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mercredi 24 avril 2024

Saint Fidèle de Sigmaringen

Articles Fabienne Guerrero

Fabienne Guerrero

Henri V de la Croix, par Fabienne Guerrero

« Les nouveaux rois seront le bras droit de la Sainte Eglise qui sera forte, humble, pieuse, pauvre, zélée et imitatrice des vertus de Jésus-Christ. » (SECRET DE LA SALETTE – apparition reconnue par l’Eglise)

Astrologie ou confiance en Dieu ? - par Fabienne

Fabienne GUERRERO a connu bien des astrologues dès sa jeunesse.
Elle nous raconte, par ce témoignage, ce qu’elle a connu à travers ses expériences et les conséquences pour son âme.
Elle nous parle d’astrologie et d’astrologie karmique.
Fabienne a eu confiance en la bonté et la tendresse infinie d’un Dieu qui n’est qu’amour et miséricorde.

Chers lecteurs, je souhaite vous raconter mon expérience avec l’astrologie.

Pendant des années, j’ai fréquenté des astrologues et ceci depuis l’âge de 16 ans.

A cette période de ma vie, j’ai contacté par courrier une astrologue suite à une annonce écrite dans un journal.

Quand j’ai reçu le dossier, il me fut demandé de donner ma date de naissance, l’heure de naissance, le lieu de naissance et quelques temps plus tard, j’ai reçu un courrier avec mon thème qui contenait plusieurs pages.

Je l’ai lu et relu pendant quelques temps et là j’ai découvert des prédictions sur mon avenir concernant ma vie privée et dans ce thème il me fut clairement dit que je devais avoir un accident et bien d’autres choses terribles. Cela m’a causé des troubles pendant de nombreuses années.

Ces prédictions m’ont beaucoup perturbée et j’avoue n’avoir vécu qu’en fonction de ces prédictions diaboliques. Pendant très longtemps, j’ai ressenti des angoisses terribles
et c’est grâce à un premier pélerinage à Medjugorje que j’en ai été libérée par la puissance de la vierge Marie.

Environ dix ans plus tard, je fis connaissance d’une dame qui, par la suite, est devenue une amie.

Cette personne, pratiquait l’astrologie karmique et un jour, elle m’a proposé d’établir mon thème karmique.

Alors puisque j’emploie le mot karmique, il me semble que je dois d’abord donner quelques explications sur le karma.

Notion clé de l’hindouisme, du jainisme et du bouddhisme, il a fait l’objet d’interprétations souvent très diverses.

A l’origine, à l’époque védique, il indiquait l’acte rituel en général un sacrifice par lequel une personne accédait au bonheur ou à la béatitude de l’au-delà.

Avec l’apparition du jainisme et du bouddhisme vers le 6ème siècle avec Jésus Christ, le karma perdit sa connotation salvifique :

La voie de la libération par la connaissance de l’atman ou soi dans la doctrine du Samsara, le karma devient le cycle perpétuel de naissance et de mort des hommes (hindouisme) ou de renaissance –bouddhisme.

Dans l’optique du Nouvel Age, la loi du karma est souvent considérée comme l’équivalent moral de l’évolution cosmique.

Elle n’a donc plus rien à voir avec le mal ou la souffrance, toutes illusions qu’il faut accepter comme faisant partie d’un jeu cosmique mais est la loi universelle de cause à effet qui fait partie du grand mouvement de l’univers interdépendant vers l’équilibre moral.

Chers lecteurs, je reviens maintenant sur cette période de ma vie où j’ai consulté cette amie qui m’a proposée d’établir mon thème karmique.

Elle a donc établit ce thème en le basant sur mes soit-disant vies antérieures.

Puisque je viens de parler de vies antérieures, je me dois d’aborder simplement le sujet de la réincarnation.

Dans le Nouvel Age, la réincarnation est liée à la notion d’évolution ascendante vers le divin.

A l’opposé des religions Indiennes ou de celles qui s’en inspirent, le nouvel age voit la réincarnation comme une progression de l’âme individuelle vers une plus grande perfection.

Ce qui se réincarne est essentiellement la partie la plus immatérielle ou spirituelle de la personne et plus précisément c’est sa conscience, cette étincelle d’énergie qui participe de l’énergie cosmique ou christique.

La mort n’est qu’alors que le passage de l’âme d’un corps à l’autre.

Dès que cette amie astrologue eut mis en forme ce thème, elle me l’a donné et c’est là que j’ai trouvé que dans ma date de naissance ressortait le chiffre 14 qui correspondrait, selon sa connaissance, à une lourde dette karmique que j’aurai contracté dans ma dernière vie.

A ce moment là, je croyais fermement aux vies antérieures, d’autant plus que je n’étais pas encore éclairée par l’Esprit Saint et le démon me montrait en esprit, sous forme de flash, mes vies passées.

Après que cette amie me fit une explication très développée de ce thème, j’ai compris, à ce stade de mon évolution intérieure, que j’avais contracté une lourde dette karmique sur la famille. Ceci m’a complètement déstabilisée et j’en ai été perturbéee très longtemps.

Le démon me tenait dans la peur, dans l’angoisse et dans une grande culpabilité.

Pour être libérée de tout ceci, j’ai du faire donner beaucoup de messes pour mon âme et j’ai du réciter de nombreux rosaires pour retrouver la paix, paix acquise également après m’être confessée et après avoir fait coupé les liens par un prêtre car, sans en être vraiment consciente, j’avais vendu mon âme au diable puisque j’avais adhéré à l’astrologie qui est totalement en abomination à Dieu.

Dans le Deutéronome au chapitre 18, il est écrit : « On ne trouvera chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce le métier de devin, d’astrologue, d’augure, de magicien, d’enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts, car quiconque fait ces choses est en abomination à l’éternel. Et c’est à cause de ces abominations que l’éternel ton Dieu va chasser ces nations devant toi. Tu seras entièrement à l’éternel ton Dieu. Car ces nations que tu chasseras écoutent les astrologues et les devins mais à toi l’éternel ton Dieu ne le permet pas… ».

Quand j’adhérais à ces techniques diaboliques, j’étais totalement dépendante des mauvais esprits qui aliénaient complètement ma liberté intérieure puisque j’étais prise dans leurs filets, tout comme tout astrologue l’est, ayant eux aussi pactisé avec le mal.

Satan, le 666, est très rusé et il donne toujours le pouvoir et l’argent à ceux qui se laissent posséder par son esprit mauvais.

Seul Dieu seul m’a rendu ma liberté et m’a libéré du pouvoir de l’ennemi.

Dieu seul connaît notre avenir. Il a un plan d’amour pour chacun d’entre nous. Pour que Dieu puisse accomplir ce plan salvifique en nous, il faut laisser l’Esprit Saint agir en nous.

Les actes de liberté, le démon ne peut pas les connaître.

Il peut seulement suggérer à l’astrologue, certaines précisions au niveau de notre comportement et c’est là que l’astrologue est médium.

La différence entre un médium et un mystique est très grande.

Un médium est toujours en relation directe avec les puissances de l’enfer, et un mystique est toujours en relation directe avec Dieu.

Bien des saints nous ont parlé de l’astrologie :

St Thomas d’Aquin nous dit : « Si on use de l’astrologie pour prévoir des évènements qui se produiront par hasard ou accidentellement ou encore pour prévoir avec certitude les actions des hommes, les démons s’en mêlent. C’est la divinisation superstitieuse et défendue. »

St Augustin nous dit : « Il faut avouer, que lorsque les astrologues disent vrai, c’est sous l’influence d’un instinct très secret que sans le savoir, subissent les âmes humaines.
C’est là une œuvre de séduction qu’il faut attribuer aux esprits impurs et séducteurs à qui Dieu permet de connaître certaines vérités de l’ordre temporel.
Aussi les bons chrétiens doivent-ils se garder des astrologues et de tous ceux qui exercent un art divinatoire et impie surtout s’ils disent vrai.
Qu’il craigne que son âme abusée par le commerce des démons ne soient prises aux filets dans des liens qui l’attachent à eux ».

Un jour, j’ai voulu connaître la position de l’église concernant tout ce qui concerne la divination.

Le C.E.C. nous explique que Dieu peut révéler l’avenir à ses prophètes ou à d’autres saints.

Cependant l’attitude chrétienne juste consiste à s’en remettre avec confiance entre les mains de la providence pour ce qui concerne le futur et à abandonner toute curiosité malsaine à ce propos.
L’imprévoyance peut constituer un manque de responsabilité.

Toutes les formes de divination sont à rejeter : Recours à Satan ou aux démons, évocation des morts, ou autres pratiques supposées à tort dévoiler l’avenir. La consultation des horoscopes, l’astrologie, la chiromancie, l’interprétation des présages et des sorts, les phénomènes de voyance, le recours aux médiums recèlent une volonté de puissance sur le temps, sur l’histoire et finalement sur les hommes, en même temps qu’un désir de se concilier les puissances cachées.

Elles sont en contradiction avec l’honneur et le respect mêlé de crainte aimante que nous devons à Dieu seul.

Toutes les pratiques de magie ou de sorcellerie par lesquelles on prétend domestiquer les puissances occultes pour les mettre à son service et obtenir un pouvoir surnaturel sur le prochain fut-ce pour lui procurer la santé sont gravement contraires à la vertu de religion.

Ces pratiques sont plus condamnables encore quand elles s’accompagnent d’une intention de nuire à autrui ou qu’elles recourent à l’intervertion des démons.

Parrallèlement au C.E.C, Mgr Tournyol du Clos, dans le livre « peut-on se libérer des esprits impurs ? » aux éditions de l’archistratège, nous dit :

Si vous avez été en contact avec l’occultisme, l’ésotérisme, le spiritisme, l’astrologie, la sorcellerie, la magie, l’hypnotisme, le reiki, le yoga, la méditation transcendentale, le nouvel age et toutes espèces de sectes ; Ou encore avec des pranothérapeutes, soit disant guérisseurs ou magnétiseurs, qui soignent par imposition des mains, passes magnétiques ou radiesthésie ou pendule ; Si vous avez rendu visite à des voyants ou voyantes tels que mages, devins, marabouts ou gourous, à des cartomanciennes qui lisent dans les cartes ; à des chiromanciennes qui lisent dans les lignes de la main ou à des nécromanciens qui consultent les esprits des défunts : Sachez que vous vous êtes adressé à des individus qui travaillent avec le démon et que vous avez donné à Satan un certain pouvoir sur vous.
Si vous-mêmes avez cherché à connaître l’avenir, même par jeu dans les tarots ou les horoscopes, si vous avez porté des porte bonheur tels que talismans, amulettes, signes du zodiaque ; Si vous avez fait – ou si on a pratiqué pour vous – des préparations occultes, si vous avez prononcé des formules ou répété des mots secrets comme les mantras par exemple, enfin si vous avez fréquenté des lieux empoisonnés par la sorcellerie, le vice ou la dépravation morale ; à plus forte raison, si vous-même avez passé un pacte avec satan, fait de la magie, évoqué les morts ; lancé des sorts, proféré des malédictions ou des blasphèmes, vous devez avant tout vous efforcer de vous rendre compte que vous avez gravement offensé notre Père du ciel.

Mgr Tournyol du Clos nous invite, dans une confession exhaustive à demander à Dieu de nous pardonner ces égarements et ces péchés qu’il a en abomination, même si ces évènements sont anciens et si, à l’époque, nous n’étions pas conscient de l’offenser.

Il faut absolument être conscient qu’en consultant des astrologues, nous rompons le commandement de Dieu : « tu ne mentiras pas », donc nous perdons l’état de grâce.

Dans l’apocalypse, St Jean vit, dans une vision, notre Seigneur assis sur un trône éclatant de gloire qui lui dit : Je renouvellerai toutes choses. Il lui fit voir la céleste Jérusalem qui était d’une beauté inexplicable et lui dit que les menteurs seront jetés dans un étang de souffre et de feu, qui est une seconde mort.

Les astrologues, par leurs mensonges, empêchent le plan d’amour de Dieu de se réaliser. Il devront, bien sûr, rendre des comptes au Très Haut, le jour où ils paraîtront devant Lui pour le jugement particulier de leur âme. C’est pourquoi Dieu les appelle tous au repentir, à se confesser et à lire la Sainte Bible en la mettant en pratique dans leur seule vie terrestre.

Si je pouvais adresser un mot à mon amie astrologue dont j’ai perdu le contact, je lui dirai simplement :
Surtout n’oublie pas les années de désespoir que j’ai passé à cause de toutes tes prédictions.
Bien sûr, je te pardonne à cause du Seigneur Jésus qui m’a appelée à témoigner de sa miséricorde mais je t’invite à ne plus plonger personne dans l’angoisse et le mensonge, parce que certains peuvent même aller jusqu’a se suicider et combien de personnes tombent dans un grand désespoir après ces prédictions diaboliques.

Je lui dirai aussi que Jésus Miséricordieux l’aime à la folie et qu’Il n’attend que son oui pour la sauver.

