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mercredi 24 avril 2024

Saint Fidèle de Sigmaringen

Articles Franc-maçonnerie

Franc-maçonnerie

Le but caché de la franc-maçonnerie est de détruire l'Eglise traditionnelle

Le but caché de la franc-maçonnerie est de détruire l’Eglise traditionnelle pour la remplacer par une nouvelle église, une société humaniste : une fausse fraternité humaine œcuménique aura remplacé le Sauveur par une philosophie permissive et autoritaire sans le Dieu d’Amour, Jésus Christ.

Le discernement chrétien basé sur les dix commandements et l’Amour du prochain doit faire place à une doctrine basée sur une fausse tolérance, une charité et un amour exclusivement humanistes, basé sur les droits de l’homme laïc, mondialiste, pro avortement, pro-LGBT, pro-immigration, mélangeant les races et les nations. Il faut à leurs yeux détruire toute forme de famille traditionnelle, de culture, de religion, d’entreprise et de propriété individuelle, et même de nationalité, balayer le passé et toutes nos racines.

Ils se disent « citoyens du monde » dans une prétention vaniteuse…

La référence au Christ et à la TS Vierge doit être abolie au profit d’une raison issue tout droit de la génèse : « vous deviendrez comme des Dieux »

C’est le principe de l’orgueil satanique voulant créer une société sans Dieu.

Il existe de bons catholiques naïfs et ignorants, invités à devenir « frères maçons », qui gobent tous ces mensonges, en croyant s’élever intellectuellement par l’école de pensée maçonnique, laquelle se garde bien de dévoiler ses buts aux apprentis…

Ils sont les plus dangereux par leur aveuglement contaminant leurs amis. Quand ils se rendent compte de leur erreur, il est trop tard, leur situation professionnelle et familiale est en danger s’ils refusent d’obéir. Mais devant Dieu, ils sont en état d’excommunication, même s’ils sont évêques FM !

La franc-maçonnerie ecclésiastique représente 80% des évêques de France, ambitieux obéissant aux loges, qui rient bien dans leur dos de leur bêtise épiscopale…

Ils représentent la deuxième bête à 2 cornes, (la mitre a 2 pointes) épaulant la bête à dix cornes. Apoc 13.

Ils seront balayés par la Bête comme le décrit le chapitre 20 de l’Apocalypse…

Cette explication vient des révélations de la TS Vierge dans le livre bleu du Mouvement Sacerdotal Marial.

"Complainte pour Notre Dame" chantée par des moines (Vidéo)

Pour sauver Notre Dame de Paris du projet maçonnique qui vise à la transformer en un vulgaire parc d’attraction pour les jeux olympiques, voici la complainte écrite, composée, et interprétée par les moines capucins du couvent Saint-François de Morgon.

L'arnaque Octobre Rose dénoncée par un cancérologue (Vidéo)

Arrête de courir bêtement pour Octobre Rose et reprends ta santé en main. Jérémie Mercier

Connaissez-vous l'Association Réparatrice ?

Origine Elle fut fondée par l’abbé Douillard, fervent tertiaire de saint François, et approuvée en 1875 par Pie IX. L’œuvre fut inspirée par Jeanne Baillet, tertiaire franciscaine elle aussi. Un jour de janvier 1873, elle priait à Notre-Dame de Paris, devant l’autel de la Sainte Vierge, celui-là même qui avait été profané en 1793 par la statue de la déesse Raison. Alors qu’elle se trouvait devant cet autel de la Vierge, Jeanne perçut en elle une voix qu’elle reconnut comme étant celle du Christ. Voici ce qu’elle disait : « Je suis traduit devant les tribunaux ; Je suis jugé, condamné, livré à tous les supplices. Il ne leur reste plus que la mort à m’infliger. Je te parle des réunions secrètes qui se tiennent en grand nombre et qui font la force du mal le plus ingénieux et le plus puissant pour détruire mon Église et tout ordre social. Ce que Je désire, c’est que de bons prêtres, par l’offrande du Très Saint Sacrifice de la Messe, fassent réparation à la Très Sainte Trinité des outrages qui lui sont faits dans ces réunions criminelles. Qu’ils s’unissent trois par trois pour honorer, par cette union, l’adorable Trinité si indignement outragée. Par cette réparation, je m’engage à anéantir ces sociétés impies ». Cette œuvre, destinée aux prêtres à l’origine, s’est rapidement étendue aux laïcs qui purent, depuis lors, s’unir par trois, pour offrir, le même jour, leur communion réparatrice.

