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mardi 3 décembre 2024

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Guérisons

Guérir des blessures de l’avortement dans la communion des Saints

Un prêtre qui confesse assidûment avec une attention spéciale à la guérison intérieure constate fréquemment les séquelles conscientes ou inconscientes de l’avortement. Il a élaboré progressivement un chemin de prise de conscience libératrice qui conduit beaucoup de chrétiens à la paix en vivant la communion des Saints. (René LAURENTIN) Guérir des blessures de l’avortement en vivant la communion des SaintsLe samedi 15 janvier 2005, 10 000 personnes dans Paris soutenaient, trente ans après la loi Veil du 17 janvier 1975 (jour de Notre Dame de Pontmain), une loi à l’encontre du « plus petit », l’enfant à naître qui devient de fait le premier des exclus de la société des hommes. C’est-à-dire ces « êtres humains à l’état d’embryon ou de fœtus » mais qui n’en sont pas moins de réels enfants. Nous l’avons tous été à notre premier jour… Jésus Lui-même l’a été en accomplissant le grand miracle de l’Incarnation et celui, trois jours après, de la sanctification de Jean-Baptiste par la voix de Marie, lors de la visite à sa cousine Élisabeth. Marie, elle-même, dès le premier instant de sa conception, avait reçu, venant du Christ par anticipation, la grâce de l’Immaculée Conception. Notre pape Jean-Paul II est venu célébrer les 150 ans de la promulgation de ce dogme le 15 août, à Lourdes. C’est là qu’il pleura sur la France, à la grotte de Massabielle, puis qu’il fit appel aux femmes pour réaliser ce que les hommes n’ont pas réussi à faire : défendre la vie du premier instant de la conception jusqu’au dernier souffle. L’être humain est dans l’embryon d’un jour comme l’arbre est dans la semence mise en terre. « Connaissez la vérité » Je suis hélas très souvent obligé d’évoquer avec le plus de compassion possible cette terrible réalité. Mais « Connaissez la Vérité et elle vous rendra libre (Jn 8,32) » nous dit Jésus. C’est donc en partant de cette vérité qui consiste à dire clairement que tout avortement revient à éliminer un enfant qu’avec nombre de femmes, mais aussi de compagnons (car pour le moins les deux sont concernés) nous pouvons emprunter le seul chemin de libération, de guérison et de Vie possible que nous découvrons dans le Christ. Ce chemin nous est indiqué par la foi lumineuse de l’Église catholique et en particulier l’article de notre foi à la « Communion des Saints ». Je dois ici vous livrer un témoignage précieux que j’ai souvent donné avec à la clé une réaction en chaîne de conversions et de confessions plus complètes. C’était lors d’une messe pour la guérison de l’arbre généalogique d’une famille. Participait à cette messe une mère bénéficiant d’un charisme particulier : le contact avec les âmes des défunts et de prier pour elles. Lorsque j’expliquai aux participants que dans cette célébration nous devions prier pour les enfants avortés et même les fausses couches dans nos familles, elle sursauta en me disant qu’elle avait vécu trois fausses couches et me demanda : « Que faire pour réparer ce manque ? » Je lui dis alors qu’il était important en premier lieu de leur demander dans la prière quels étaient leurs vrais noms pour Dieu. Ensuite, d’exprimer un baptême de désir pour eux, sachant que du côté de Dieu, du ciel, ce baptême de désir existait déjà. La troisième chose était de s’engager à prier non pas tant pour eux qu’avec eux et à leur intention, en vivant désormais la communion des Saints au quotidien : communion de pensée, d’amour, de prière (exemple : offrir sa journée et un Ave Maria avec eux) et d’eucharistie (exemple : communier à la messe sacramentellement pour eux et en union avec eux communiant dans la gloire), mais aussi et d’abord communion dans le pardon de Dieu reçu par le sacrement de réconciliation, surtout avec les enfants non acceptés lors d’un avortement. C’est ainsi que dans la prière elle reçut les noms de Marie (morte à 5 mois), Jacinta (à 3 mois) et Lucie (à 4 mois). Juste après avoir exprimé le baptême de désir, elle entrait en extase et vit le Sacré-Cœur