Quand le Seigneur Jésus est venu me réveiller de ma léthargie, j’ai pris conscience que le jour où je me présenterai devant lui, il est nécessaire que mes mains soient remplis d’actes de charité, de miséricorde et de prières pour mon prochain.

Le Seigneur, à ce moment-là, ne me demandera pas combien de thèmes j’ai fais établir dans ma vie, mais au contraire, il me demandera si j’ai porté son amour à mon prochain, sans espoir de récompense terrestre mais céleste.

Tout ce qui concerne l’avenir et qui est acquis à prix d’argent vient toujours du démon car quand Dieu accorde un charisme, Il l’accorde toujours dans une gratuité parfaite.

Quand le Seigneur Jésus dans son grand amour est venu me chercher, Il m’a dit : veux-tu t’en sortir ?
Après lui avoir répondu oui, il a commencé à me guérir, et il m’a demandé de témoigner de sa miséricorde.

Avant de témoigner de cette miséricorde infinie de Dieu qui est venu prendre sur lui tout mon péché, il m’a été demandé d’être humble, c’est à dire de me soumettre à ce que me commande l’église catholique.
Au jugement particulier de mon âme, comment pourrais-je tenir devant la lumière de Dieu si je n’ai pas pris conscience dès maintenant de mon péché ?

Personnellement, si je ne m’étais pas repentie, qui me dit qu’à l’heure de ma mort, je pourrais supporter de m’être éloignée un jour de lui ? Mon mensonge m’empêcherait de regarder Dieu face à face.

J’ai donc laissé Dieu me libérer, me purifier et me sanctifier pour apprendre à aimer véritablement et à brûler d’amour pour son divin cœur.

Il faut comprendre ce que signifie aimer tant que l’on est sur terre.

Aimer, c’est prendre sa croix tous les jours, prier Dieu et Le suivre.

Jésus, qui nous aime tous à la folie, nous proposera toujours au moins une fois dans la vie de revenir à lui de tout notre cœur ; En fait, Jésus d’amour et de tendresse infinie est constamment à la recherche de nouvelles âmes pour leur donner Sa vie et Sa lumière.

Si on répond oui à son appel d’amour, il nous fera connaître son sacrifice d’amour et sa douloureuse passion qui nous a tous sauvés, pourvu que nous-mêmes faisions beaucoup d’efforts pour nous sauver et que nous prions beaucoup car, sans sacrifice et sans prières, nous ne nous sauverons pas. Les saints nous l’ont dit.

C’est quand j’ai commencé à me confesser à un prêtre, seul à seul que j’ai permis à Dieu de me laver dans son précieux sang et de me mener sur la route qui conduit au paradis.

Qui n’a pas envie de se retrouver un jour avec tous ses défunts au ciel où tout n’est qu’amour, paix et joie, louange et action de grâce.

N’oublions pas que notre ange gardien veille tous les jours sur nous et que nous pouvons vivre en union avec lui au lieu de se soumettre à des esprits impurs dans l’astrologie.

Personnellement, j’ai décidé de revenir à Jésus d’amour de tout mon cœur pour le rejoindre Lui et sa Sainte Mère un jour en paradis.

En conclusion, je dirai simplement que plus grande pécheresse j’ai été, plus j’ai eu droit à la miséricorde de Dieu parce que j’ai tout quitté pour suivre le Seigneur Jésus dans l’église catholique de Rome.

Maintenant j’accepte de bon cœur toutes les croix que je dois porter avec le doux Jésus en les offrant avec amour au Père céleste.

C’est quand j’ai tout quitté pour lui offrir ma vie que le doux Jésus m’a dit : « Je t’appelle à la sainteté, je t’appelle à m’aimer. »

Surtout n’oublions jamais que celui a confiance en la miséricorde de Dieu ne périra pas.

Dieu n’est qu’amour et miséricorde dès que l’on revient à lui.

Chers lecteurs, le Seigneur Jésus m’a sauvée à travers son église, dans laquelle je me confesse très souvent.

N’oubliez jamais les paroles de Sainte thérèse de l’enfant Jésus : « Moi, si j’avais commis tous les crimes possibles je garderai toujours la même confiance car je sais bien que cette multitude d’offenses n’est qu’une goutte d’eau dans un brasier ardent. »

Loué soit Jésus Christ et le cœur immaculé de Marie.

Jésus Miséricordieux m'a libéré du spiritisme - Fabienne

Fabienne GUERRERO, a été libérée du spiritisme il y a dix ans par le Seigneur Jésus.
Dans le présent ouvrage elle parle dans une première partie du spiritisme et de ses dangers, et dans la deuxième partie elle aborde sa propre expérience dans ce domaine.
Après diverses réunions spirites, un gourou lui a ouvert les chakras.
Depuis que le Seigneur Jésus l’a ressuscitée, Fabienne donne de nombreuses conférences dans le monde et témoigne de la miséricorde infinie de Dieu pour tous ceux qui quittent le spiritisme et qui reviennent à lui.

INTRODUCTION

Très chers lecteurs, je souhaite, dans ce petit livret, vous parler du spiritisme car il y a quelques années, je suis entrée dans un centre spirite à Marseille.
Dans la première partie de ce livret j’aborderai le spiritisme en général et les dangers qui en découlent quand on en fait partie.
Dans la deuxième partie de ce livret, je vous raconterai ce que j’ai personnellement vécu à travers diverses expériences.
Le but premier de cet écrit est que, tous ceux qui ont touché ne serait-ce qu’une seule fois au spiritisme et qui sont peut être affectés intérieurement par ces expériences, retrouvent l’espérance de leur libération grâce à la puissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ.

PREMIERE PARTIE

Actuellement le spiritisme est répandu dans le monde entier et malheureusement de plus en plus de jeunes y adhèrent chez eux où dans les écoles, sans connaître réellement ce à quoi ils touchent, tout simplement parce que personne ne les a averti des dangers encourus dans ces diverses techniques démoniaques.

Beaucoup de personnes m’ont raconté leurs diverses expériences spirites.

Pour la plupart, elles ont presque toutes commencé par faire tourner un verre sur une table afin d’obtenir des réponses à diverses questions qu’elles se posaient.

Ensuite beaucoup d’entre elles ont fait d’autres expériences telles que la pratique de l’écriture automatique, tout simplement parce qu’elles avaient perdu un être cher et qu’elles voulaient entrer en contact avec lui.

Certaines sont aussi allées rencontrer une voyante « Médium » (c’est-à-dire un être qui communique avec les puissances de l’enfer) afin que leur défunt entre en contact avec elles par l’intermédiaire du Médium.

Malheureusement ces personnes, qui intérieurement ont agi avec sincérité et sûrement avec une grande souffrance dans l’âme, ont cru pouvoir communiquer réellement avec leur défunts.

Malheureusement la vérité n’est pas là.

Ce que beaucoup de personnes ignorent c’est que le monde de l’au-delà, celui que l’on ne peut pas voir sans être mort, est un monde qui peut être très dangereux pour ceux et celles qui y entrent sans connaissance réelle car ce monde est peuplé d’une part d’anges mais d’autre part de démons ; L’église catholique nous instruit là-dessus à travers le catéchisme.

Saint Augustin dit au sujet des anges : « ‘Ange’ désigne la fonction non pas la nature.
Tu demandes comment s’appelle cette nature ? Esprit.
Tu demandes la fonction ? Ange ;
D’après ce qu’il est dit, c’est un esprit, d’après ce qu’il fait, c’est un ange. ».

De tout leur être, les anges sont serviteurs et messagers de Dieu. Parce qu’ils contemplent « constamment la face de mon Père qui est aux cieux » (Mt 18 ,10), ils sont « les ouvriers de Sa Parole, attentifs au son de Sa Parole » (Ps. 103.20).

En tant que créatures purement spirituelles, ils ont intelligence et volonté : Ils sont des créatures personnelles et immortelles. Ils dépassent en perfection toutes les créatures visibles. L’éclat de leur gloire en témoigne.

Le Christ est le centre du monde angélique. Ce sont ses anges à Lui : « Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire avec tous ses anges… » (MT 25, 31). Ils sont à Lui parce que créés par et pour Lui : « Car c’est en Lui qu’ont été créées toutes choses, dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles : Trônes, Seigneuries, Principautés, puissances ; Tout a été par Lui et pour Lui » (Col 1,16).

Ils sont à Lui plus encore parce qu’Il les a faits messagers de son dessein de salut : « Est-ce que tous ne sont pas des esprits chargés d’un ministère, envoyés en service pour ceux qui doivent hériter le salut ? » (He 1, 14).

Ils sont là, dès la création et tout au long de l’histoire du salut, annonçant de loin ou de près ce salut et servant le dessein divin de sa réalisation : ils ferment le paradis terrestre, protègent Lot, sauvent Agar et son enfant, arrêtent la main d’Abraham, la loi est communiquée par leur ministère, ils conduisent le Peuple de Dieu, ils annoncent naissances et vocations, ils assistent les prophètes, pour ne citer que quelques exemples.
Enfin, c’est l’Ange Gabriel qui annonce la naissance du Précurseur et celle de Jésus lui-même.

De l’incarnation à l’Ascension, la vie du Verbe incarné est entourée de l’adoration et du service des anges. Lorsque Dieu « introduit le Premier-né dans le monde, il dit : « Que tous les anges de Dieu L’adorent » (He 1, 6).

Leur chant de louange à la naissance du Christ n’a cessé de résonner dans la louange de l’Eglise : « Gloire à Dieu… » (Lc 2, 14).

Ils protègent l’enfance de Jésus, Le servent au désert, Le réconfortent dans l’agonie, alors qu’Il aurait pu être sauvé par eux de la main des ennemis comme jadis Israël.

Ce sont encore les anges qui « évangélisent » (Lc 2, 10) en annonçant la Bonne Nouvelle de l’Incarnation, et de la Résurrection du Christ. Ils seront là au retour du Christ qu’ils annoncent, au service de son jugement.
(C.E.C. 329-333)

Il est important de savoir que chacun de nous a un ange gardien.

Du début de (l’existence) au trépas, la vie humaine est entourée de leur garde et de leur intercession. « Chaque fidèle a à ses côtés un ange comme protecteur et pasteur pour le conduire à la vie. » Dès ici-bas, la vie chrétienne participe, dans la foi, à la société bienheureuse des anges et des hommes, unis en Dieu.
(C.E.C. 336)

Très chers lecteurs, à côté de nos amis célestes, les anges, il existe ce qu’on appelle les anges déchus.

Derrière le choix désobéissant de nos premiers parents il y a une voix séductrice, opposée à Dieu qui, par envie, les fait tomber dans la mort.

L’écriture et la Tradition de l’Eglise voient en cet être un ange déchu, appelé Satan ou diable.
L’Eglise enseigne qu’il a été d’abord un ange bon, fait par Dieu. « Le diable et les autres démons ont certes été créés par Dieu naturellement bons, mais c’est eux qui se sont rendus mauvais ».

L’écriture parle d’un péché de ces anges. Cette « chute » consiste dans le choix libre de ces esprits créés, qui ont radicalement et irrévocablement refusé Dieu et son Règne. Nous trouvons un reflet de cette rébellion dans les paroles du tentateur à nos premiers parents :

« Vous deviendrez comme Dieu » (Gn 3.5). Le diable est « pécheur dès l’origine » (1 Jn 3, 8), « père du mensonge » (Jn 8, 44).

C’est le caractère irrévocable du choix des anges, et non un défaut de l’infinie miséricorde divine, qui fait que leur péché en peut être pardonné.

« Il n’y a pas de repentir pour eux après la chute, comme il n’y a pas de repentir pour les hommes après la mort ».
(C.E.C. 391-93)

Dans toutes les pratiques de spiritisme, nous ne pouvons être en contact qu’avec un démon encore appelé, comme nous l’avons vu plus haut, ange déchu.

Il est donc nécessaire de savoir que le spiritisme ne nous permettra jamais d’être en lien avec nos êtres chers qui ont trépassé.

Nos défunts sont soit au ciel, soit au purgatoire, soit en enfer.

S’ils sont morts dans la grâce et l’amitié de Dieu et s’ils sont parfaitement purifiés, ils vivent toujours avec le Christ, et sont semblables à Dieu, parce qu’ils Le voient « tel qu’Il est » (1 JN 3, 2), « Face à face » (1 CO 13, 12).

Si nos défunts sont morts dans la grâce et l’amitié de Dieu, mais sont encore imparfaitement purifiés, bien qu’assurés de leur salut éternel, ils souffrent après leur mort une purification, afin d’obtenir la sainteté nécessaire pour entrer dans la joie du ciel. (C.E.C 1030).

L’Eglise appelle Purgatoire cette purification finale des élus qui est tout à fait distincte du châtiment des damnés.

Nous ne pouvons pas être unis à Dieu à moins de choisir librement de l’aimer. Mais nous ne pouvons pas aimer Dieu si nous péchons gravement contre Lui, contre notre prochain ou contre nous-même : « Celui qui n’aime pas demeure dans la mort. Quiconque hait son frère est un homicide ; Or vous savez qu’aucun homicide n’a la vie éternelle demeurant en lui » (1 JN 3, 14-15).