But

Il est résumé dans l’article ler des statuts approuvés en 1875 par le Cardinal Archevêque de Paris :
« 1° Demander à Dieu l’extinction des sociétés secrètes et la conversion des membres qui les composent ;

2° Adorer la patience de Dieu et réparer les outrages qui sont faits à la Très Sainte Trinité dans ces sociétés secrètes. »

Pratique

Il s’agit de se concerter à trois personnes pour communier le même jour avec l’intention de faire réparation envers la Très Suinte Trinité des outrages qui lui sont faits par la franc-maçonnerie. On peut choisir un ou plusieurs jours (par exemple, tous les dimanches, ou le premier dimanche de chaque mois, etc.). Si la communion n’a pu être accomplie au jour fixé, il faut s’en acquitter dès que possible.

Il suffit que les trois communions aient lieu le même jour : peu importe si les associés communient à une heure ou dans un lieu différents.

Inscription

Il suffit d’imprimer et de compléter ce bordereau d’inscription, très lisiblement rempli par les trois membres qui désirent constituer une « trinité » réparatrice. Ce bordereau est à envoyer au Couvent Saint-François. Vous recevrez une carte de membre de l’Association et un livret de 20 pages donnant de plus amples explications et une étude historique sur cette Œuvre.

Nous vous encourageons vivement à participer à cette réparation facile mais efficace, et tellement nécessaire à notre époque où abondent blasphèmes et sacrilèges maçonniques. Vous pouvez propager cette bonne œuvre. Association Réparatrice envers la Très Sainte Trinité Couvent Saint François – F69910 Villié-Morgon

« Louange à Dieu le Père
et au Fils son égal,
et à Vous Esprit-Saint;
qu’un constant amour
nous fasse chanter
vos louanges sans fin »
(4ème Antienne des vêpres de la fête de la Très Sainte Trinité)

Connaissez-vous l'Association Réparatrice ?

Serge Abad-Gallardo a été franc-maçon durant 25 ans. Vénérable maître, il rencontre Jésus et Marie et se rend compte que ce qu’il vit est incompatible avec la foi catholique.

L’épiscopat en guerre contre la franc-maçonnerie

À l’occasion de son assemblée plénière 2017, la conférence épiscopale de Côte d’Ivoire a rappelé avec vigueur l’impossibilité pour un catholique d’appartenir à la franc-maçonnerie. Éclairage sur les principes et les raisons de cette condamnation.

France, année 1969. Dans la frénésie d’une société post-moderne qui voulait encore croire dans le printemps radieux promis quelques mois plus tôt, lors de la révolution de mai 68, des hommes d’Eglise ont célébré l’utopie des lendemains qui chantent… Ainsi, le 22 juin de cette année – qui vit, pêle-mêle, le festival de Woodstock, les premiers pas sur la Lune et la démission du général De Gaulle – le R.P. Michel Riquet, s.j, célèbre prédicateur des Carêmes de Notre-Dame-de-Paris, n’hésitait pas à écrire dans les colonnes d’un journal aussi sérieux que Le  Figaro littéraire  : « Oui, il est possible d’être à la fois chrétien et franc-maçon ».

Côte d’Ivoire, année 2017. Dans un mandement épiscopal daté du 21 mai et lu dans toutes les églises du pays, les évêques ont clairement condamné la franc-maçonnerie. Pas d’ambiguïté : pour ces pasteurs soucieux du troupeau qui leur a été confié, on ne peut pas être en même temps chrétien et franc-maçon.

