«Paris sera démoli et brûlé tout de bon, mais pas tout entier»
Le saint curé d’Ars (1859) Tweet
Voici une autre vision; elle émane de la religieuse trappistine de Chemillé :
«Je vis la capitale pillée, saccagée, brûlée. A cette vue, je fus tellement épouvantée que je crus que nous allions tous périr» (Dompierre, ouv. cité, p. 78. )…
Et encore :
«Le tonnerre grondait toujours dans les airs d’une manière effrayante lorsque j’entendis une voix qui me dit : «Ne crains pas ! Mon courroux tombera sur ceux qui ont allumé ma colère; ils disparaîtront dans un moment. Tout l’univers sera étonné d’apprendre la destruction de la plus belle, de la plus superbe ville ! Je dis: superbe, par ses crimes; car je l’ai en abomination; c’est cette maudite Babylone qui s’est enivrée du sang de mes saints; elle veut encore le verser… Elle mettra le comble à ses horribles forfaits; et moi je lui ferai boire le vin de ma colère; tous les maux tomberont à la fois sur elle dans un seul instant… Je n’entendis plus la voix mais un bruit effroyable; le gros nuage se divisa en quatre parties qui tombèrent à la fois sur la grande ville, et en un instant elle fut tout en feu. Les flammes qui la dévoraient s’élevèrent dans les airs; et de suite je ne vis plus rien qu’une vaste terre, noire comme du charbon».
Marie des neiges Holgado dépeint la vie superficielle de Paris qui mène à la fange du péché et du vice :
«Rêver à Paris, écrit-elle, c’est se voir entouré de ténèbres de mort. Ce n’est pas un songe délicieux, c’est une bousculade incessante, c’est trébucher continuellement jusqu’à tomber dans le mal et finalement être précipité dans la damnation éternelle…
Malheur à toi, Paris ! Dans peu de temps, tes superbes avenues seront des sépulcres de mort. Pleure sur tes erreurs, il en est temps encore, mais ensuite ce sera trop tard ! Que va devenir ton orgueilleux Opéra ? Un monceau de cendres, un rien… C’est l’éternel aboutissement des centres de corruption et de péché.»
De Mélanie de La Salette (suite) :
Comme l’abbé Rigaux, revenant de La Salette avec Mélanie, traversait Paris en voiture avec elle, de la gare de Lyon à la gare du Nord, elle lui dit, en désignant la rive droite :
«Tout ce que vous voyez de ce côté là-bas sera rouge. Tout cela brûlera. Les flammes s’arrêteront à peu près là». Elle montrait le canal Saint-Martin.»
Alors l’abbé Rigaux :
«Mais pourtant, c’est un mauvais quartier celui-ci».
Et Mélanie :
«Ces maisons seront vides car les habitants seront partis dans les quartiers riches pour piller, avec des draps».
Passant devant la statue de la République, elle ajouta :
«La gueuse! Elle ne sera pas fière quand Paris brûlera en ce jour-là».
…. Le feu du ciel s’ajoutera aux autres.
«Oui, précisa une autre fois Mélanie, il foudroiera certains points, le Palais Bourbon quatre vingts fois en une seconde [5] »
«Et les députés, s’écria l’abbé Rigaux, seront-ils dans l’enceinte ? »
«Vous êtes bien curieux ! Eh bien oui, ils seront suffoqués, morts, grillés».
Mélanie a «vu» la population s’efforcer de fuir Paris :
«des désordres inexprimables»… et d’indiquer :
«On sortira le premier jour, le deuxième jour avec grand’peine, le troisième jour on ne pourra plus».
Même les conducteurs de voitures qui «s’insulteront, blasphémeront, seront pris dans la même souricière»
Le tout dans «une fumée asphyxiante»
La prophétie de Prémol mentionne également l’incendie de Paris et sa destruction par le feu.