Notre Seigneur nous avertit que nous serons séparés de Lui si nous omettons de rencontrer les besoins graves des pauvres et des petits qui sont ses frères.

Mourir en péché mortel sans s’en être repenti et sans accueillir l’amour miséricordieux de Dieu, signifie demeurer séparé de Lui pour toujours par notre propre liberté. Et c’est cet état d’auto-exclusion définitive de la communion avec Dieu et avec les bienheureux qu’on désigne par le mot « enfer ». (C.E.C 1033).

Jésus parle souvent de la « géhenne » du feu qui ne s’éteint pas », réservée à ceux qui refusent jusqu’à la fin de leur vie de croire et de se convertir, et où peuvent être perdus à la fois l’âme et le corps.

Revenons maintenant aux personnes qui ont fait tourner les tables, tourner les verres, communiqué avec les démons par un guéridon, participé à des expériences spirites diverses chez elles ou dans des centres spécialisées dans le spiritisme ou encore ont pratiqué l’écriture automatique en croyant sincèrement que leur défunt leur parlait.

Dans les cas précités, il est important de prendre rapidement conscience que le démon nous a trompé parce qu’on a désobéi à ce que Dieu nous commande.

Satan est le singe de Dieu. Il peut prendre n’importe quelle apparence et n’importe qu’elle voix.
Il peut prendre l’apparence d’un de vos défunts ou imiter sa voix.

Il faut savoir que le démon peut nous donner n’importe quels renseignements sur nos êtres chers car il connaît leur passé et il lui est facile de dévoiler certaines parties de leur vie pour nous laisser croire que c’est un membre défunt de notre famille qui s’adresse à nous.

Il lui est également facile pour lui de nous donner quelques renseignements précis sur notre vie actuelle car il connaît le présent puisqu’il le voit lui-même et connaît notre vie. Cependant il ne peut jamais dévoiler l’avenir d’une personne car il ne peut pas connaître ce qu’il va arriver à quelqu’un étant donné que Dieu a créé chaque personne avec un total libre arbitre.

Cependant, il ne se gêne pas pour faire croire à un pseudo avenir, qui va totalement à l’encontre du plan d’amour que Dieu a sur nous.

Toutes celles et ceux qui ont pratiqué des séances de spiritisme doivent être consciente qu’elles ont été en contact avec des esprits maléfiques qui sont venus les rejoindre pour exploiter leur curiosité.

Ces mauvais esprits peuvent être délivrés des corps humains par la prière et le jeûne nous dit la Bible. Il sera également nécessaire de prendre rendez-vous chez un prêtre pour rompre ces liens infernaux dans la puissance du sacrement de la réconciliation et de demander à l’église des prières de libération.

Vous savez que le Seigneur a donné à son église une autorité sur les démons.

L’exorciste du diocèse est mandaté officiellement par l’évêque pour ce service dans l’église et bien sûr quand on est lié il est nécessaire de le rencontrer.

Très chers lecteurs, le spiritisme, malheureusement, est répandu dans le monde entier.

Un pays comme le Brésil où le spiritisme est très répandu a du ouvrir des unités psychiatriques spéciales pour accueillir les malades qui en réalité ont été détruits par le diable dans le spiritisme et beaucoup de ces malades ont pu guérir grâce à leur consécration au cœur immaculé de Marie.

Personnellement, je me consacre souvent au cœur de notre très chère maman céleste, de la façon suivante :

CONSECRATION
AU CŒUR DE MARIE IMMACULEE

MON CHER ENFANT,
DONNE MOI TON RIEN,
DONNE MOI TOUT,
JE T’AIME.

JE SUIS TA MAMAN
ET JE VEUX TE CONDUIRE
SUR LA ROUTE DU PARADIS.

CONSACRE MOI
A MON CŒUR IMMACULE,

CONSACRE MOI
TES PENSEES, TES ACTIONS, TES JOURNEES.

JE SAURAI TE PRENDRE DANS MES BRAS
ET TE CONSOLER.

PROMETS-MOI DE TOUJOURS PENSER A MOI
EN RECITANT MON SAINT ROSAIRE.

NE M’OUBLIE PAS.
JE T’AIME TANT.

Prions beaucoup Marie car elle peut nous délivrer de n’importe quel démon en priant le chapelet.

La prière sera nécessaire à notre délivrance car le spiritisme a enlevé peu à peu toute confiance en Dieu puisque on a cherché ailleurs ce que Dieu aurait pu nous donner et progressivement, le démon a fait disparaître la prière et l’union avec Dieu puisque les réponses que nous avons reçu du malin ont suffit à nous satisfaire.

Nous nous sommes passés de l’aide Divine et nous sommes tombés dans un piège. Notre âme souffre puisqu’on a péché.

Il y a donc urgence à retrouver Dieu à travers tous les sacrements, à travers l’oraison et l’adoration pour retrouver la paix et la joie.

Il faut savoir que pendant la confession, c’est le Seigneur Jésus lui-même qui se trouve seulement caché derrière le prêtre et qui vient nous pardonner de tout son cœur afin que nous soyons totalement libéré de Satan et de tous les démons qui nous ont envahit à cause de ces techniques qui ne viennent pas de Dieu.

Quand on va se confesser, le Seigneur Jésus ouvre tout grand ses bras et nous accueille avec tout son amour et toute sa miséricorde dans son divin cœur et là Dieu est heureux car il peut sauver notre âme.

Le Seigneur Jésus nous invite ensuite, après la confession à prendre l’Eucharistie qui est un véritablement sacrement de guérison, du moment qu’on prend l’hostie après s’être confessé, donc lavé de tout péché.

Seul Dieu, Jésus-Christ, peut vous redonner entièrement votre liberté d’enfant de Dieu.

Cependant pour retrouver cet état de réconciliation parfaite avec Dieu, il est nécessaire de renoncer à plusieurs choses :

Il faut d’abord quitter toutes les pratiques spirites et si on a pratiqué chez soi, il faudra faire appel à un prêtre afin qu’il vienne bénir notre maison qui, je le conseille, devrait être consacrée au sacré cœur de Jésus et de Marie.

Il faudra ensuite déchirer et jeter tous les livres et objets que l’ont a utilisé dans ces diverses pratiques et rechercher la vraie lumière que l’on peut seulement trouver dans les évangiles et vivre de cette lumière.
Quand on rencontre la lumière du Christ, on a envie de se rapprocher de lui tellement que Jésus est bon et miséricordieux.

L’église nous apprend que l’on peut communier avec nos défunts :

« Reconnaissant dès l’abord cette communion qui existe à l’intérieur de tout le corps mystique de Jésus-Christ, l’Eglise en ses membres qui cheminent sur terre a entouré de beaucoup de piété la mémoire des défunts dès les premiers temps du christianisme en offrant aussi pour eux ses suffrages ; car « la pensée de prier pour les morts, afin qu’ils soient délivrés de leurs péchés, est une pensée sainte et pieuse (2 M 12, 45) ».

Quand nous prions pour nos êtres chers qui sont soit au purgatoire soit au ciel, alors notre prière ne reste jamais sans réponse.

Cette prière leur va droit au cœur et à leur tour ils intercèdent auprès de Dieu pour nous obtenir des grâces particulières tant que nous sommes sur terre.

Ce qui les touche le plus c’est quand on fait célébrer des messes pour leur âme et quand on prie le rosaire pour leur délivrance.

DEUXIEME PARTIE

Je souhaite maintenant vous livrer, dans cette deuxième partie, ce que j’ai personnellement vécu dans le spiritisme.
Il y a environ onze années de cela, je me suis rendue un jour dans un centre spirite en France, à Marseille, plus précisément.
Dans ce centre, j’ai rencontré des personnes qui étaient des médiums.
Je rappelle qu’il y a une différence entre un médium et un mystique.
Un médium est toujours en lien avec les puissances de l’enfer et un mystique est toujours uni à Dieu et à tout le ciel.
Ce centre était composé d’une pièce unique où l’on pouvait assister à divers enseignements spirites. Ces enseignements étaient donnés par le responsable du lieu et ce monsieur était un gourou qui parlait beaucoup de la religion spirite fondée par Alan Kardec (1804-1869).
Selon cet ennemi de la foi catholique, l’être humain serait composé de l’âme qui se trouve dans le corps physique par l’intermédiaire d’un corps astral encore appelé périsprit à travers lequel peuvent se manifester les esprits célestes.
Certains médiums aperçoivent ces esprits sous la forme d’ectoplasme, ou encore certains les entendent. C’est encore par ce périsprit que les désincarnés (c’est-à-dire les esprits des morts) prennent possession de l’intelligence de l’homme. De ce fait, l’homme devient un canal, encore appelé médium.
Dans cette fausse religion, il est traité de la réincarnation. On n’évoque jamais la résurrection de la chair qui fait partie intégrante de notre crédo chrétien.
Le catéchisme de l’église catholique nous enseigne que la mort est la fin du pèlerinage terrestre de l’homme, du temps de grâce et de miséricorde que Dieu lui offre pour réaliser sa vie terrestre selon le dessein divin et pour décider son destin ultime.
Quand a pris fin l’unique cours de notre vie terrestre, nous ne reviendrons plus à d’autres vies terrestres. « Les hommes ne meurent qu’une fois ». (He 9,27). Il n’y a pas de réincarnation après la mort.
J’ai assisté pendant plusieurs mois à diverses conférences spirites et à divers enseignements touchant à des sujets occultes.

Un jour, au cours d’une causerie, le gourou du centre spirite a proposé aux personnes présentes de venir assister, une fois par semaine, à une séance de spiritisme privée, le mercredi soir.
J’ai donc participé pendant un an aux diverses séances spirites.
Les médiums présents nous délivraient des messages personnels ou des messages pour l’humanité et nous étions même contactés par des soi-disant extra terrestres. Ces créatures angéliques ne sont que des anges déchus car ils ont librement refusé de servir Dieu et son dessein. Leur choix contre Dieu est définitif. Ils tentent d’associer l’homme à leur révolte contre Dieu.
Ces êtres déchus, très mauvais, se gardent bien de dire qu’ils sont des démons mais au contraire ils se font passer pour des saints tels que le Saint Curé d’Ars, le Saint Padre Pio, Sainte Thérèse de l’enfant Jésus ou encore pour de grandes personnalités.
Pendant toute une année, j’ai écouté tous les mercredis soirs les différents messages que venaient nous délivrer les démons de l’enfer. Cependant, à ce moment-là, je ne savais pas que j’étais trompée par les puissances du mal.
Un jour le gourou m’a personnellement proposé d’ouvrir mes chakras afin de me libérer totalement des mes soi-disant vies antérieures.
Il a ouvert deux chakras sur ma personne, respectivement le chakra du troisième œil qui est un chakra au milieu des yeux, puis le chakra du cœur qui se trouve au milieu de la poitrine.
Les chakras sont des centres d’énergie répartis le long de la colonne vertébrale et qui sont des centres de perception ou de captation de l’énergie cosmique que nous captons par le chakra situé à la base de la colonne vertébrale qui met en contact avec la terre et cette énergie qui s’appelle kundalini doit monter le long de la colonne vertébrale, la shushumna, et de chaque côté de ce canal central qu’est la shushumna vous avez deux canaux ida et pingala qui se croisent précisement en 7 points qui correspondent aux 7 chakras principaux. En fait il y en a environ 120 chakras.
Après avoir fait ouvrir des centres énergétiques, je suis tombée dans un très grand désespoir et je suis tombée très malade physiquement.
Je sentais le démon me torturer pour tout.
Jésus et Marie m’ont peu à peu aidée à me confesser et j’ai demandé à recevoir cinq fois le sacrement des malades dans l’église catholique.
Grâce à ces sacrements et à la sainte eucharistie, j’ai pu tenir debout.
Puis peu avant que je quitte le centre spirite, le Seigneur Jésus est venu lui-même me donner une vision de Sa miséricorde infinie.
J’ai vu Jésus Miséricordieux qui venait me délivrer de la damnation éternelle et peu de temps après le Seigneur m’a ramené vers l’église catholique.
Très chers lecteurs, n’oubliez jamais ce que l’écriture sainte nous dit dans le Deutéronome chapitre 18 verset 10 à 13 :
«On ne trouvera chez toi personne qui fasse passer au feu son fils ou sa fille, qui pratique divination, incantation, mantique ou magie, personne qui use de charmes, qui interroge les spectres et les devins, qui invoque les morts, car quiconque fait ces choses est en abomination à Yahvé ton Dieu et c’est à cause de ces abominations que Yahvé ton Dieu chasse ces nations devant toi. Tu seras sans tache vis-à-vis de Yahvé ton Dieu ».