Cette prise de position unanime est intervenue à l’issue de la 107ème assemblée plénière de la Conférence épiscopale de Côte d’Ivoire, qui s’est tenue du 16 au 21 mai 2017 à Bonoua, dans le diocèse de Grand-Bassam. Les évêques catholiques ont clairement rappelé que la foi catholique est incompatible avec les fondements et les pratiques de cette société ésotérique et bien d’autres qui ont, en ce moment, pignon sur rue dans le pays. « Que ce soit dans ses aspirations, ses pratiques et surtout ses fondements, les positions de la franc-maçonnerie sont inconciliables avec les doctrines de l’Eglise catholique », a déclaré l’évêque d’Odienné, Mgr Antoine Koné.

La déclaration des évêques fait suite à une polémique qui s’était développée à partir du mois de février dernier, lorsque l’archevêque d’Abidjan, le cardinal Jean-Pierre Kutwa, avait refusé les funérailles catholiques à Magloire Clotaire Koffi, grand-maître franc-maçon, décédé quelques jours plus tôt.

Les évêques ivoiriens en ont ainsi profité pour rappeler que l’impossible conciliation entre foi chrétienne et franc-maçonnerie se fonde sur trois points principaux : le relativisme, tout d’abord qui constitue « le nœud même de l’incompatibilité, en raison des conséquences sur le contenu de la foi, l’agir moral et l’appartenance à l’Eglise. » Le concept de « Grand Architecte de l’univers » qui correspond à Dieu chez les francs-maçons est, selon eux, un contenant vide dans lequel chacun peut mettre le contenu qui lui sied : « C’est tout à l’opposé de la conception chrétienne de Dieu. »

Deuxième point, celui de la divinité de Jésus, qui est niée par les francs-maçons : « L’Eglise ne peut tolérer l’affirmation selon laquelle Jésus est seulement un homme sage », déclarent les prélats.

Dernier point, la question du salut surnaturel. « La franc-maçonnerie exclut toute idée de salut », ce qui se conçoit bien puisqu’en vertu de son naturalisme, la franc-maçonnerie nie la possibilité même du surnaturel.

Volontiers offensif, l’épiscopat ivoirien a pressé les chrétiens déjà initiés à la franc-maçonnerie à rapidement en sortir. Pour les évêques, même s’ils sont liés par des pactes occultes, les chrétiens devenus francs-maçons peuvent et doivent s’en libérer : « aux fidèles laïcs, certains parmi vous se sont déjà engagés dans la franc-maçonnerie. Quelles que soient les raisons qui vous ont poussé à faire un tel choix, quels que soient les pactes déjà scellés et le degré de votre appartenance à telle ou telle obédience, nous vous exhortons ardemment à rebrousser chemin […]. N’ayez pas peur de rompre tous les liens qui vous tiennent captifs. Si le Christ nous a libérés, c’est pour que nous soyons libres », ont-ils déclaré.

Le même avertissement est adressé aux responsables de paroisses et communautés nouvelles : « Nous apprenons, à tort ou à raison, que certains membres du clergé et des consacrés flirteraient avec la franc-maçonnerie ou en feraient l’apologie, pensant sans doute trouver la solution à leurs problèmes matériels et financiers », s’indignent-ils, avant d’ajouter qu’« il serait bien dommage et triste que des hommes et des femmes d’Eglise, censés vivre dans le détachement et le renoncement, en arrivent là ! ».

Les évêques ivoiriens ont tenu à dénoncer également les manœuvres visant à séduire la jeunesse sacerdotale : « Vous devez tout mettre en œuvre pour résister aux sollicitations des adeptes de mouvements ésotériques et autres sociétés secrètes qui s’attaquent à nos futurs prêtres, dans le but de les corrompre. »

Pour mémoire, Clément XII en 1738 fut le premier pape à condamner la franc-maçonnerie dans la bulle In eminenti , condamnation qui sera réitérée par les souverains pontifes avec force tout au long du XIXe siècle. En 1983, alors que le nouveau Code abandonnait la mention de l’excommunication automatique qu’encouraient les adhérents à la franc-maçonnerie, la Congrégation pour la doctrine de la foi – à la tête de laquelle se trouvait alors le cardinal Joseph Ratzinger – tenait cependant à rappeler que « le jugement négatif de l’Eglise sur la franc-maçonnerie demeure inchangé. Les catholiques qui en font partie sont en état de péché grave et ne peuvent approcher de la sainte communion ».

