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jeudi 18 avril 2024

Saint Parfait de Cordoue

La Révolution, c’est l’antéchrist !

Mgr Gaume

Mgr Gaume définit la révolution : « Si arrachant son masque, vous lui demandez qui es-tu ? Elle vous dira : je ne suis pas ce que l’on croit. Beaucoup parlent de moi et bien peu me connaissent. Je ne suis ni le carbonarisme… ni l’émeute… ni le changement de la monarchie en république, ni la substitution d’une dynastie en une autre, ni le trouble momentané de l’ordre public. Je ne suis ni les hurlements des Jacobins, ni les fureurs de la Montagne, ni le combat des barricades, ni le pillage, ni l’incendie, ni la loi agraire, ni la guillotine, ni les noyades. Je ne suis ni Marat, ni Robespierre, ni Babeuf, ni Mazzini, ni Kossuth. Ces hommes sont mes fils, ils ne sont pas moi. Ces choses sont mes œuvres, elles ne sont pas moi. Ces hommes et ces choses sont des faits passagers et moi je suis un état permanent. Je suis la haine de tout ordre que l’homme n’a pas établi et dans lequel il n’est pas roi et Dieu tout ensemble. Je suis la proclamation des droits de l’homme sans souci des droits de Dieu. Je suis la fondation de l’état religieux et social sur la volonté de l’homme au lieu de la volonté de Dieu. Je suis Dieu détrôné et l’homme a sa place (l’homme devenant à lui-même sa fin). Voilà pourquoi je m’appelle Révolution, c’est-à-dire renversement ». La Révolution est, comme vous le comprenez par cette simple citation, une œuvre satanique. Satan refusa de se soumettre à l’ordre divin. Ainsi de la Révolution. Elle a la haine du Christ et de son Église. La Révolution a la haine de l’ordre surnaturel, celui fondé et voulu par Dieu, et réalisé dans le Christ, et perpétué par son Église. Elle cherche à éliminer l’ordre surnaturel. C’est ce que dit Pie X dans sa première encyclique « E supremi apostolatus ». Il parle « d’apostasie ». Jean Paul II parlera lui aussi de « l’apostasie silencieuse » (Exhortation « Ecclesia in Europa). C’est le refus de la soumission de la créature à la Sainte Trinité. C’est un acharnement inlassable contre l’œuvre de salut et de restauration du Verbe Incarné. Ainsi nous comprenons bien que le résultat de la Révolution sur le plan des idées, c’est le Naturalisme. La Révolution a donc la haine de l’ordre créé par Dieu. Détruire son œuvre sera son but. La Révolution a la haine de l’ordre chrétien. Elle s’en prendra au Christ. Et à son Église. « Les rois de la terre se sont levés et les princes se sont assemblés contre le Seigneur et contre son Christ ». Jules Ferry dira : « Mon but est d’organiser l’humanité sans Dieu ». Clémenceau dira dans le même sens : « Depuis la Révolution, nous sommes en révolte contre l’autorité divine et humaine ». Ou encore : « Rien ne sera fait dans ce pays tant qu’on n’aura pas changé l’état d’esprit qui y a introduit l’autorité catholique ». Viviani disait : « Nous ne sommes pas seulement en présence des congrégations, nous sommes en face de l’Église Catholique pour la combattre, pour lui livrer une guerre d’extermination ». La Révolution a la haine du prêtre, parce que c’est l’homme du Sacrifice de la Messe qui est le renouvellement du Sacrifice de la Croix. Et le Sacrifice de la Croix a réconcilié l’homme avec Dieu, l’ordre initial se trouve rétabli par une union nouvelle du surnaturel et du naturel. Union détruite par le péché originel de nos premiers parents et rétablie dans le Christ et son sacrifice. C’est pourquoi le Christ parle de « Novi et Aeterni Testamenti ». On comprend pourquoi la Franc-Maçonnerie qui est la main cachée de la Révolution ne cesse, dans ses loges, de se préoccuper du sacerdoce qu’il faut absolument « dévoyer », détruire. Il fallait lui arracher son habit sacerdotal. C’est fait. Il fallait lui arracher la messe, Mgr Bunigni, dont on découvrit son appartenance à la maçonnerie, se chargea de cette horrible besogne : avec la réforme liturgique bunignienne, ce n’est plus le sacrifice du Christ perpétué dans le temps, c’est davantage la célébration d’une « commémoration », voire même d’un « repas », on ne cesse de parler de la « Cène du Seigneur »… Aujourd’hui on discute dans les loges de l’abolition du célibat ecclésiastique… Le sujet arrive aujourd’hui au grand jour. La Révolution a non seulement la haine du prêtre, mais aussi la haine de l’homme comme créature de Dieu et cherche avant tout à l’avilir, à le « carnaliser », haine de l’homme parce que cette créature doit, par élection divine, par le baptême, prendre la place des démons chassés du ciel… Elle veut la destruction de l’ordre politique et social pour arriver au super Etat, l’ancien rêve judaïque : « Solve et coagula ». Chose plus que jamais actuelle… La Révolution, en un mot, c’est l’antéchrist puisque l’antéchrist a la haine de tout ce qu’est le Christ (définition de l’antéchrist par le Cardinal Pie dans Le Cardinal Pie de A à Z, p.84). Mgr Gaume définit la révolution : « Si arrachant son masque, vous lui demandez qui es-tu ? Elle vous dira : je ne suis pas ce que l’on croit. Beaucoup parlent de moi et bien peu me connaissent. Je ne suis ni le carbonarisme… ni l’émeute… ni le changement de la monarchie en république, ni la substitution d’une dynastie en une