CONCLUSION

L’église à travers son catéchisme nous enseigne que toutes les formes de divination sont à rejeter : Recours à Satan ou aux démons, évocation des morts ou autres pratiques supposées à tort « dévoiler » l’avenir.
La consultation des horoscopes, l’astrologie, la chiromancie, l’interprétation des présages et des sorts, les phénomènes de voyance, le recours aux médiums recèlent une volonté de puissance sur le temps, sur l’histoire et finalement sur les hommes en même temps qu’un désir de se concilier les puissances cachées.
Elles sont en contradiction avec l’honneur et le respect, mêlé de crainte aimante, que nous devons à Dieu seul.
Toutes les pratiques de magie ou de sorcellerie, par lesquelles on prétend domestiquer les puissances occultes pour les mettre à son service et obtenir un pouvoir surnaturel sur le prochain – fut-ce pour lui procurer la santé – sont gravement contraire à la vertu de la religion.
Ces pratiques sont plus condamnables encore quand elles s’accompagnent d’une intention de nuire à autrui ou qu’elles recourent à l’intervention des démons. Le port des amulettes est lui aussi répréhensible.
Le spiritisme implique souvent des pratiques divinatoires ou magiques. Aussi l’église avertit-elle les fidèles de s’en garder.
Le recours aux médecines dites traditionnelles ne légitime ni l’invocation des puissances mauvaises, ni l’exploitation de la crédulité d’autrui.
Je terminerai simplement en disant Merci à Jésus et à Marie d’avoir sauvée mon âme et de m’avoir délivrée de l’emprise des démons.
Je suis maintenant libre dans l’Esprit Saint et je donne de nombreuses conférences dans plusieurs pays.
Alors gloire à Dieu qui m’a ressuscitée et qui n’attend que le retour de tous ses enfants qui ont touché au spiritisme car Dieu nous aime tous à la folie et veut nous donner Sa Vie en plénitude.
Plus grand a été mon péché, plus grande à été la miséricorde de Dieu pour moi.

Loué soit Jésus-Christ et le Cœur immaculé de Marie.

Dieu m'a libérée de la croyance en la réincarnation - Fabienne

Fabienne GUERRERO, après avoir cheminée quelques années dans l’ésotérisme et le spiritisme, nous explique dans ce témoignage en quoi la réincarnation est totalement incompatible avec la foi catholique.
Sa réflexion est fondée sur ses expériences qu’elle analyse à travers l’enseignement du catéchisme de l’église catholique et à travers la Révélation Divine, définitivement close.

Elle donne maintenant de nombreuses conférences dans le monde pour témoigner de sa conversion et du danger d’adhérer à des hérésies, qui ne mèneront jamais sur la route du salut éternel.

INTRODUCTION

Très chers lecteurs, mon aventure spirituelle à travers, le spiritisme, l’ésotérisme et l’occultisme, ne s’est pas arrêtée à la recherche du vrai Dieu, mais je me suis battue avec moi-même pendant des années pour arriver à comprendre que la réincarnation était une totale hérésie et ce n’est que grâce à la prière du très Saint Rosaire et à l’étude de la Parole de Dieu que je dois ma croyance actuelle en la sainte Résurrection du Seigneur Jésus-Christ.

Tout au long de mes études ésotériques, je me suis accrochée fermement à la croyance en la réincarnation et un peu plus loin je développerai ce thème.

Pourquoi ai-je décidé d’éclairer mes frères et sœurs ?

Tout simplement, parce que maintenant que je suis libérée de cette hérésie et que j’adhère de tout mon cœur au Seigneur Jésus ressuscité que je sent vivre en moi après chaque Eucharistie, j’ai à cœur que ceux qui croient en cette hérésie se tournent vers la vrai foi catholique pour le bien de leur âme.

Je rencontre dans mes diverses conférences dans le monde bien des personnes qui ne croient qu’à la réincarnation et après que l’Esprit Saint ait agit dans leur âme, bien des grâces leur sont accordées en surabondance pour croire aux vérités essentielles de la foi en la sainte Résurrection du Seigneur Jésus.

A ceux qui croient que la réincarnation existe, je réponds simplement par ce qu’enseigne le catéchisme de l’église catholique sur ce sujet :

La mort est la fin du pélerinage terrestre de l’homme, du temps de grâce et de miséricorde que Dieu lui offre pour réaliser sa vie terrestre selon le dessein divin et pour décider son destin ultime.
Quand a pris fin « l’unique cours de notre vie terrestre », nous ne reviendrons plus à d’autres vies terrestres. « Les hommes ne meurent qu’une fois » (HE 9, 27). Il n’y a pas de réincarnation après la mort.
(C.E.C 1013).

J’explique aussi aux personnes que je rencontre que tous les chrétiens croient en Dieu qui est le créateur de la chair ; que tous croient au Verbe fait chair pour racheter la chair ; et enfin que tous croient en la résurrection de la chair, achèvement de la création et de la rédemption de la chair.

Par la mort l’âme est séparée du corps, mais dans la Résurrection, Dieu rendra la vie incorruptible à notre corps transformé en le réunissant à notre âme.

De même que le Christ est ressuscité et vit pour toujours, tous nous ressusciterons au dernier jour.

Personnellement je croie en la vraie résurrection de cette chair que nous possédons maintenant.

Si on est semé dans la corruption,, on ressuscite dans l’incorruptibilité.

Saint Paul, dans la première épître aux Corinthiens, chapitre 15 verset 43-44 nous dit :

« On est semé dans l’ignominie, on ressuscite dans la gloire ; On est semé dans la faiblesse, on ressuscite dans la force ; On est semé corps psychique, on ressuscite corps spirituel. S’il y a un corps psychique, il y a un corps spirituel ».

Avant de ressusciter, l’homme, en conséquence du péché originel, doit subir la mort corporelle, à laquelle il aurait été soustrait s’il n’avait pas péché.

Jésus, le Fils de Dieu, a librement souffert la mort pour nous dans une soumission totale et libre à la volonté de Dieu, son Père.

Par Sa mort il a vaincu la mort, ouvrant ainsi à tous les hommes la possibilité du salut.

DE LA CROYANCE EN LA RÉINCARNATION
A L’ADHÉSION TOTALE A LA RÉSURRECTION

Très chers lecteurs, pendant des années j’ai cherché en vain à connaître mes vies antérieures car je croyais fermement à la réincarnation.

Pour ce faire, mes chakras ont été ouverts dans un centre de spiritisme à Marseille où le gourou m’avait reçue un jour personnellement, pour simplement effectuer ce qu’il appelait « un grand nettoyage ».

Il a commencé à m’ouvrir le chakra du troisième œil puis le chakra du cœur et à la suite de cela, le grand nettoyage a commencé et a duré deux ans et demi.

Pendant cette période, j’ai souffert le martyr quotidien et plus la souffrance s’intensifiait, plus je voyais mes vies passées encore appelées vies antérieures. Je me voyais dans tel pays, incarnant tel personnage ou telle condition de vie.

C’est peu à peu que j’ai compris l’astuce du démon car en fait, c’est lui qui créait ces visions en moi et ce que je voyais alors, par flash, n’était que pure illusion Satanique.

Je me suis intéressée à la réincarnation à travers l’ésotérisme et à travers le spiritisme.

Dans le contexte de l’ésotérisme, il faut savoir que sont empruntés les concepts de réincarnation d’Orient tels que le Karma par exemple.

Je vais essayer de définir le karma, puisque ce n’est pas un terme Chrétien mais qui est toutefois utilisé par beaucoup de personnes Chrétiennes.

Nous vivons tous notre vie terrestre comme bon nous semble et à la fin de cette vie, ce que nous en aurons fait sera transféré à notre mort, sur un autre personnage dans l’incarnation qui suivra celle que nous vivons actuellement.
Nous avons le choix d’agir bien ou d’agir mal pendant notre vie terrestre. Ceci est notre libre arbitre. Cette liberté qui aura été utilisée, on la retrouvera dans l’incarnation suivante et on devra subir les conséquences de nos actes passés.
Voilà en tout les cas ce que j’ai appris sur le Karma dans mes diverses études ésotériques.
Dans certains ordres ésotériques, on apprend que le moi va transmigrer d’une incarnation à l’autre, par le biais de différents corps. Il y aurait sept corps subtils.
Selon certains enseignements ésotériques, notre corps astral peut se transformer au cours d’une vie ou d’une autre selon les progrés spirituels que nous aurons faits. Nous acquérons donc une charge de bonnes ou mauvaises actions.
Dans le spiritisme, j’ai pris connaissance de certains livres d’Alan KARDEC, fondateur de la fausse religion spirite (1804-1869).
Selon lui, l’homme serait composé de trois éléments qui se dissocient avec la mort : l’âme enchassée dans le corps physique par l’intermédiaire d’un corps astral (qui est une sorte d’enveloppe éthérique appelée périsprit).
C’est par ce périsprit que se manifesteraient les esprits, de façon visible, sous la forme d’ectoplasme, auditive ou en déplaçant des objets ; c’est par lui encore que les esprits des morts (ce qu’il appelle les désincarnés mais non encore dégagés du périsprit) se saisissent de l’intelligence ou autre faculté de l’homme faisant de lui-même un médium ou un channel.
Alan KARDEC a même osé nommer un livre « l’Evangile selon le Spiritisme » et après avoir étudié longuement tous les livres sur le Spiritisme et il y en a beaucoup, je puis certifier que tous enseignent la réincarnation.
Personnellement, j’ai jeté tous ces livres pour ne garder que ceux qui sont catholiques.
L’homme, pour le spiritisme serait formé du corps, du périsprit et d’une étincelle Divine en lui.
Donc, dés à présent, nous pouvons noter que ce soit dans l’ésotérisme ou bien dans le spiritisme, que l’être intérieur serait divin par nature et que par là même, il pourrait se sauver lui-même en revenant se purifier plusieurs fois sur terre, c’est-à-dire qu’il ne fait pas appel à Dieu pour le sauver, ni aux divers sacrements qu’Il a donné à l’église catholique pour que l’homme chemine vers la sainteté. Donc l’homme pourrait se construire tout seul.
Bref, nous sommes en plein Nouvel Age, l’homme n’est plus la créature de Dieu mais l’homme est Dieu lui-même puisqu’il peut se sauver tout seul. Bien sûr tout ceci n’est que totale hérésie.
Pourquoi hérésie ? Et bien tout simplement parce que la réincarnation est absente dans tout l’Ancien Testament et elle n’apparaît nullement à l’époque où le Seigneur Jésus a vécu.
Jamais vous ne trouverez le terme « Réincarnation » dans la Révélation divine, définitivement close.
Ce que Dieu n’a pas révélé, forcément, ne peut pas exister.
Le Christ, quand il était sur terre, ne nous a jamais parlé de la Réincarnation, mais au contraire il a annoncé Sa Résurrection et dans sa grande bonté, quand il était sur la croix en train de nous sauver, par trois heures de longue agonie, il a dit au bon larron : « En vérité, je te le dis, aujourd’hui tu seras avec moi dans le Paradis ».
Il est aisé de comprendre que si le Christ lui a promis le Paradis, le bon larron n’allait pas se réincarner. Il a cru en Jésus en tant que son Sauveur.
Le bon larron, après avoir souffert comme Jésus sur la croix, a fait l’objet de la miséricorde infinie du Seigneur qui ne lui a pas parlé du purgatoire ou de l’enfer bien qu’ils soient des dogmes de foi, mais Il lui a simplement ouvert le ciel et souvent je rappelle, dans mes conférences sur les dangers du Nouvel Age, ce passage de l’évangile de Saint Luc chapitre 23 verset 43 parce qu’il me paraît essentiel.
La Bible n’a jamais envisagée l’idée de plusieurs morts : L’Epître aux Hébreux chapitre 9 verset 27 nous dit : « Les hommes ne meurent qu’une fois ».
La Sainte Bible nous parle plusieurs fois de la Résurrection.
L’Epître aux hébreux chapitre 9 verset 26 à 28 nous dit ceci :
« Or c’est maintenant, une fois pour toutes, à la fin des siècles, qu’il s’est manifesté, pour abolir le péché par son sacrifice. Et comme les hommes ne meurent qu’une fois, après quoi il y a un jugement, ainsi le Christ, après s’être offert une seule fois pour enlever les péchés d’un grand nombre, apparaîtra une seconde fois, hors du péché – à ceux qui l’attendent, pour leur donner le salut. »
Là encore, nous voyons que l’homme ne meurt qu’une fois.
Le catéchisme nous explique que nous sommes un de corps et d’âme.
La personne humaine, créée à l’image de Dieu, est un être à la fois corporel et spirituel. Le récit biblique exprime cette réalité avec un langage symbolique, lorsqu’il affirme que « Dieu modela l’homme avec la glaise du sol ; Il insuffla dans ses narines une haleine de vie et l’homme devient un être vivant « (GN 2,7). L’homme tout entier est donc voulu par Dieu.
Souvent, le terme âme désigne dans l’Ecriture Sainte la vie humaine ou toute la personne humaine. Mais il désigne aussi ce qu’il y a de pus intime en l’homme et de plus grande valeur en lui, ce par quoi il est plus particulièrement image de Dieu : « âme » signifie le principe spirituel de l’homme.
Le corps de l’Homme participe à la dignité de l’ « image de Dieu » : il est corps humain précisément parce qu’il est animé par l’âme spirituelle, et c’est la personne humaine tout entière qui est destinée à devenir, dans le Corps du Christ, le Temple de l’Esprit :
Corps et âme, mais vraiment un, l’homme, dans sa condition corporelle, rassemble en lui-même les éléments du monde matériel qui trouvent ainsi, en lui, leur sommet, et peuvent librement louer leur Créateur ; Il est donc interdit à l’homme de dédaigner la vie corporelle ; Mais au contraire il doit estimer et respecter son corps qui a été créé par Dieu et doit ressusciter au dernier jour.
L’unité de l’âme et du corps est si profonde que l’on doit considérer l’âme comme la forme du corps ; c’est-à-dire, c’est grâce à l’âme spirituelle que le corps constitué de matière est un corps humain et vivant ; l’Esprit et la matière, dans l’homme, ne sont pas deux natures unies, mais leur union forme une unique nature.
L’Eglise enseigne que chaque âme spirituelle est immédiatement créée par Dieu – elle n’est pas « produite » par les parents – ; elle nous apprend aussi qu’elle est immortelle : elle ne périt pas lors de sa séparation du corps dans la mort et s’unira de nouveau au corps lors de la résurrection finale.
Parfois il se trouve que l’âme soit distinguée de l’esprit.
Ainsi Saint Paul prie pour que notre « être tout entier, l’esprit, l’âme et le corps » soit gardé sans reproche à l’Avènement du Seigneur (1 TH 5,23).
L’Eglise enseigne que cette distinction n’introduit pas une dualité dans l’âme. « Esprit » signifie que l’homme est ordonné dès sa création à sa fin surnaturelle, et que son âme est capable d’être surélevée gratuitement à la communion avec Dieu.
La tradition spirituelle de l’Eglise insiste aussi sur le cœur, au sens biblique de « fond de l’être » (JR 31, 33) où la personne se décide ou non pour Dieu. (C.E.C. 362 à 368).