Enfin, tout récemment, en 2016, le Saint-Siège est intervenu pour démettre de ses fonctions l’ancien curé de Megève en Haute-Savoie qui ne cachait pas son appartenance à la franc-maçonnerie.

Ainsi, à l’instar du temps, la Seine a-t-elle continué de couler tranquillement aux pieds du vaisseau immobile de Notre-Dame, et près de cinquante ans plus tard, les propos du Père Riquet, cités en tête de cet article, semblent à jamais évanouis dans les utopies brumeuses des grands ratés de l’Histoire : non, aussi sûr que deux et deux ne font pas cinq, on ne saurait être catholique et franc-maçon !

Quand un franc-maçon se convertit

Un ancien Vénérable Maître dénonce le pouvoir de la franc-maçonnerie

Serge Abad-Gallardo, architecte français âgé d’une soixantaine d’années, a passé 24 ans au sein d’une obédience maçonnique, celle du Droit Humain (une émanation du Grand Orient de France). Son livre J’ai frappé à la porte du Temple (Éd. Pierre Téqui), sous-titré « Parcours d’un franc-maçon en crise spirituelle » est le témoignage des années que l’auteur a passé dans la franc-maçonnerie.
Après sa conversion au christianisme (il était déjà baptisé, mais s’était éloigné de l’Église), il a compris que la religion catholique et l’idéologie maçonnique étaient incompatibles et a décidé d’en sortir. Il répond à Aleteia :
[…] Je crois que Dieu m’a laissé si longtemps dans l’erreur de la franc-maçonnerie (24 ans, jusqu’à devenir Vénérable Maître et accéder aux plus hauts grades) afin qu’aujourd’hui aucun maçon ne puisse me dire – comme certains ont tenté de le faire, en toute mauvaise foi – que je n’ai rien compris.
Je suis passé par divers stades. Tout d’abord, comme je l’explique dans mon livre, j’ai pris conscience de la présence du Christ à mes côtés. Cela a débuté en 2002, quand j’ai rencontré un prêtre franciscain près d’Aix-en-Provence. Ses paroles m’ont paru maçonniques et m’ont plu parce que je pensais qu’il existait des liens entre la franc-maçonnerie et le catholicisme, mais j’ai compris au fur et à mesure que le sens de ses paroles était fondamentalement différent.
Par exemple ?
Lorsque la franc-maçonnerie parle de « Lumière », elle parle d’une « Connaissance », d’un savoir ésotérique, hermétique et occulte. Alors que ce Franciscain me parlait de la « Lumière » comme étant l’Amour de Dieu pour nous. Encore un exemple, quand la franc-maçonnerie reprend à son compte : « Cherchez et vous trouverez » (Matt. 7 – 7 NDLR), il s’agit d’aller chercher et de trouver au fond de soi-même.
C’est la parole hermétique maçonnique « V.I.T.R.I.O.L. » (Visita Interiorem Terrae Rectificando Invenies Occultum Lapidem : Visite l’intérieur de la terre, et en rectifiant tu trouveras la pierre cachée). Les paroles de l’Évangile ne signifient rien de tout cela en réalité : elles nous révèlent que Dieu nous cherche avant même que nous ne pensions à Le chercher. C’est Dieu qui donne l’Amour à l’homme, non le contraire.
L’amour de l’homme est une image de l’Amour de Dieu. Dieu nous a faits à son image. Tout ceci n’a rien à voir avec la magie, l’occultisme ou des formules symboliques ! Je suis sorti de cette rencontre avec le Franciscain complètement bouleversé, et j’ai senti la présence du Christ à mes côtés. Je ne pouvais imaginer qu’Il m’aimait de cet Amour immense que je ressentais à présent dans tout mon être. Il n’y a pas de mots pour le décrire. […]
En 2012, j’ai expérimenté ce que l’on peut appeler « le Mal absolu ». J’ai vu jusqu’où va la noirceur de l’âme humaine. Par la sorcellerie et la magie, j’ai constaté la présence du diable et son œuvre maléfique dans une vie.
Cela peut paraître incroyable et je n’ai pas d’autre choix que de raconter les choses telles qu’elles se sont passées. Le monde s’est refermé sur moi. En quelques mois, j’ai perdu mon emploi, un bon salaire, la maison où nous habitions, mon voilier de 12 mètres, ma voiture de sport, mes amis… Je me sentais totalement perdu et ne trouvais plus de repères dans la franc-maçonnerie.
Personne ne vous y explique pourquoi le mal existe dans le monde par exemple. Ni comment le combattre. L’idée m’est venue de faire une retraite quelques jours à l’abbaye de Lagrasse. Là bas, devant le Christ en croix, je me suis mis à pleurer et me suis rendu compte que ce Christ pleurait avec moi. Cet Amour fut comme une lumière. J’ai passé une semaine avec les moines, et mon cœur s’est ouvert totalement à l’Amour du Christ.
Et c’est à ce moment que vous êtes sorti définitivement de la franc-maçonnerie…
Tout ce que j’y vivais m’a paru faux, ou du moins tiède. Je ne pouvais plus y rester après avoir compris que la franc-maçonnerie est totalement incompatible avec la foi catholique.
A-t-elle réellement le pouvoir que lui prête sa légende ?
Oui, ce pouvoir, elle l’a ! En France, depuis 2012, une majorité de ministres du gouvernement sont maçons. Les grands maîtres du Grand Orient, du Droit Humain ou de la Grande Loge veulent changer la société.
Des lois comme l’avortement, l’euthanasie ou le mariage homosexuel correspondent aux idées maçonniques d’émancipation de l’individu qui n’en réfère plus qu’à lui même, sans autre limite morale que celle qu’il se fixe. Un grand maître de la Grande Loge de France, Pierre Simon, a avoué que toutes ces lois étaient pensées et mûries en loges avant même d’être débattues par les députés.
Et elle conspire ?
La franc-maçonnerie croit en sa propre « utopie ». Autrement dit, tout ce qui est possible à un être humain, peut et doit lui être permis. La morale découle du pacte social et pas de la loi naturelle voulue par Dieu. Sans enfer ni paradis, sans jugement dernier ni rédemption, il n’y a pas d’autre mode de vie possible que l’hédonisme : le plaisir et le bonheur en cette vie sont l’unique but à poursuivre.
Le Salut éternel n’existe pas, il faut jouir de la vie présente. La franc-maçonnerie conspire, dès lors, contre toute façon de penser qui ne serait pas la sienne et ne suivrait pas cet objectif.