Et Mélanie disait à l’abbé Rigaux, en 1896 : «Paris sera brûlé par sa canaille»
Marie-Julie Jahenny :
condamne la «Chambre de l’Enfer» , «où se font les mauvaises lois», stigmatisant spécialement « la loi d’abomination »,
et met en relation un feu du ciel dans le passage suivant :
«Ils arriveront à attirer sur la France des châtiments de feu… Le ciel s’ouvrira par trois ouvertures épouvantables… Ce sera un effondrement de feux de différentes couleurs. Et ces trois effondrements épouvantables seront aperçus de tout le peuple… Il y aura des cris épouvantables, des pleurs, des gémissements, des tortures du corps… L’œil apercevra des figures difformes, des traits, mais des traits qui ne ressembleront pas aux enfants du Ciel… Dans ces trois effondrements de feu, il y aura un son lugubre… Et c’est à ce moment, où l’air deviendra une peste insupportable à l’odorat humain, mais surtout presque insupportable à l’odorat des élus… Ce sera à ce moment le grand déluge et le jugement de la Sodome coupable, le jugement des crimes accomplis… Le sol ne sera plus qu’un tombeau effondré; et, gisant sur ses pierres brûlantes, des cadavres inanimés…
Il ne restera rien de ce foyer où se forgent les mauvaises lois , d’où l’on va achever la mort de la foi dans les âmes; d’où l’on va jeter la dernière souillure dans l’âme des enfants dont la plupart sont déjà condamnés à ne jamais me voir, à ne jamais m’aimer »…
Et Marie-Julie Jahenny dit encore (révélation reçue en 1903) :
«Le feu du ciel tombera sur Sodome (Paris) et principalement sur cette salle de l’enfer où se fabriquent les mauvaises lois3. Elle sera engloutie et sa place sera comme une immense carrière de laquelle, jusqu’à la fin du monde, on ne pourra s’approcher sans un frémissement d’horreur».
Catherine Filljung est encore plus explicite. Son biographe rapporte :
«37. Catherine redoutait pour Paris le sort de Jérusalem.
Très souvent, autrefois, on l’avait entendu s’écrier en extase :
«0 Paris, seconde Jérusalem par tes crimes, seconde Jérusalem par ton châtiment».
«38. Après cela, elle voyait «comme le feu du ciel qui tombait».
C’était la vengeance divine. La grande ville était assiégée. Tandis que l’ennemi la pressait du dehors, elle était en proie aux fureurs de la révolution, et à une famine si horrible que les mères dévoraient leurs enfants».
«39. Les émeutiers saccageaient, incendiaient Paris, principalement les beaux quartiers.
«40. Après la guerre, Paris perdrait sa primauté; une autre ville, une ville du centre devenait la capitale…»
La ville capitale de la France, sa tête, c’est Paris. Dans les extases elle est souvent appelée » le Centre. «
II faut une capitale à tout royaume. Mais la fonction d’une capitale n’est pas de s’arroger, de centraliser tous les pouvoirs, ne laissant aux régions que le devoir de se soumettre.
La Monarchie catholique savait tenir compte des
richesses de chaque province et veillait à sauvegarder les droits des communautés, des familles, des corporations. La Révolution a tout détruit en centralisant tout à Paris. L’action d’un centre peut devenir catastrophique, s’il ne reconnaît pas de lois, hors de
celles qu’il fait lui-même.
À la Fraudais, Jésus pleure sur Paris, comme II pleura sur Jérusalem. Que de grâces Il a donné à cette ville ! Que de saints ! La Sainte Vierge l’honora de ses visites. Que de protections contre les menaces de destruction !
Mais le Centre est devenu la tête venimeuse sécrétant les mauvaises lois, les moeurs perverties, l’insouciance égoïste et jouisseuse, et tout le corps a été infecté de ces poisons, sans pouvoir défendre ses droits.
C’est à Paris, au Centre, au coeur de la France que le crime sacrilège de la décapitation de Louis XVI a été perpétré, en haine du Christ en haine de l’Église, en haine du droit divin. Paris est devenu la capitale de l’esprit anti-Christ, nouvelle Babylone, nouvelle Sodome.
C’est pourquoi elle devra subir un châtiment exemplaire qui la purifiera par le feu de cette possession mauvaise.
» Je tourne Mes regards vers cette ville impie, ville ingrate, n’es-tu pas bâtie sur une montagne de péchés ? N’as-tu pas fait couler des ruisseaux de sang ?
Autrefois, tu M’as donné des martyrs. Aujourd’hui, tu peuples l’enfer et tu dépeuples le Ciel. Oui, Ma Justice vous visitera !
Vous, familles chrétiennes, qui portez encore la Croix au fond du coeur, le souvenir de Mes bienfaits, fuyez cette ville ingrate qui périra par Ma Justice ! « 6 avril 1877
» Quand le gouvernement verra ces bouleversements et la révolte, il fera comme l’oiseau ! Il prendra son vol et passera dans un autre pays et la France se verra libre dans la révolution.
Le premier soulèvement se fera dans la ville de Paris et ce trône de mauvais rois s’écroulera comme la ville et ses victimes périront dans ses murs… Bien des fois les flammes et le feu se sont montrés dans cette ville criminelle, mais cette fois ce
sera la grêle de feu ensoufrée et qui étouffera les coupables.
Là, on violera les Tabernacles.
Là, on poursuivra les Pères de l’Église avec rage. Beaucoup ne sortiront pas. Je recevrai le sang des martyrs pour aider les vrais Français à obtenir la Victoire.