Pour comprendre l’amour de Dieu et la non-utilité de la réincarnation, il me semble qu’il est important de connaître quelle est exactement la mission du Fils ?
Le Concile Vatican II nous dit que le Fils est donc venu, envoyé par le Père qui nous a « choisis en lui, dés avant la création du monde et nous a prédestinés à être ses enfants adoptifs, parce qu’il lui a plu de tout réunir en lui (cf. EP 1, 4-5 et 10). C’est pourquoi le Christ, afin d’accomplir la volonté du Père, a inauguré ici-bas le Royaume des Cieux, nous a révélé le mystère du Père et, par son obéïssance, a opéré la rédemption.
L’Eglise qui est le royaume du Christ déjà présent sous une forme mystérieuse, croît visiblement dans le monde grâce à la puissance de Dieu. Ce commencement et cette croissance sont signifiés par le sang et l’eau qui sortent du côté de Jésus crucifié (cf. 1 JN 19, 34) et annoncés par les paroles du Seigneur concernant sa mort en croix : « Et moi, quand je serai élevé de terre, j’attirerai tout à moi » (JN 12, 32). Chaque fois que le sacrifice de la croix, par lequel « Le Christ, notre pâque, a été immolé » (1 CO 5, 7), est célébré sur l’autel, l’œuvre de la rédemption se réalise. En même temps le sacrement du pain Eucharistique représente et produit l’unité des fidèles, qui constituent un seul corps dans le christ (cf. 1 CO 10, 17) ; Tous les hommes sont appelés à cette union avec le Christ, qui est la lumière du monde, de qui nous venons, par qui nous vivons, vers qui nous tendons.
Très chers lecteurs, toute la richesse du Christ est destinée à tout homme et constitue le bien de chacun. Le Christ n’a pas vécu sa vie pour lui-même, mais pour nous, de son incarnation, « pour nous les hommes et pour notre salut » jusqu’à sa mort pour nos péchés (1 CO 15,3) et à sa résurrection pour notre justification. (RM 4,25) ; maintenant encore, il est notre avocat auprès du Père (1 JN 2.1) étant toujours vivant pour intercéder en notre faveur (HE 7,25).
Avec tout ce qu’il a vécu et souffert pour nous, une fois pour toutes, il reste présent pour toujours devant la face de Dieu en notre faveur » (HE 9,24).
Nous remarquons qu’il est écrit que le Christ a souffert pour nous, une fois pour toutes. Donc il ne reviendra pas pour nous sauver une deuxième fois.

A nous de rester fidèle, dans cette seule vie terrestre et de faire ce qu’il nous a demandé pour nous sauver : Donner à manger aux pauvres, visiter les malades, les prisonniers, prier pour notre salut et pour tous nos frères et sœurs et croire en lui…
A nous de rester fidèle à la sainte église Catholique et d’accepter de laver notre âme dans le sang de l’agneau afin qu’un jour nous paraissions saints et irréprochables devant lui. Il est facile pour un chrétien d’aller prendre les sacrements et de se purifier durant sa vie terrestre, afin qu’à l’heure de sa mort il puisse se sauver.
Les évangiles nous portent plusieurs preuves de la résurrection du Seigneur Jésus : « Mais l’ange prit la Parole et dit aux femmes : « Ne craignez point, vous ; Je sais bien que vous cherchez Jésus le Crucifié. Il n’est pas ici car il est ressuscité comme il l’avait dit. Venez voir le lieu où il gisait et vite allez dire à ses disciples : « Il est ressuscité d’entre les morts, et voilà qu’il vous précède en Galilée ; c’est là que vous le verrez ». (MT 28,5).
« Car il instruisait ses disciples et il leur disait : « Le Fils de l’homme est livré aux mains des hommes et ils le tueront, et quant il aura été tué, après trois jours, il ressuscitera ». (MC 9,31).
« Enfin il se manifesta aux onze eux-mêmes pendant qu’ils étaient à table et il leur reprocha leur incrédulité et leur obstination à ne pas ajouter foi à ceux qui l’avaient vu ressuscité. (MC 16,14).
Alors, nous sommes tous invités à être croyant car le Seigneur Jésus sauve tous ceux qui croient en lui et personne ne vous arrachera à sa main si vous revenez à la foi Chrétienne.
Il nous aime tant et a tant souffert pour nous sauver et souffre bien encore jusqu’à ce que nous soyons tous réunis au Ciel avec lui dans son corps mystique.
Si nous croyons à la réincarnation, nous sommes sur la voie de la perdition, tant qu’il n’y a pas de vrai repentir.
Le Seigneur Jésus nous a dit qu’il y a beaucoup d’appelés mais peu d’élus.
Alors nous sommes invités à lutter jusqu’au dernier instant de notre vie pour garder notre foi intacte, sans tâche, pour que nous soyons jugés dignes du Royaume.
Très chers lecteurs, il y a encore bien des preuves de la résurrection du Seigneur Jésus :
Le troisième jour il est ressuscité des morts : Nous vous anonçons la bonne nouvelle : la promesse faite à nos pères, Dieu l’a accomplie en notre faveur à nous leurs enfants ; Il a ressuscité Jésus (AC 13, 32-33).
La Résurrection de Jésus est la vérité culminante de notre foi dans le Christ, crue et vécue comme vérité centrale par la première communauté chrétienne, transmise comme fondamentale par la tradition, établie par les documents du Nouveau Testament, prêchée comme partie essentielle du mystère pascal en même temps que la croix : Le Christ est ressuscité des morts. Par sa mort, il a vaincu la mort, aux morts, Il a donné la vie. (C.E.C 638)
Le mystère de la Résurrection du Christ est un événement réel qui a eu des manifestations historiquement constatées comme l’atteste le Nouveau Testament.
Déjà Saint Paul peut écrire aux Corinthiens vers l’an 56 : « Je vous ai donc transmis ce que j’avais moi-même reçu, à savoir que le Christ est mort pour nos péchés selon les Ecritures, qu’Il a été mis au tombeau, qu’Il est ressuscité le troisième jour selon les Ecritures, qu’Il est apparu à Céphas, puis au douze » (1 CO 15, 3-4).
L’apôtre parle ici de la vivante tradition de la Résurrection qu’il avait apprise après sa conversion aux portes de Damas. (C.E.C. 639)
Devant ces témoignages il est impossible d’interpréter la Résurrection du Christ en dehors de l’ordre physique, et de ne pas la reconnaître comme un fait historique. Il résulte des faits que la foi des disciples a été soumise à l’épreuve radicale de la passion et de la mort en Croix de leur maître annoncée par Celui-ci à l’avance.
La secousse provoquée par la passion fut si grande que les disciples (tout au moins certains d’entre eux) ne crurent pas aussitôt à la nouvelle de la Résurrection. Loin de nous montrer une communauté saisie par une exaltation mystique, les Evangiles nous présentent les disciples abattus (« le visage sombre » : LC 24, 17) et effrayés.
C’est pourquoi ils n’ont pas cru les saintes femmes de retour du tombeau et « leurs propos leur ont semblé du radotage » (LC 24,11). Quand Jésus se manifeste aux onze au soir de Pâques, « il leur reproche leur incrédulité et leur obstination à ne pas ajouter foi à ceux qui L’avaient vu ressuscité (MC 16,14). (C.E.C. 643)
Même mis devant la réalité de Jésus ressuscité, les disciples doutent encore, tellement la chose leur paraît impossible : ils croient voir un esprit. « Dans leur joie ils ne croient pas encore et demeurent saisis d’étonnement » (LC 24,41). Thomas connaîtra la même épreuve du doute et, lors de la dernière apparition en Galilée rapportée par Matthieu, « certains cependant doutèrent » (Mt 28,17).
C’est pourquoi l’hypothèse selon laquelle la Résurrection aurait été un « produit » de la foi (ou de la crédulité) des apôtres est sans consistance.
Bien au contraire, leur foi dans la Résurrection est née – sous l’action de la grâce divine – de l’expérience directe de la réalité de Jésus ressuscité. (C.E.C. 644)
Jésus ressuscité établit avec ses disciples des rapports directs, à travers le toucher et le partage du repas. Il les invite par là à reconnaître qu’Il n’est pas un esprit mais surtout à constater que le corps ressuscité avec lequel il se présente à eux est le même qui a été martyrisé et crucifié puisqu’Il porte encore les traces de sa passion. Ce corps authentique et réel possède pourtant en même temps les propriétés nouvelles d’un corps glorieux : Il n’est plus situé dans l’espace et le temps, mais peut se rendre présent à sa guise où et quand Il veut car son humanité ne peut plus être retenue sur terre et n’appartient plus qu’au domaine divin du père.
Pour cette raison aussi Jésus ressuscité est souverainement libre d’apparaître comme Il veut : sous l’apparence d’un jardinier ou « sous d’autres traits » (MC 16,12) que ceux qui étaient familiers aux disciples, afin précisément de susciter leur foi. (C.E.C. 645)
La Résurrection du Christ ne fut pas un retour à la vie terrestre, comme ce fut le cas pour les résurrections qu’Il avait accomplies avant Pâques : la fille de Jaïre, le jeune homme de Naïm, Lazare.
Ces faits étaient des événements miraculeux, mais les personnes miraculées retrouvaient, par le pouvoir de Jésus, une vie terrestre « ordinaire ». A un certain moment, ils mourront de nouveau.
La Résurrection du Christ est essentiellement différente. Dans son corps ressuscité, Il passe de l’état de mort à une autre vie au –delà du temps et de l’espace. Le corps de Jésus est, dans la Résurrection, rempli de la puissance du Saint-Esprit ; Il participe à la vie divine dans l’état de sa gloire, si bien que Saint Paul peut dire du Christ qu’Il est « L’homme céleste ». (C.E.C. 646).
La Résurrection du Christ est objet de foi en tant qu’elle est une intervention transcendante de Dieu lui-même dans la création et dans l’histoire. En elle, les trois Personnes divines à la fois agissent ensemble et manifestent leur originalité propre. Elle s’est faite par la puissance du Père qui « a ressuscité » (AC 2, 24) le Christ, son Fils, et a de cette façon introduit de manière parfaite son humanité – avec son corps – dans la Trinité.
Jésus est définitivement révélé « Fils de Dieu avec puissance selon l’Esprit, par sa Résurrection d’entre les morts » (RM 1, 4).
Saint Paul insiste sur la manifestation de la puissance de Dieu par l’œuvre de l’Esprit qui a vivifié l’humanité morte de Jésus et l’a appelée à l’état glorieux de Seigneur. (C.E.C. 648).
Quant au Fils, Il opère Sa propre Résurrection en vertu de sa puissance divine. Jésus annonce que le Fils de l’Homme devra beaucoup souffrir, mourir, et ensuite ressusciter (au sens actif du mot).
Ailleurs, Il affirme explicitement : « Je donne ma vie pour la reprendre (…) J’ai pouvoir de la donner et pouvoir de la reprendre » (JN 10, 17-18). « Nous croyons (…) que Jésus est mort, puis est ressuscité » (1 TH 4,14). (C.E.C. 649).
La vérité de la divinité de Jésus est confirmée par sa Résurrection. Il avait dit : « Quand vous aurez élevé le Fils de l’Homme, alors vous saurez que Je Suis » (JN 8,28). La Résurrection du Crucifié démontra qu’Il était vraiment « Je Suis », le Fils de Dieu et Dieu Lui-même. St Paul a pu déclarer aux Juifs : « La promesse faite à nos pères, Dieu l’a accomplie en notre faveur (…) ; Il a ressuscité Jésus, ainsi qu’il était écrit au psaume premier : Tu es mon Fils, moi-même aujourd’hui Je T’ai engendré » (Ac 13, 32-33) ; La Résurrection du Christ est étroitement liée au mystère de l’Incarnation du Fils de Dieu. Elle en est l’accomplissement selon le dessein éternel de Dieu. (C.E.C. 653).
Il y a un double aspect dans le mystère Pascal : par sa mort il nous libère du péché, par sa Résurrection il nous ouvre l’accès à une nouvelle vie. Celle-ci est d’abord la justification qui nous remet dans la grâce de Dieu « afin que, comme le Christ est ressuscité des morts, nous vivions nous aussi dans une vie nouvelle » (RM 6,4). Elle consiste en la victoire sur la mort du péché et dans la nouvelle participation à la grâce. Elle accomplit l’adoption filiale car les hommes deviennent frères du Christ, comme Jésus Lui-même appelle ses disciples après sa Résurrection : « Allez annoncer à mes frères » (Mt 28,10).
Frères non par nature, mais par don de la grâce, parce que cette filiation adoptive procure une participation réelle à la vie du Fils unique, qui s’est pleinement révélée dans sa Résurrection. (C.E.C. 654).
Enfin la Résurrection du Christ – le Christ ressuscité lui-même – est principe et source de notre résurrection future : « Le Christ est ressuscité des morts, prémices de ceux qui se sont endormis (…), de même que tous meurent en Adam, tous aussi revivront dans le Christ » (1 CO 15, 20-22).
Dans l’attente de cet accomplissement, le Christ ressuscité vit dans le cœur de ses fidèles. En Lui les chrétiens « goûtent aux forces du monde à venir » (HE 6, 5) et leur vie est entraînée par le Christ au sein de la vie divine « afin qu’ils ne vivent plus pour eux-mêmes mais pour Celui qui est mort et ressuscité pour eux » (2 CO 5,15). (C.E.C. 655).