qui ouvrit une porte par laquelle sortirent ses trois enfants devenus jeunes adultes, rayonnants et revêtus d’une grande robe blanche jusqu’aux pieds. Dans une grande joie qui se reflétait sur le visage de leur mère, les trois enfants lui dirent d’un même chœur : « Merci Maman. Maintenant, on va pouvoir t’aider. » Puis ils lui ont fait ensemble un signe d’au revoir. L’extase se termina, mais la vie dans la communion des Saints avec ses enfants commençait vraiment. Il y a donc bien un avant, et un après. La mère considère maintenant qu’elle n’a pas que quatre enfants (vivants) mais bien sept puisque les trois du ciel n’ont de cesse de l’aider désormais. « Ils sont, dit-elle, dans la lumière totale. Ce sont eux qui me soutiennent dans mes prières pour les défunts et dans les besoins de ma vie quotidienne. Je leur demande : aidez-moi, éclairez-moi, que dois-je faire ? Ma vie est changée. Avant, je ne savais pas où ils étaient. On m’avait dit que c’était juste un morceau de chair. Pour moi maintenant j’ai sept enfants. » Je peux témoigner qu’elle en est très heureuse, comme le deviennent toutes ces femmes, mais aussi les hommes, qui entrent dans cette conversion pour vivre la communion des Saints au quotidien. Seule réparation véritable, d’après l’expérience que j’en ai, qui soit à même de guérir des blessures non cicatrisées, parfois depuis de longues années. Une dame de 80 printemps, très croyante et fidèle pratiquante, témoigne que depuis la fausse couche qu’elle fit à l’âge de vingt ans, il lui « manquait quelque chose » qui la laissait insatisfaite. Ayant vécu le baptême de désir, elle en est maintenant apaisée et même joyeuse. Tout l’être se renouvelle Le baptême de désir engageant à vivre effectivement la communion des Saints au quotidien entraîne ainsi des changements intérieurs conséquents. Les fruits de l’Esprit Saint en sont la marque : « Amour, joie, paix, confiance, bienveillance… (Ga 5, 22) » Pour ce qui concerne l’avortement, la démarche proposée ci-dessus en trois points devient absolument nécessaire dans le cadre du sacrement de réconciliation pour les personnes qui ont avorté ou contribué à un avortement, ne serait-ce qu’en raison de leur complicité. À ce propos, nous participons inconsciemment à ce péché collectif, puisque les sommes allouées aux associations qui veulent défendre le droit à la vie (premier droit de la personne humaine) sont dérisoires par rapport à celles consacrées à la supprimer. C’est pourquoi J’invite toujours à un acte de contrition développé du genre : « Mon Dieu, donne-moi un très grand regret de t’avoir offensé parce que Tu es infiniment bon, aimable, infiniment Amour et que le péché te déplaît parce qu’il blesse Ton Amour. Pardon cher (s) enfant (s) de n’avoir pas su à quel point l’acte était grave. Pardon pour tous, pour la société qui nous y pousse. Pardon pour notre égoïsme collectif et Merci cher (s) enfant (s) de bien vouloir révéler ton (vos) nom (s) au cœur de ta maman (ou de ton papa) pour que nous puissions désormais prier avec toi chaque jour et à tes intentions pour la joie de Dieu, la tienne, la nôtre et celle de tous ceux que le Seigneur a mis, met et mettra sur notre chemin ! » Demander le nom de l’enfant La réception du pardon de Dieu uni à celui de l’enfant apporte une grande libération et une grande paix. Elles deviennent plénières dans l’expression du baptême de désir. C’est un événement de grâce divine rempli d’une joie céleste. Les accolades sont alors vraies et profondes et les larmes sont des larmes de joie. Mais il faut pour cela qu’au préalable le prénom de l’enfant soit révélé au cœur de la mère ou du père (voire du parrain qui se propose d’adopter un enfant à la place des parents non disposés pour l’heure à cette démarche). Et là, j’ai constaté premièrement que l’invocation de l’Esprit Saint en imposant les mains sur la tête dispose à la révélation des noms au cœur, sans chercher à savoir si c’est un garçon ou une fille. Cette prière faite dans la communion des Saints ouvre ainsi le ciel en nos cœurs. Très souvent, les enfants se manifestent ensuite dans des songes. J’ai constaté deuxièmement que si le nom tardait à venir, c’était