Lecture de la première lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens

Frères,
    que l’on nous regarde donc
comme des auxiliaires du Christ
et des intendants des mystères de Dieu.
    Or, tout ce que l’on demande aux intendants,
c’est d’être trouvés dignes de confiance.
    Pour ma part, je me soucie fort peu d’être soumis à votre jugement,
ou à celui d’une autorité humaine ;
d’ailleurs, je ne me juge même pas moi-même.
    Ma conscience ne me reproche rien,
mais ce n’est pas pour cela que je suis juste :
celui qui me soumet au jugement, c’est le Seigneur.
    Ainsi, ne portez pas de jugement prématuré,
mais attendez la venue du Seigneur,
car il mettra en lumière ce qui est caché dans les ténèbres,
et il rendra manifestes les intentions des cœurs.
Alors, la louange qui revient à chacun
lui sera donnée par Dieu.

            – Parole du Seigneur.