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vendredi 29 mars 2024

Sainte Gladys

Saint Charbel, est le saint patron du Liban et aussi le symbole d’union entre l'Orient et l'Occident. Après sa mort, des phénomènes extraordinaires se sont déroulés .

Saint Charbel saint patron du Liban et symbole d’union entre l’Orient et l’Occident. 

Saint Charbel, le saint patron du Liban est aussi le symbole d’union entre l’Orient et l’Occident.

Saint Charbel, né Youssef Antoun Makhlouf le 8 mai 1828 à Bekaa Kafra (Nord du Liban) est un prêtre est moine-ermite libanais de l’Eglise Maronite.

Il reçoit une éducation très pieuse qui lui donne dès l’enfance un goût prononcé pour la prière. Ce sera la caractéristique la plus marquante de sa vie de moine et d’ermite.
Encore enfant, il passait chaque jour quelques brebis que son père avait laissées, et pendant que les bêtes se reposer il s’agenouillé longuement dans une petite grotte transformer en oratoire, Cette grotte devint en quelque sorte son premier ermitage.

En 1851, âgé de 23 ans, Il fugue et se rend à pied au monastère de Notre-Dame de Maïfouk là où il passera sa première année monastique.
En 1852, ses supérieurs l’envoient au monastère de Saint-Maron à Annaya, où il entre dans l’ordre libanais maronite sous le nom de Charbel, l’un des premiers martyrs de l’église d’Antioche au IIe siècle.

Il vivra là-bas dans la prière et la réclusion volontaire pendant 16 ans.

En 1853, il prononce ses vœux définitifs dans ce même monastère. Et le 23 juillet 1859, il fut ordonné prêtre à Bkerké, le siège des patriarche maronites.

Après 20 années monastiques, il se retira solitaire dans un ermitage isolé des Saint-Pierre-et-Paul, et passa les vingt-trois dernières années de sa vie immergées en Dieu.
C’est là que Charbel allait dans le silence et l’obéissance parfaite à l’Église, vivre humblement et pratiquer chaque jour plus profondément toutes les vertus chrétiennes, partageant son temps entre l’adoration du Saint-Sacrement, de humble travaux manuels et la prière quasi perpétuelle.

Le cœur entièrement consacré à l’amour du Christ, isolé du monde et de tout le monde, il priait sans fin, dans l’ascèse et le sacrifice de soi, pour le monde et le salut de tous.
Il vécu ainsi une vie érémitique parfaite durant 23 ans et s’éteint doucement en 1898, la veille de Noël.

 


 

Après sa mort, des phénomènes extraordinaires se sont déroulés autour de sa tombe

Quelques heures après sa mise en terre, Des clarté inexplicable apparaissent autour de sa tombe.

Au bout de 45 jours d’expectative et d’hésitations, les autorités ecclésiastiques finissent par ordonner une première exhumation, le 8 février 1899. On trouve son corps absolument intact et souple sans la moindre décomposition. Il est alors lavé, revêtu de vêtements monastique neuf et placé cette fois dans un cercueil de bois qu’on transfère à la chapelle du monastère où il est emmuré.
Cette épanchement au cours des semaines écoulées avait été si abondant que les vêtements monastique dur être à nouveau changés.

28 ans plus tard, en 1927, le pape Pie XI ordonne une première exhumation officielle, et le même phénomène d’épanchement est de nouveau constaté.
Et c’est donc là que le pape Pie XI déclare Charbel vénérable serviteur de Dieu et autorise l’ouverture de son procès de béatification.
23 ans plus tard, le 25 février 1950, le suintement rosâtre se reproduit de nouveau hors du tombeau, cette fois au pied du mur de cloison.
Le corps de cinq Charbel était toujours identiquement intact, sa chair toujours parfaitement souple, aucunement dégradée, et le rapport d’expertise précise : « Tous les vêtements étaient littéralement imbibés de liquide séreux, et, ça et là, tachés de sang, spécialement l’aube. Le liquide, répandu sur tout le corps, s’était coagulé, comme solidifié par endroits. Cependant, le corps conservait toute sa souplesse, et on pouvait plier bras et jambes ».

À la surprise générale, tous les témoins présents constate avec émotion que le voile donc on avait recouvert le visage et les mains du vénérable Charbel, lors de la première exhumation officielle, Porter l’empreinte de ceux-ci, À la manière du LINCEUL DE TURIN.

Le 4 août 1950, par autorisation du Pape Pie XIII, on expose solennellement le corps de Charbel, dans un cercueil de verre, au cours d’une cérémonie religieuse. Puis le corps est de nouveau remis au tombeau est emmuré.
C’est à partir de cette date que des registres officiel commence à enregistrer les miracles, temps corporels que spirituels, qui se produisent devant le corps ou la tombe de saint Charbel.


 

Le procès de béatification 

Parmi de nombreux miracles attestés s’appuit sur deux en particulier :

– Guérison complète, instantanée et définitive, devant le tombeau du vénérable Charbel, en 1950, de la sœur Mariam-Abel Kamari (congrégation des sœurs des Saints-Coeurs), âgée de 30 ans, atteinte d’une ulcération chronique généralisée de la peau depuis 14 ans.

– Guérison complète, instantanée et définitive, devant le tombeau du vénérable Charbel, en 1950, d’Alexandre Obeid, forgeron libanais de la ville de Baabdat, aveugle de l’œil gauche par suite d’un déchirement irréversible de la rétine.
Depuis sa mort, c’est un saint thaumaturge, dont le tombeau n’a jamais cessé d’attirer des pèlerins toujours plus nombreux, chrétiens et non chrétiens et de toutes les cultures.

Au terme d’un nouveau procès de canonisation, d’une durée de 12 ans, le bien heureux Charbel est solennellement canonisé le 9 octobre 1977 par le pape Paul VI en la basilique Saint-Pierre de Rome.
Cette fois, le procès de canonisation se contentent de retenir un seul parmi les miracles attestés : Guérison complète, instantanée et définitive, devant le tombeau du vénérable Charbel en 1966, de Marie Assaf Arouad, âgée de 68 ans, souffrant d’un cancer incurable de la gorge (carninome épidermoïde indifférencié),
en détresse respiratoire aggravée, maintenu en vie par perfusion continuelle de sérum, ne pouvant plus se nourrir car souffrant de douleur atroce à chaque déglutition.

En décembre 1966, à la suite d’un pèlerinage au tombeau du saint, Elle fut instantanément est totalement guérie.

Saint Charbel est liturgiquement commémoré dans l’Église catholique entière le 24 juillet et l’Église du Liban le célèbre également le 24 décembre, jour de sa mort.

Sa tombe est au couvent Saint-Maron de Annaya au Liban.