Les catholiques qui font partie de la franc-maçonnerie sont en état de péché grave

Déclaration du cardinal Ratzinger contre la franc-maçonnerie (26 novembre 1983)

« Certains se sont demandés si la pensée de l’Eglise sur la franc-maçonnerie avait changé parce qu’il n’en est pas fait mention expresse dans le nouveau Code de Droit Canon comme c’était le cas dans l’ancien Code.

La Sacrée Congrégation est en mesure de répondre que cet état de fait est dû à un critère utilisé pour la rédaction et qui a été observé également pour d’autres associations, passées de la même façon sous silence, dans la mesure où elles étaient comprises dans des catégories plus larges.

Le jugement négatif de l’Eglise sur la franc-maçonnerie demeure donc inchangé parce que ses principes ont toujours été considérés comme incompatibles avec la doctrine de l’Eglise ; c’est pourquoi il reste interdit par l’Eglise de s’y inscrire. Les catholiques qui font partie de la franc-maçonnerie sont en état de péché grave et ne peuvent s’approcher de la Sainte Communion.

Les autorités ecclésiastiques locales n’ont pas la faculté d’émettre sur la nature des associations de la franc-maçonnerie un jugement qui entraînerait une dérogation à ce qui est mentionné ci-dessus, conformément à l’esprit de la Déclaration du 17 février 1981 de cette même Sacrée Congrégation.

Le Souverain Pontife Jean-Paul II, au cours de l’audience accordée au sous-signé le Cardinal Préfet, a approuvé la présente déclaration adoptée au cours de la réunion ordinaire de cette Sacrée Congrégation et en a ordonné la publication.

Donné à Rome, au Siège de la Sacrée Congrégation pour la Doctrine de la Foi, le 26 novembre 1983.

Joseph Cardinal Ratzinger, Préfet