CONCLUSION

L’homme dans sa vie sur terre, par la conversion toujours renouvelé de son cœur, doit croire à la bonne parole et la vivre. Le temps de la vie qui est donné comme un temps de conversion nous laisse le temps de choisir entre Dieu ou Satan, entre la foi Chrétienne ou les fausses doctrines.
A nous de choisir librement, mais la conversion n’est pas possible après la mort.
La foi en la Résurrection a pour objet un événement à la fois historiquement attesté par les disciples qui ont réellement rencontré le Ressuscité, et mystérieusement transcendant en tant qu’entrée de l’humanité du Christ dans la Gloire de Dieu.
Si le Seigneur Jésus ne m’avait pas personnellement ressuscitée, je n’aurais jamais témoigné de ce qu’il a fait pour moi et en moi. J’étais morte et il m’a rendu la vie en me donnant la sienne.
Si l’Esprit de Celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous, Celui qui a ressuscité Jésus-Christ d’entre les morts donnera aussi la vie à vos corps mortels, par son Esprit qui habite en vous (RM 8,11).
Très chers lecteurs, je peux maintenant dire comme Saint Paul (1 CO 15, 14) « Si le Christ n’est pas ressuscité, alors notre prédication est vaine et vaine aussi notre foi ».
Si en tant que pauvre missionnaire inutile du Seigneur Jésus, je ne croyais pas en sa Résurrection et en la mienne, alors je ne serai pas en harmonie avec tout mon travail d’évangélisation dans une partie du monde.
Jésus-Christ m’a ressuscitée,
Vive la Résurrection du Christ. Alléluia !
Merci à Jésus de nous avoir donné qu’une seule vie pour nous décider pour le paradis ou l’enfer.

FABIENNE GUERRERO

J'ai quitté l'ordre de Rose-Croix A.M.O.R.C - Témoignage de Fabienne

Fabienne GUERRERO, ancienne adepte Rose-Croix a été libérée en 1996 par Jésus Miséricordieux de cet ordre ésotérique.

Dans le présent témoignage, elle parle de son expérience dans l’ordre de la Rose-Croix AMORC et elle témoigne que Dieu et la Sainte Vierge Marie l’en ont sortie.

Fabienne donne maintenant de nombreuses conférences dans le monde et témoigne de la miséricorde infinie de Dieu pour son âme et pour tous ceux qui quittent l’ésotérisme afin de retrouver la foi dans l’église catholique de Rome.

Introduction
Très chers lecteurs, avant de trouver le chemin, la vérité et la vie, j’ai étudié l’ésotérisme pendant des années, que ce soit dans l’Ordre de la Rose-Croix AMORC ou encore à travers l’étude
des fondateurs du Nouvel Age et des faux Dieux, études qui ont été particulièrement pénibles, spécialement en ce qui concerne les enseignements d’Alice Bailey, Rudolph Steiner, Helena Petrovna Blavatsky.
Cette dernière, par la complexité de ses écrits, m’a beaucoup troublée, spécialement quand j’ai essayé d’étudier la doctrine secrète, que j’ai totalement rejetée plus tard, d’une part car ces
écrits sont très difficiles à comprendre et d’autre part parce qu’ils sont totalement inconciliables avec la foi catholique.
Un peu plus loin, j’exposerai ma pauvre expérience dans l’Ordre de la Rose-Croix AMORC, expérience très décevante car elle m’a entraînée à un grand désespoir et un vide intérieur infini.
Au fur et à mesure que les années ont passées, j’ai pris conscience de l’inutilité de toutes ces études qui m’entraînaient à connaître le Dieu de mon cœur et non le vrai Christ Jésus, le seul vrai Dieu et sauveur de tous les hommes.

