient toujours prêts à répandre mon Amour dans tout l’univers. Mais il faut faire en sorte que le règne de mon Amour s’établisse au plus intime de du coeur des francais. Le mois prochain, ta soeur Thérère te donnera une formule de prière à cette intention. Je ne t’ai pas demandé de prier spécialement pour aucun autre pays, je te l’ai demandé uniquement pour la France. Quand la France a la joie de t’avoir comme intercesseur, que peut elle désirer de plus ? (Jésus souriant à Van) De plus, ces prières ne sortent pas de la bouche d’un homme de ce monde; elles ont leur source dans mon Amour même. Etant favorisée à ce point, qu’est ce que la France peut désirer de plus ? Et pourtant , il y a encore un très grand nombre qui ne savent pas m’aimer… Jésus à Van