en raison soit d’une confession incomplète des péchés, soit de l’omission de la prière de délivrance. Nous continuons alors la prière jusqu’à la lumière complète, même si nous devons nous revoir pour une confession ultérieure à cause du manque de temps. Il m’est arrivé certains jours de vivre ce genre de baptême une vingtaine de fois pour une ou plusieurs personnes. J’ai même reçu un chirurgien qui en a adopté 200 pour toute une année durant laquelle il avait pratiqué lui-même des avortements. Avec sa femme, ils leur consacrent un rosaire quotidien, soit 203 Ave Maria avec les Mystères Lumineux. Un pour chaque enfant dont les noms ont été reçus dans la prière ! Un ministère particulier Je dois dire que dans la découverte progressive de ce ministère particulier, je vais d’émerveillement en émerveillement, tellement il est beau de contribuer à faire descendre la joie du ciel dans des cœurs blessés et parfois blasés depuis longtemps. J’ai pu vérifier aussi que le soi-disant contraceptif appelé stérilet est bel et bien un abortif qui ne dit pas son nom. La première fois, c’était une dame qui était convaincue d’avoir perdu deux enfants à cause du stérilet. Pour elle, comme pour tant d’autres, la réparation accomplie selon la moyenne d’un enfant par année de port de stérilet lui apporta la paix et la joie en son âme. J’ai constaté depuis combien les effets spirituels et psychologiques du stérilet correspondent à ceux de l’avortement. J’ai constaté aussi les changements après le sacrement. Comment la paix profonde est advenue et comment certains troubles spirituels ont disparu. Dans ce cheminement, j’ai la chance d’être accompagné par des personnes dotées de charismes qui sont pour moi de précieux soutiens dans la prière pour mon apostolat. L’une d’elles a reçu une locution de la Sainte Vierge exprimant que nous n’étions que peu de prêtres à procéder ainsi mais qu’en le faisant je (in persona Chrsiti capitis) « sauve une âme et crée un ange ». J’interprète cette parole au sens où, effectivement, la vérité est difficile à entendre, mais il faut bien comprendre qu’un avortement entraîne de fait une excommunication, puisque la matière de ce péché est très grave. C’est pourquoi la juste réparation sur cette terre, qui consisterait donc à donner la vie là où on a donné la mort « sauve » (au moins…) l’âme d’un purgatoire plus ou moins long selon sa responsabilité. Quant à la création d’un ange, dont le mot signifie « messager », c’est une vérité corroborée par la parole citée plus haut que désormais l’enfant « va pouvoir aider ses parents ». Ce qui nous induit à comprendre qu’il y aurait pour ces enfants, fussent-ils rejetés à l’état d’êtres humains embryonnaires, un « avant » et un « après » l’accomplissement de la Justice. Cet accomplissement correspond au baptême de désir lié à la réparation évoquée. L’« avant » serait l’état d’intercesseur jusqu’à ce que « toute justice soit accomplie (Mt 3,15) » dans le Christ. L’« après » serait l’état de messager comme le sont les Anges et les Saints du ciel qui, selon la parole de sainte Thérèse de Lisieux, désirent « passer leur ciel à faire du bien sur la terre ». J’ai également reçu d’autres éclairages, entre autres le témoignage écrit d’une personne qui dans la confession d’un « enfant stérilet » l’été dernier a engendré la guérison intérieure de son fils venu après. La cause de tant de souffrances dans le monde présent réside principalement dans les péchés personnels et collectifs accumulés. Mère Teresa n’avait de cesse de répéter que : « le plus grand danger pour la paix dans le monde est l’avortement » ; il y a urgence que la paix dilate l’âme de toutes les mères… puis de tous les couples… il y a urgence de proclamer autour de nous que le remède existe et qu’il a un Nom, celui-là seul qui « nous ait été donné comme Sauveur de toute l’humanité » : Jésus-Christ, vivant et agissant dans l’Église qu’Il a instituée sur Pierre (Jean-Paul 11). l’Église, Une, Sainte, Catholique et Apostolique dont sainte Marie est la Mère et saint Joseph le protecteur à qui nous pouvons consacrer tous ces enfants évoqués dans le cadre du baptême de désir. Père Jean Yves