C’est là où les flammes dévoreront des églises, que la statue de Marie sera brisée et jetée au feu… La France n’aura pour elle aucun soutien. Elle sera seule et pourquoi ? Parce qu’elle n’a pas
un Roi. » 27 avril 1877
» Mes enfants, La punition fut promise sur la ville de Ninive,
et, aujourd’hui, une punition grave, une punition terrible est
promise à la nouvelle Ninive que J’ai tant aimée et qui est de Mon
Royaume. » 12 mai 1881
» Si le Centre ne se convertit pas, il sera brûlé. Les pierres
qui ferment les demeures ne préserveront plus, car le feu de la vengeance les réduira dans l’impossibilité de monter les murs nouveaux. » 28 novembre 1881
» Soudain il se lèvera un fruit déchirant du blasphème qui, du Centre de tous les maux, retentira partout. Tout à coup, au milieu du Centre, il y aura des voix, des cris, des chants odieux, des cris confus et le pauvre peuple sera sans avoir le temps d’échapper. Les rues seront fermées, les passages bouchés, un massacre douloureux au milieu de l’étendue du malheur.
Les véritables apôtres, connus par l’énergie de leur courage, ce sera sur ceux-là qu’ils voudront se venger avec rage et fureur, les deux jours, orage du ciel et de la terre, les éclats du tonnerre viendront avant leur époque (hiver). Leurs éclairs viendront sur la terre du royaume pendant les deux jours où se lèvera le terrible orage. Plus de repos au milieu du Centre, plus rien pour se délivrer pendant ces deux jours. Ils trancheront la tête aux uns avec les armes de la mort, et feront mourir les chrétiens avec des balles. Pendant deux jours et deux nuits, ni repos, ni sommeil sur
la terre. Beaucoup de monde périra. » 23 décembre 1881
» Il n’est pas qu’un châtiment
réservé à ce peuple ! «
En effet, sur le Centre, il y aura comme une accumulation des différentes punitions qui menacent la France : épidémies, pendant plusieurs mois, guerre civile, occupation étrangère, pillage, tremblements de terre provoquant l’effondrement de cette ville » minée « , incendies par fuites de gaz.
Le châtiment des trois jours de
ténèbres y sera particulièrement meurtrier. II sera aussi exemplaire, car il détruira » la salle de l’enfer « , où se prennent es lois infâmes qui empoisonnent la pauvre France : l’Assemblée
Nationale.
» Dans cette Sodome, il y aura des lieux tellement bouleversés qu’il ne restera plus un seul pavé en place. Il y a des lieux, surtout autour de cette cité, où l’on ne retrouvera pas une seule
âme. » 4 septembre 1902
» Le feu du Ciel tombera sur
Sodome et principalement sur cette salle de l’enfer, où se
fabriquent les mauvaises lois ; elle sera engloutie et à sa place, sera comme une immense carrière de laquelle, jus qu’à la fin du monde, on ne pourra s’approcher sans un frémissement d’horreur. Le
feu du Ciel se mêlera au feu de l’enfer. L’eau y sera semblable à du feu… Ce lieu va s’écrouler sur une immense distance aux alentours… Jamais, on n’oubliera ces marques de Dieu, restées
visibles sur une terre où il y a de si beaux sanctuaires dédiés à la Sainte Mère Immaculée. »
Toute la ville ne sera pas détruite. Les banlieues seront aussi éprouvées. La Sainte Vierge et Sainte Geneviève n’abandonneront pas les justes. Il y aura des miracles de protection en particulier à Notre-Dame des Victoires. » Des Anges
viendront enlever les Hosties menacées de profanation. «
Mais le message de toutes ces annonces répétées très souvent pendant la vie de notre amie est clair : fuyez Paris. La fuite du gouvernement sera l’ultime signal.
La Providence avertira en temps utile, il faut prier et se tenir attentifs à la Volonté divine. Jésus prévient longtemps à l’avance
pour éviter les effets mortels de la peur panique. Jusqu’au dernier instant de sursis, il écoutera les supplications de Ses » paratonnerres « , les âmes victimes, les familles chrétiennes, les communautés ferventes. » Ces choses arriveront, à moins que, par
un miracle de Dieu, cette ville ne se convertisse. «
À Dieu seul, rien n’est impossible… sauf de Se contredire !
Il n’est pas possible de fixer
précisément d’après les documents en notre possession, la chronologie des événements à Paris.
Pendant les 2 premières crises, ce sera la guerre, civile et étrangère, la persécution religieuse.
Le grand châtiment devrait terminer la troisième crise. En effet, il est annoncé que Le Roi qui aura commencé la reconquête depuis le milieu de la deuxième crise ne pourra y installer son gouvernement.
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