MON EXPERIENCE DANS L’ORDRE DE LA ROSE CROIX AMORC

Un jour, en visite chez ma cousine, j’ai rencontré une amie à elle qui faisait partie de l’ordre de la Rose-Croix A.M.O.R.C.
Nous avons fait connaissance très rapidement et après avoir sympathisé toutes les deux, elle m’a parlé des enseignements qu’elle avait étudiés pendant des années dans cet ordre ésotérique, enseignements qu’elle avait renoncé à poursuivre car cela ne l’intéressait plus. Elle s’était mise à méditer et à prier.
Comme j’étais dans une recherche profonde de la Connaissance, je lui ai demandé l’adresse de l’Ordre afin de pouvoir avoir un premier contact avec eux.
Très rapidement, j’ai commencé à recevoir des monographies, au rythme de quatre par mois, et je peux témoigner pour y être resté quelques temps, que le Seigneur Jésus n’est jamais reconnu comme le Sauveur. Et ceci est un signe parfait de l’ennemi qui a réussi à singer une doctrine afin d’éloigner des milliers de personnes de la Sainte Trinité.
Après un pèlerinage dans un lieu marial, j’ai reçu bien des grâces de la très sainte vierge Marie pour quitter cet ordre.
De retour, je me suis décidée à écrire à l’impérator de l’Ordre de la Rose-Croix A.M.O.R.C. (qui signifie ancien et mystique ordre de la Rose-Croix).
L’impérator est le grand Maître et quand quelqu’un veut partir très librement, il doit l’avertir par écrit.
C’est alors que j’ai reçu un courrier de sa part, qui me demandait la raison pour laquelle j’avais décidé de partir et j’ai simplement répondu que je souhaitais revenir dans l’église catholique, car j’avais reçu le baptême peu après ma naissance.
J’ai longtemps remercié Dieu de m’avoir libérée des chaînes qui me liaient à cet ordre ésotérique.
Mes frères et sœurs Rosicruciens ont respecté ma liberté de partir. Avec eux, je faisais partie d’une loge ; Ceci venait en supplément des enseignements que je recevais à mon domicile, sous forme de petits fascicules, qu’on appelle « monographies ».
Certains de mes amis ont été déçus mais avec une très grande charité je leur ai répondu que je croyais que seul Jésus Christ était le sauveur et que tout ce que j’avais pu apprendre au fur et à mesure des années, dans cet ordre, n’était que poussière pour moi.
Nous avons continué quelques temps à nous rencontrer, mais assez rapidement j’ai suivi la voie que Jésus Christ m’avait tracée. Je me sentais comme ressuscitée par Jésus d’amour et je croyais fermement qu’il était mon Seigneur et mon Dieu et mon seul Sauveur.
J’ai senti dans mon cœur combien le Seigneur Jésus me demandait de prier pour leur repentir et avec l’aide de Dieu et de sa très sainte Mère Marie, j’ai réussi à convaincre une amie Rosicrucienne à quitter cet ordre.
En tant que chrétienne catholique, mon devoir était de l’aider à retrouver le seul vrai Dieu de la Vie, Jésus Christ, d’autant plus qu’elle l’avait oubliée depuis de très nombreuses années car elle s’était affiliée à l’ordre de la Rose-Croix AMORC depuis très longtemps.
Depuis elle s’est mise à retourner à l’église, à se confesser, à prier le chapelet et maintenant elle est heureuse car elle croit à son salut éternel et elle croit en la miséricorde infinie du Seigneur Jésus dès que l’on se répand. Toutes les deux, nous sommes devenues des enfants prodigues.
Je rencontre, au cours de mes diverses conférences dans le monde des personnes qui viennent me dire qu’elles aussi ont fait partie de cet ordre ésotérique, mais après que l’Esprit Saint les ai éclairées, elles m’avouent qu’elles ne se doutaient pas de la nocivité des enseignements et elles rendent grâce à Dieu de les savoir libérées de Satan. Ce que j’ai remarqué dans ces personnes, c’est qu’elles n’avaient pas réellement conscience de leur péché d’infidélité envers la sainte trinité qui doit être adorée en premier.
Pour mes autres frères et sœurs, qu’on appelait dans l’Ordre, des fratres et des sorores, je continuerai à prier toute ma vie Jésus Miséricordieux, afin qu’un jour et même peut-être à l’heure de la mort, ils crient de tout leur coeur devant le Seigneur Jésus « Mon Seigneur et mon Dieu ».
Si vous saviez combien le Seigneur Jésus les aime, et combien il souffre de les voir éloignés de son divin cœur. Dès que ces âmes d’amour reviennent à l’unité de l’église, alors le bon et doux Jésus ne souffre plus car l’enfant prodigue est revenu sur la route du paradis.
Dans l’Ordre de la Rose Croix AMORC, je me suis arrêté au septième degré et j’ai passé quelques initiations ésotériques puisque je faisais partie intégrante de la loge.
Je peux témoigner que ces initiations ne m’ont apportée que des angoisses et elles m’ont rempli d’orgueil spirituel. Alors pour en être libérée, j’ai du beaucoup prier le chapelet. J’ai aussi fait célébrer bien des messes pour le salut de mon âme et pour retrouver la paix.
En dehors des initiations, on se réunissait souvent en loge pour assister à des rituels qui ne m’ont jamais rien apporté ; Bien au contraire, j’ai le souvenir qu’une fois, je suis partie en courant me cacher dans une autre pièce, tellement les expériences étaient trop fortes.
J’ai connu un monsieur avec qui je partageais le toit comme frère et sœur et qui faisait également partie de cet ordre.
Il me disait qu’il avait largement atteint le douzième degré. Comme il laissait traîner ses monographies n’importe où dans la maison, il m’a suffit de regarder à quel stade il en était.
Il est malheureusement resté là-dedans et je continue de prier pour que la miséricorde Divine vienne justifier un jour sa pauvre âme.
Je respecte sa liberté intérieure de servir Dieu ou de servir Satan.
Personnellement, je préfère suivre les conseils des apôtres du Seigneur Jésus qui ont fondé la sainte église catholique.
J’ai particulièrement été touchée par la Parole de Dieu, dans la première épître de Saint Jean qui nous demande de nous garder des antichrists.
« Petits enfants, voici venue la dernière heure. Vous avez Ouï dire que l’Antichrist doit venir ; et déjà maintenant beaucoup d’antichrists sont survenus : A quoi nous reconnaissons que la dernière heure est là. Ils sont sortis de chez nous, mais ils n’étaient pas des nôtres.
S’ils avaient été des nôtres, ils seraient restés avec nous.
Mais il fallait que fût démontré que tous n’étaient pas des nôtres.
Quant à vous, vous avez reçu l’onction venant du Saint, et tous vous possédez la science.
Je vous ai écrit, non que vous ignoriez la vérité, mais parce que vous la connaissez et qu’aucun mensonge ne provient de la vérité.
Qui est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus soit le Christ ? Le voilà l’Antichrist ! Il nie le Père et le Fils. Quiconque nie le Fils ne possède pas non plus le Père.
Qui confesse le Fils possède aussi le Père.
Pour vous, que ce que vous avez entendu dès le début demeure en vous.
Si en vous demeure ce que vous avez entendu dès le début, vous aussi, vous demeurerez dans le Fils et dans le Père.
Or telle est la promesse que lui-même vous a faite : la vie éternelle.
Voilà ce que j’ai tenu à vous écrire au sujet de ceux qui cherchent à vous égarer.
Quant à vous, l’onction que vous avez reçue de lui demeure en vous, et vous n’avez pas besoin qu’on vous enseigne.
Mais puisque son onction vous instruit de tout, qu’elle est véridique, non mensongère, comme elle vous a instruits, demeurez en lui.
Oui, maintenant, demeurez en lui, petits enfants, pour que, s’il venait à paraître, nous ayons pleine assurance, et non point la honte de nous trouver loin de lui à son Avènement ».
Chers lecteurs, j’ai eu le temps de me rendre compte que tout ce que j’apprenais dans les monographies ou encore en loge ne servait à rien pour mon évolution intérieure, ou encore pour propre mon salut éternel, puisque quand on est catholique, on comprend que la seule initiation vraie, c’est la rencontre personnelle avec la Sainte Trinité qui se trouve au fond de notre propre cœur et c’est la seule qui peut réellement nous épanouir et nous donner la vraie Vie.
Dans cet Ordre ésotérique, j’ai appris bien des choses inutiles, comme par exemple, l’enseignement sur le karma et la réincarnation.
Le catéchisme de l’église catholique nous enseigne que la mort est la fin du pèlerinage terrestre de l’homme, du temps de grâce et de miséricorde que Dieu lui offre pour réaliser sa vie terrestre selon le dessein divin et pour décider son destin ultime. Quand a pris fin l’unique cours de notre vie terrestre, nous ne reviendrons plus à d’autres vies terrestres. « Les hommes ne meurent qu’une fois ». (He 9,27). Il n’y a pas de réincarnation après la mort. (C.E.C. 1013)
J’ai pris conscience que si l’église enseigne que la réincarnation n’existe pas, il n’était pas utile que je reste dans un ordre qui m’enseignait le contraire.
En Saint Luc, chapitre 23 verset 42 et 43, nous avons une preuve que la réincarnation n’existe pas :
Le bon larron disait au Seigneur Jésus sur la croix :
Jésus, souviens toi de moi, lorsque tu viendras avec ton royaume, et le Seigneur lui a répondu : « En vérité, je te le dis, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis ».
Et là, chers lecteurs, nous voyons toute la miséricorde de Dieu qui pardonne au pécheur et qui lui ouvre le ciel tout simplement parce que le pécheur le reconnaît comme son Seigneur et son Dieu.
Nous savons qu’aucun péché n’épuisera sa miséricorde infinie, si on accepte de reconnaître notre faute auprès d’un prêtre, derrière lequel il se cache toujours pour nous pardonner, car Jésus est notre seul ami vrai, le seul vers qui on peut pencher notre cœur en étant sur, qu’il est là à la porte et qu’il frappe pour y entrer.
Si Dieu a ouvert le Paradis au bon larron, c’est que la réincarnation n’existe vraiment pas.
A travers les monographies, j’ai étudié la visualisation, la méditation et bien des choses qui ne m’ont jamais servies.
Au contraire, ces techniques m’ont détruite car les anges déchus sont entrés en moi par mes chakras ouverts et ils ont essayé d’enlever la foi dans mon cœur. Pour un temps, ils y ont réussi, mais, par la grâce de Dieu, la sainte vierge Marie veillait sur moi, tout comme elle veille sur tous ses enfants qui l’aiment.
A travers toutes ces études, j’ai également choisi librement de commander bien des livres d’auteurs Rosicruciens et après en avoir pris connaissance, j’ai senti un grand appel à m’en séparer.
Après les avoir déchiré, je les ai jeté car , au cours d’un pèlerinage à Medjugorje, on nous avait demandé de nous débarasser de tout ce qui n’était pas catholique.
Quelques années plus tard, en faisant une comparaison avec la doctrine de la foi catholique, je n’ai trouvé qu’hérésies sur hérésies.
Dans les divers livres d’auteurs Rosicruciens que j’ai lu, j’ai trouvé que ces personnes se glorifiaient elles-mêmes et qu’elles s’adoraient. C’est le signe parfait d’un faux prophète car un vrai docteur glorifie toujours le Seigneur Jésus, se renie et se place toujours derrière le Christ et se considère comme un serviteur inutile et non comme un maître.
Prendre le nom de Maître, c’est usurper au Seigneur Jésus ce qui lui revient de droit. Lui seul est le Maître de nos âmes. Celui qui s’élève contre cela commet un péché d’orgueil démesuré.
Le Seigneur Jésus, tout en étant Dieu, ne s’est pas glorifié lui-même mais il a glorifié le Père éternel.
Je remercie vivement Jésus Christ qui m’a libéré de l’illusion et du goût de toujours connaître davantage et le Seigneur m’a invité à être humble si je voulais me sauver, il m’a invité à la petitesse et au vrai service.
Ce n’est pas parce que l’on porte un tablier quand on va en loge, qu’on est un vrai serviteur. On croît servir mais en fait on est victime de l’ennemi qui se joue de nous. Satan s’est perdu à cause de son grand orgueil, alors dans sa haine infinie, il veut entraîner toutes les âmes en enfer à sa suite. C’est pourquoi il entraîne beaucoup d’âmes à trahir Jésus Christ en quittant la religion catholique.
On ne peut pas associer la sainte croix du Christ avec une Rose.
La Rose de Satan est le signe de la fusion de tous les adversaires de Dieu, surtout des adversaires du Christ Jésus, de sa croix, de son précieux sang ; Elle est le signe de la rébellion.
Je vous assure que dans cet ordre je n’ai jamais entendu parler de la Divinité du Christ, de la Très Sainte Trinité, de la Sainte Vierge Marie, du purgatoire et de l’enfer, de l’infaillibilité pontificale, de l’autorité de l’église et des commandements de Dieu.
Tout cela est occulté et donc, il est aisé de comprendre que cela est signé.
Au jour du jugement, devant la très Sainte Trinité, je devrais présenter bien des actes de miséricorde, bien des œuvres de charité pour que Dieu m’accepte dans son Paradis.
Ce qui est sûr, c’est qu’il me demandera compte du temps que j’ai perdu dans l’étude de ces fausses doctrines et de l’argent que j’ai dépensé là-dedans alors que j’aurai pu le partager tout simplement avec ceux qui avaient faim.
Je l’ai précisé tout à l’heure, Satan étant le Père du mensonge veut perdre toutes les âmes que Dieu a créées par pur amour pour leur donner Sa Vie en plénitude.
Or comment avoir cette vie en nous, si intérieurement nous sommes dominés par la Bête en adhérant à de fausses doctrines ?.
Méfions-nous de tous ces enseignements qui ne viennent pas de Dieu et fuyons les avec horreur tant que nous sommes dans le temps de la grande miséricorde divine car viendra le temps de la justice où aucun apostat n’aura plus le temps de se convertir.
Dieu nous appelle sans cesse au repentir et quand il m’a appelé, il m’a totalement délivré des enseignements et des initiations ; Ensuite Il m’a montré combien Satan était le chef de ces initiations ésotériques et combien c’était lui qui les donnait.
Par contre Jésus, lui, dans sa très grande simplicité, nous propose, à travers son église, qui est son cœur, de prendre les sacrements qui nous aideront à cheminer sur la route du paradis.
Dans l’ordre de la Rose-Croix, je n’avais aucun espoir de retrouver mes défunts et je n’ai jamais entendu parler de la prière du Rosaire, du chemin de croix, de la messe qui aurait pu aider mes défunts à se libérer des peines du purgatoire.
Pourtant après cette seule vie terrestre, nous paraîtrons tous, sans exception, devant la très sainte trinité pour le jugement particulier de notre âme.
Le catéchisme de l’église catholique nous enseigne que la mort met fin à la vie de l’homme comme temps ouvert à l’accueil ou au rejet de la grâce divine manifestée dans le Christ. Le Nouveau Testament parle du jugement principalement dans la perspective de la rencontre finale avec le Christ dans son second avènement, mais il affirme aussi à plusieurs reprises la rétribution immédiate après la mort de chacun en fonction de ses œuvres et de sa foi. La parabole du pauvre Lazare et la parole du Christ en Croix au bon larron, ainsi que d’autres textes du Nouveau Testament parlent d’une destinée ultime de l’âme qui peut être différente pour les unes et pour les autres.
Chaque homme reçoit dans son âme immortelle sa rétribution éternelle dès sa mort en un jugement particulier qui réfère sa vie au Christ, soit à travers une purification, soit pour entrer immédiatement dans la béatitude du ciel, soit pour se damner immédiatement pour toujours.

CONCLUSION

Quand je faisais partie de l’Ordre de la Rose-Croix A.M.O.R.C, je pouvais assister à la messe si je l’avais souhaité, mais je n’aurais jamais pu communier.

Pourquoi cela ?

Tout simplement parce on ne peut pas être catholique et adhérer à une doctrine qui est incompatible aux enseignements de l’église.

Si on communie alors qu’on est dans cet ordre, tout comme quand on est dans la Franc-Maçonnerie, alors il faut savoir que la parole de Saint Paul s’applique.

En ce qui concerne la communion eucharistique, Saint Paul, dans la première épître aux Corinthiens chapitre 11 verset 27 et suivants nous dit :
« Ainsi donc, quiconque mange le pain ou boit la coupe du Seigneur indignement, aura à répondre du corps et du sang du seigneur.
Que chacun donc s’éprouve soi-même, et qu’ainsi il mange de ce pain et boive de cette coupe ; car celui qui mange et boit, mange et boit sa propre condamnation, s’il ne discerne le corps.
Voilà pourquoi il y a parmi vous beaucoup de malades et d’infirmes et que bon nombre sont morts. »
Donc si nous savons que nous sommes en état de péché grave, et que nous ne nous sommes pas confessés, restons simplement à notre place et contentons nous d’une communion spirituelle avant la prochaine confession.
Chers lecteurs, quand le Seigneur Jésus est venu nous sauver, il n’a jamais condamné quelqu’un quand il prêchait sur terre. Jésus veut le salut de toutes les âmes et c’est pourquoi il veut qu’avant de communier, nous soyons confessés et totalement réconciliés avec lui, afin de ne pas apporter la condamnation sur nous-mêmes.
Je remercie de tout mon cœur Jésus et Marie qui m’ont délivré de la damnation éternelle en me retirant de cet ordre.

Un jour au cours d’un pèlerinage à Medjugorje, la très sainte vierge Marie m’a fait savoir que l’Ordre de la Rose-Croix A.M.O.R.C était une secte et après avoir suivi ces conseils qui étaient de m’en retirer, je me suis dirigé vers un prêtre de l’église catholique qui m’a confirmé que tout cela était vrai.

Cet ordre est mentionné dans le rapport sur les sectes N° 1687 du 10 juin 1999.

Maintenant que Jésus d’amour a effacé mon péché après avoir reconnu ma faute auprès d’un prêtre, j’invoque souvent Maria Rosa Mystica qui vient écraser les trois roses de Satan.

La Rose blanche, qui est exprimée par une science sans le Vrai Dieu trois fois saint, la Sainte Trinité, le Père, le Fils et le Saint Esprit.

La Rose rouge est le signe de la fusion de tous les adversaires de Dieu, surtout des adversaires du Christ, de sa passion, de sa croix, de son sang très pur, ce sont les apostats des derniers temps.

La Rose dorée de Satan représente l’idolâtrie du moi, « être comme Dieu ».

Très chers lecteurs, en ces temps difficiles, je vous exhorte à fuir tous les loups…

Loué soit Jésus Christ et le cœur immaculé de Marie.

Jésus Miséricordieux m'a libéré de la voyance - Fabienne GUERRERO

Fabienne GUERRERO a pratiqué la voyance pendant des années.
Elle utilisait des cartes, des tarots pour faire des prédictions sur l’avenir.

Après un voyage à Medjugorje, elle s’est tournée vers l’amour de Dieu, sainte trinité.

Dès qu’elle s’est repentie, Dieu l’a comblée de toute sa tendresse.

Elle témoigne maintenant partout dans le monde pour glorifier le Seigneur Jésus de sa miséricorde infinie.

CONTRE LES PROPHÈTES MERCENAIRES
MICHÉE 3. 5-7
Ainsi parle Yahvé contre les prophètes qui égarent mon Peuple :
« S’ils ont quelque chose entre les dents, ils proclament: «Paix!».
Mais à qui ne leur met rien dans la bouche, ils déclarent la guerre.
C’est pourquoi la nuit pour vous sera sans vision, les ténèbres pour vous sans divination.
Le soleil va se coucher pour les prophètes et le jour s’obscurcir pour eux.
Alors les voyants seront couverts de honte et les devins de confusion ; Tous, ils se couvriront les moustaches, car il n’y aura pas de réponse de Dieu.
Moi, au contraire, je suis plein de force – à savoir du souffle de Yahvé – de justice et de courage, pour proclamer à Jacob son crime, à Israël son péché ».