autre, ni le trouble momentané de l’ordre public. Je ne suis ni les hurlements des Jacobins, ni les fureurs de la Montagne, ni le combat des barricades, ni le pillage, ni l’incendie, ni la loi agraire, ni la guillotine, ni les noyades. Je ne suis ni Marat, ni Robespierre, ni Babeuf, ni Mazzini, ni Kossuth. Ces hommes sont mes fils, ils ne sont pas moi. Ces choses sont mes œuvres, elles ne sont pas moi. Ces hommes et ces choses sont des faits passagers et moi je suis un état permanent. Je suis la haine de tout ordre que l’homme n’a pas établi et dans lequel il n’est pas roi et Dieu tout ensemble. Je suis la proclamation des droits de l’homme sans souci des droits de Dieu. Je suis la fondation de l’état religieux et social sur la volonté de l’homme au lieu de la volonté de Dieu. Je suis Dieu détrôné et l’homme a sa place (l’homme devenant à lui-même sa fin). Voilà pourquoi je m’appelle Révolution, c’est-à-dire renversement ». La Révolution est, comme vous le comprenez par cette simple citation, une œuvre satanique. Satan refusa de se soumettre à l’ordre divin. Ainsi de la Révolution. Elle a la haine du Christ et de son Église. La Révolution a la haine de l’ordre surnaturel, celui fondé et voulu par Dieu, et réalisé dans le Christ, et perpétué par son Église. Elle cherche à éliminer l’ordre surnaturel. C’est ce que dit Pie X dans sa première encyclique « E supremi apostolatus ». Il parle « d’apostasie ». Jean Paul II parlera lui aussi de « l’apostasie silencieuse » (Exhortation « Ecclesia in Europa). C’est le refus de la soumission de la créature à la Sainte Trinité. C’est un acharnement inlassable contre l’œuvre de salut et de restauration du Verbe Incarné. Ainsi nous comprenons bien que le résultat de la Révolution sur le plan des idées, c’est le Naturalisme. La Révolution a donc la haine de l’ordre créé par Dieu. Détruire son œuvre sera son but. La Révolution a la haine de l’ordre chrétien. Elle s’en prendra au Christ. Et à son Église. « Les rois de la terre se sont levés et les princes se sont assemblés contre le Seigneur et contre son Christ ». Jules Ferry dira : « Mon but est d’organiser l’humanité sans Dieu ». Clémenceau dira dans le même sens : « Depuis la Révolution, nous sommes en révolte contre l’autorité divine et humaine ». Ou encore : « Rien ne sera fait dans ce pays tant qu’on n’aura pas changé l’état d’esprit qui y a introduit l’autorité catholique ». Viviani disait : « Nous ne sommes pas seulement en présence des congrégations, nous sommes en face de l’Église Catholique pour la combattre, pour lui livrer une guerre d’extermination ». La Révolution a la haine du prêtre, parce que c’est l’homme du Sacrifice de la Messe qui est le renouvellement du Sacrifice de la Croix. Et le Sacrifice de la Croix a réconcilié l’homme avec Dieu, l’ordre initial se trouve rétabli par une union nouvelle du surnaturel et du naturel. Union détruite par le péché originel de nos premiers parents et rétablie dans le Christ et son sacrifice. C’est pourquoi le Christ parle de « Novi et Aeterni Testamenti ». On comprend pourquoi la Franc-Maçonnerie qui est la main cachée de la Révolution ne cesse, dans ses loges, de se préoccuper du sacerdoce qu’il faut absolument « dévoyer », détruire. Il fallait lui arracher son habit sacerdotal. C’est fait. Il fallait lui arracher la messe, Mgr Bunigni, dont on découvrit son appartenance à la maçonnerie, se chargea de cette horrible besogne : avec la réforme liturgique bunignienne, ce n’est plus le sacrifice du Christ perpétué dans le temps, c’est davantage la célébration d’une « commémoration », voire même d’un « repas », on ne cesse de parler de la « Cène du Seigneur »… Aujourd’hui on discute dans les loges de l’abolition du célibat ecclésiastique… Le sujet arrive aujourd’hui au grand jour. La Révolution a non seulement la haine du prêtre, mais aussi la haine de l’homme comme créature de Dieu et cherche avant tout à l’avilir, à le « carnaliser », haine de l’homme parce que cette créature doit, par élection divine, par le baptême, prendre la place des démons chassés du ciel… Elle veut la destruction de l’ordre politique et social pour arriver au super Etat, l’ancien rêve judaïque : « Solve et coagula ». Chose plus que jamais actuelle… La Révolution, en un mot, c’est l’antéchrist puisque l’antéchrist a la haine de tout ce qu’est le Christ (définition de l’antéchrist par le Cardinal Pie dans Le Cardinal Pie de A à Z, p.84).

Les revenants et les vampires existent-ils ?

De siècle en siècle, des faits authentiques prouvent que Dieu permet, parfois, aux démons, terribles ministres de sa justice, d’infliger des châtiments à la dépouille des coupables (…) Faut-il ajouter que les mauvais esprits ont le pouvoir de se revêtir des corps des morts ou du moins de leurs formes ? d’où les revenants, les sabbats, les vampires et les apparitions très connues des spirites modernes. En bénissant les cimetières avec tant de solennité, l’Eglise sait donc bien ce qu’elle fait. Si elle connait la puissante haine des démons, elle sait aussi que les prières, les bénédictions, l’eau bénite qui ont défendu l’homme pendant sa vie, peuvent encore le défendre après le trépas. Sa foi est la foi des siècles. Mgr Gaume – Le cimetière (1874)