La vidéo de la prière des malades

Chers amis Je vous invite tous à venir sur le Forum VSJ écouter cet excellent reportage de 60 minutes sur les très nombreuses Guérisons Miraculeuses, et spectaculaires, qui ont lieu à tous les jeudis durant l’heure de Prières, 18H30, en l’Église St-Nicolas des Champs située à Paris et associée à la Communauté de l’Emmanuel :

Une relique de Sainte Apollonie a la réputation de calmer le mal de dents des bébés

Chaque semaine, leurs enfants dans les bras, des dizaines de parents se rendent à l’église à Lézat-sur-Lèze (Ariège), où une relique de Sainte Apollonie, patronne des dentistes, a la réputation de calmer la douloureuse poussée des dents des nourrissons.

« Sainte Apollonie priez pour nous et faites que cet enfant ne souffre plus des gencives », dit Monique Garrigues en appliquant une dent jaunie sur les gencives des nourrissons. Entre deux bébés, elle désinfecte la vieille dent.

« Ce n’est pas un remède mais un acte religieux », prévient Mme Garrigues qui, en l’absence du curé de Lézat-sur-Lèze, procède au rituel. « Il faut donc y croire », s’empresse-t-elle d’ajouter aux parents à l’écoute.

Ceux de Timéo, 7 mois, arrivés depuis peu près de Toulouse et qui se disent « catholiques mais pas pratiquants », indiquent que « c’est une assistante maternelle qui (leur) en a parlé ».

« On vient surtout à la suite de nombreux témoignages de personnes nous disant que ça marche », ajoute Yvan, le papa, avant de s’approcher de l’autel.

Ingrid, mère de deux jumelles, Ambre et Luna, dit avoir essayé le collier d’ambre devant les crises que faisaient ses filles au moment de la sortie des dents, mais que cela « n’a pas du tout marché ».

« Je suis croyante et prête à tout essayer pour les soulager, alors quand j’ai vu sur internet que près de 90% des gens disent que ça marche, je suis venue », ajoute cette habitante de la banlieue toulousaine.

René Sejalon, curé de la paroisse qui dit voir passer de 10 à 30 bébés par semaine, se défend de parler de « miracle » et préfère « conclure au domaine de l’inexpliquable ».

« S’il n’y avait pas quelque chose d’inexpliquable il n’y aurait pas eu des générations de parents qui amènent leurs enfants à la dent de Sainte Apollonie », ajoute le père Sejalon qui officie depuis quinze ans à Lézat-sur-Lèze.

Habitante du village ariégeois de Mazères, la grand-mère de Lola, petite fille d’à peine un an, témoigne de ce passage de générations en générations.

« Il y a maintenant 50 ans j’ai amené mon fils qui hurlait tous les soirs à cause de sa poussée de dents. Du jour où on lui a passé la dent de Sainte Apollonie il n’a plus pleuré », affirme-t-elle. « Alors toute la famille y est passée et aujourd’hui c’est au tour de mon arrière petite-fille », se réjouit-elle.

Outre Lézat-sur-Lèze, le rituel de la dent de Sainte Apollonie est également pratiqué dans un village du Tarn, à Bernac, où un bout de mâchoire et de dent de la Sainte, conservés dans un reliquaire, est passé sur la joue des nourrissons.

« Aucun moine n’a jamais écrit sur l’application de la relique », reconnaît le père Sejalon, « mais de bouche à oreille comme c’est le cas aujourd’hui, il s’est toujours dit que des bébés ont été conduits à la relique de Sainte Apollonie ».

« Et il nous a été rapporté que ces dernières années, il y a plus de monde qu’auparavant, surtout l’été avec les touristes », ajoute le père recevant des mains de Mme Garrigues les soixante euros laissés mercredi par les parents de cinq nourrissons.
source

La vie d’Apollonie et surtout son martyr nous est conté dans le tome II de la Légende Dorée de Jacques de Voragine.

Apollonie vivait à Alexandrie sous le règne de l’empereur Dèce (IIIe siècle), elle menait une vie dévouée à la vierge et aux malades qu’elle soignait.
Or un jour, de jeunes païens la prennent à partie et lui demande d’injurier le Christ.

Elle refuse, alors les impies la battent, lui brisent la mâchoire à coup de pierres et allument un bûcher dans lequel, profitant de l’inattention de ses bourreaux, elle se précipite.

C’est Saint Bruno qui aurait rapporté à Rome les saintes reliques d’Apollonie.
Au XIe siècle, lors de la 1ère Croisade, l’empereur de Constantinople offre à Roger II, comte de Foix, une des dents de la sainte.

De retour au pays, Roger l’offre à son tour à la puissante abbaye de Lézat, avec d’autres reliques ramenées de Terre Sainte et encore conservées dans l’église paroissiale dédiée à Saint Jean-Baptiste.

Depuis, croyants et moins croyants font le pèlerinage à Lézat, pour toucher la canine patinée de la sainte qui repose dans une boîte en argent.

La dent aurait en effet la vertu de soulager les enfants en bas âge qui percent les dents et elle leur en évite les complications inhérentes: fièvres, bronchites et diarrhées.

Ils sont en moyenne une soixantaine par mois à venir solliciter les bienfaits de la sainte et pas seulement des petits ariégeois, à voir les plaques d’immatriculation des voitures garées sur la place de l’église.

Accueil des parents et nourrissons : deux fois par semaines, le samedi à 15h et le mercredi à 17h.

Nous avons testé les qualités thaumaturges de la sainte canine en compagnie de Hugo, un beau bébé de 4 mois qui pleurait à chaudes larmes avant que le miracle ne se produise!