MON EXPÉRIENCE DE LA CARTOMANCIE

Chers lecteurs, dans ma jeunesse, je me suis lancée dans la voyance en utilisant des cartes, des tarots, comme support. Je me les procurai dans des librairies ésotériques.

Pendant des années, j’ai pratiqué la voyance pour moi, puis pour les autres. J’étais toujours angoissée et je ne vivais qu’en fonction des prédictions. Je ne savais pas vivre autrement. J’avais un besoin de toujours connaître le futur. Je n’avais aucune paix en moi.

En fait, je n’avais pas encore fait une rencontre d’amour avec la Sainte Trinité. C’est en apprenant à adorer Dieu que j’ai trouvé la paix. Dieu est tellement bon. Il n’attend que notre oui d’amour quand on s’est trompé de voie, comme moi.

La paix intérieure, je l’ai trouvé car j’ai fait confiance en l’infinie miséricorde de Dieu. Dieu nous pardonne tout, dès qu’on reconnaît notre faute.

Je me suis confessée d’avoir blessé Dieu à travers ma voyance et j’ai demandé à un prêtre de célébrer plusieurs messes pour mon âme.

Depuis que le Seigneur Jésus m’a libérée de ma culpabilité, Il m’a envahi de Sa paix, de Son amour et de Sa tendresse.

Après avoir reçu tout cet amour de Dieu, j’ai commencé à témoigner partout dans le monde de la Bonté du Seigneur Jésus pour tous ceux qui ont adhéré à la voyance et qui se repentent sincèrement. Jésus ne pense qu’à leur pardonner car Jésus est l’Amour même.
Jésus a un plan d’amour sur chaque âme qu’il a créée.

Ce que j’ignorais quand je pratiquais la voyance, c’est que j’éloignais les âmes de Dieu. En fait, je pensais les rapprocher, mais la volonté de Satan était en moi. Je ne faisais pas la volonté de Dieu.

Quand j’ai pris conscience que Satan me dominait avec toutes ses techniques, je me suis tournée vers le Seigneur qui est un Père plein d’amour pour tous ses enfants.

Par mes prédictions, j’ai eu, pendant de nombreuses années un pouvoir sur autrui et par voie de conséquence sur moi-même.

L’Esprit Saint ne pouvait plus m’éclairer car je l’avais contristé. La lumière de Satan m’avait envahie par ma désobéïssance.

Dieu nous a fait connaître Sa parole dans le Deutéronome 18, 10-13:

«On ne trouvera chez toi personne qui fasse passer au feu son fils ou sa fille, qui pratique divination, incantation, mantique ou magie, personne qui use de charmes qui interroge les spectres et les devins, qui invoque les morts. Car quiconque fait ces choses est en abomination à Yahvé ton Dieu et c’est à cause de ces abominations que Yahvé ton Dieu chasse ces nations devant toi. Tu seras sans tâche vis-à-vis de Yahvé ton Dieu ».

La voyance ne m’a apporté que des malheurs dans ma vie et beaucoup de souffrance. J’ai du faire de nombreux chemins de croix et rencontrer quelques prêtres qui ont prié pour ma délivrance afin que les démons me quittent.

Quand j’ai compris que ces pouvoirs ne venaient pas de Dieu, je me suis repentie. Je suis allée faire un pèlerinage à Medjugorje, lieu d’apparitions mariales en Croatie, reconnu dans l’Eglise catholique comme lieu de prières.

Dans ce lieu béni, j’ai découvert tout l’amour d’une Mère, l’amour de notre Mère, la sainte Vierge Marie. J’ai alors pleuré d’avoir blessé le Seigneur par mon péché de voyance.

En revenant de Medjugorje, je me suis consacrée au coeur immaculé de Marie. La sainte vierge est très bonne. Elle m’a aidée à sortir de ses ténèbres.

Voici la consécration de Sainte Faustine Kowalska, que j’ai souvent récitée :
MARIE, MA MERE ET MA REINE,
JE TE CONFIE MON AME ET MON CORPS,
MA VIE ET MA MORT
ET TOUT CE QUI LA SUIVRA.

JE DEPOSE TOUT ENTRE TES MAINS, O MA MERE ;
COUVRE MON AME DE TON MANTEAU VIRGINAL
ET DONNE-MOI LA GRACE DE LA PURETE DU CŒUR,
DE L’AME ET DU CORPS ET PAR TA PUISSANCE,
DEFENDS MOI CONTRE TOUS LES ENNEMIS
ET SPECIALEMENT DE CEUX QUI CACHENT
LEUR MECHANCETE SOUS LE MASQUE DE LA VERTU.

O LIS RAVISSANT, TU ES POUR MOI UN MIROIR,
O MA MERE.
QUELS SONT LES RISQUES
DE CONSULTER DES VOYANTES

Chers lecteurs, si vous allez consulter une voyante, il y a toujours quelques risques.
1. Vous pouvez tomber sur les personnes malhonnêtes qui vont abuser de votre argent.
2. Certaines voyantes peuvent exercer une pression psychologique sur votre âme.
3. Vous allez au devant de gros dangers pour votre équilibre psychique.
4. Vous allez perdre toute votre liberté de décision et serez dépendant psychologiquement de la voyante que vous avez rencontrée et qui a un pouvoir sur votre âme tant que vous ne vous êtes pas confessé à un prêtre.
5. Vous courrez le risque d’être possédé par des esprits mauvais.
6. Vous crééz un lien avec Satan qui ne peut être rompu que par la confession et des prières de libération.
7. Vous attirez la colère de Dieu sur vous et sur votre famille.

PEUT-ON SE LIBÉRER DES ESPRITS IMPURS ?

Mgr Tournyol Du Clos, dans le livre peut-on se libérer des esprits impurs, aux éditions de l’Archistratège, nous dit :
« Si vous avez été en contact avec l’occultisme, l’ésotérisme, le spiritisme, l’astrologie, la sorcellerie, la magie, l’hypnotisme, le reiki, le yoga, la méditation transcendantale, le nouvel âge et toutes espèces de sectes ; ou encore avec des pranothérapeutes, soit disant guérisseurs ou magnétiseurs, qui soignent par imposition des mains, passes magnétiques ou radiesthésie ou pendule ; si vous avez rendu visite a des voyants ou voyantes tels que mages, devins, marabouts ou gourous, à des cartomanciennes qui lisent dans les cartes ; à des chiromanciennes qui lisent dans les lignes de la main ou à des nécromanciens qui consultent les esprits des défunts :
Sachez que vous vous êtes adressé à des individus qui travaillent avec le démon et que vous avez donné à Satan un certain pouvoir sur vous.
Si vous-mêmes avez cherché à connaître l’avenir, même par jeu dans les tarots ou les horoscopes, si vous avez porté des portes bonheur tels que talismans, amulettes, signes du zodiaque ; si vous avez fait – ou si on a pratiqué pour vous – des préparations occultes, si vous avez prononcés des formules ou répété des mots secrets comme les mantras par exemple, enfin si vous avez fréquenté des lieux empoisonnés par la sorcellerie, le vice ou la dépravation morale ; à plus forte raison si vous-même avez passé un pacte avec Satan, fait de la magie, évoqué les morts ; lancé des sorts, proféré des malédictions ou des blasphèmes, vous devez avant tout vous efforcer de vous rendre compte que vous avez gravement offensé notre Père du ciel.
Mgr Tournyol Du Clos nous invite, dans une confession exhaustive a demander à Dieu de nous pardonner ces égarements et ces péchés qu’il a en abomination, même si ces évènements sont anciens et si, à l’époque, nous n’étions pas conscient de l’offenser.

QUELQUES RÉFÉRENCES BIBLIQUES

Chers lecteurs, Dieu à travers Sa Révélation nous a toujours instruit sur Sa Volonté pour nos âmes et sur ce qui peut la souiller.

J’ai relevé ce qui suit :

« Vous ne pratiquerez ni divination ni incantation. »
LEV 19,26

« Ne vous tournez pas vers les spectres et ne recherchez pas les devins, ils vous souilleraient. Je suis Yahvé votre Dieu.»
LEV 19,31

« Celui qui s’adressera aux spectres et aux devins pour se prostituer à leur suite, je me tournerai contre cet homme-là et je le retrancherai du milieu de son peuple.»
LEV 20,6

« L’homme ou la femme qui parmi vous serait nécromant ou devin : ils seront mis à mort, on les lapidera, leur sang retombera sur eux.»
LEV 20,27

« Il fit passer son fils par le feu. Il pratiqua les incantations et la divination, installa des nécromants et des devins, il multiplia les actions que Yahvé regarde comme mauvaises, provoquant ainsi sa colère.»
2 ROIS 21,6

« De plus, les nécromants et les devins, les dieux domestiques et les idôles, et toutes les horreurs qu’on pouvait voir dans le pays de Juda et à Jérusalem, Josias les fit disparaître, en exécution des paroles de la Loi inscrites au livre qu’avait trouvé le prêtre Hilqiyyahu dans le Temple de Yahvé.»
2 ROIS 23, 24

« Divination, augures, songes, autant de vanités,
Ce sont là rêveries de femme enceinte.»
SIR 34,5

« C’est moi Yahvé qui réduit à néant les signes des augures et fait délirer les devins.»
IS 44, 24-25

« Car ainsi parle Yahvé Sabaot, le Dieu d’Israël : ne vous laissez pas égarer par les prophètes qui sont parmi vous, ni par vos devins, n’écoutez pas les songes que vous faites, car c’est pour le mensonge qu’ils vous prophétisent en mon Nom. Je ne les ai point envoyés – Oracle de Yahvé.»
JER 29, 8-9

« Je retrancherai de ta main les sortilèges, et tu n’auras plus de devins.»
MIC 5, 11

« Je m’approcherai de vous pour le jugement et je serai un témoin prompt contre les devins, les adultères et le parjures, contre ceux qui oppriment le salarié, la veuve et l’orphelin, et qui violent le droit de l’étranger, sans me craindre, dit Yahvé Sabaot.»
Mal 3-5

QUE DIT LE CATÉCHISME DE L’EGLISE CATHOLIQUE

Chers lecteurs, en ce qui concerne la divination, le catéchisme de l’église catholique nous enseigne ce qui suit :

Dieu peut révéler l’avenir à ses prophètes ou à d’autres saints. Cependant l’attitude chrétienne juste consiste à s’en remettre avec confiance entre les mains de la Providence pour ce qui concerne le futur et à abandonner toute curiosité malsaine à ce propos. L’imprévoyance peut constituer un manque de responsabilité.
C.E.C 2115
Toutes les formes de divination sont à rejeter : recours à Satan ou aux démons, évocation des morts ou autres pratiques supposées à tort « dévoiler » l’avenir (cf. Dt 18,10 ; Jr 29,8 ). La consultation des horoscopes, l’astrologie, la chiromancie, l’interprétation des présages et des sorts, les phénomènes de voyance, le recours aux médiums recèlent une volonté de puissance sur le temps, sur l’histoire et finalement sur les hommes en même temps qu’un désir de se concilier les puissances cachées. Elles sont en contradiction avec l’honneur et le respect, mêlé de crainte aimante, que nous devons à Dieu seul.
C.E.C. 2116
Toutes les pratiques de magie ou de sorcellerie par lesquelles on prétend domestiquer les puissances occultes pour les mettre à son service et obtenir un pouvoir surnaturel sur le prochain, – fût-ce pour lui procurer la santé -, sont gravement contraires à la vertu de religion. Ces pratiques sont plus condamnables encore quant elles s’accompagnent d’une intention de nuire à autrui ou qu’elles recourent ou non à l’intervention des démons. Le port des amulettes est lui aussi répréhensible. Le spiritisme implique souvent des pratiques divinatoires ou magiques. Aussi l’Eglise avertit-elle les fidèles de s’en garder. Le recours aux médecines dites traditionnelles ne légitime ni l’invocation des puissances mauvaises, ni l’exploitation de la crédulité d’autrui.
C.E.C. 2117

CONCLUSION

Chers lecteurs, dès que je suis revenue à Jésus, son coeur a brûlé d’amour et de tendresse pour moi. Il m’a libérée de tout ce qui blessait mon âme. Son précieux sang m’a guérie.

Je vis maintenant dans la paix et dans la joie de ma libération et je parts évangéliser partout où Dieu m’envoie en accord avec l’église catholique de Rome.

La miséricorde de Dieu est son plus grand attribut. Plus j’y ai puisé dans ma vie, plus elle a augmentée.

Mon péché n’a pas épuisé l’insondable pitié de Dieu pour mon âme.

Dieu est amour.

Cher lecteur, si Jésus devait vous parler en ce moment, peut-être vous dirait-il simplement :

« PRIE LE CHAPELET ET AIME MOI SINCEREMENT»