Prière à Saint Joseph pour la restauration de Notre-Dame de Paris
Miracle de Saint Joseph le 19 mars 2018 !
L'escalier de Santa Fe
La construction de la chapelle
Mais revenons en 1852 : il devint rapidement évident que si les sœurs voulaient répondre aux intentions de Monseigneur Lamy, qui souhaitait en les amenant à Santa Fe, qu’elles instruisent les gens, qu’elles auraient besoin d’un couvent et d’une chapelle. Les charpentiers mexicains commencèrent à travailler pour les Sœurs. L’école fut terminée, et on l’appela le Collège de Lorette, de Notre Dame de Lumière. Des plans en vue de la construction d’une magnifique chapelle furent ensuite élaborés. Selon les annales des Sœurs pour cette année-là, la chapelle fut commencée le 25 juillet 1873. C’est le même architecte qui avait dessiné la cathédrale de Santa Fe, M Mouly, qui en fit les plans. Monseigneur Lamy venait de France, et il avait voulu que les Sœurs aient une chapelle similaire à la Sainte Chapelle de Paris, qu’il affectionnait particulièrement. Cela signifie qu’elle devrait être strictement gothique, et de fait, elle sera la première structure gothique à l’ouest du Mississipi.
Les constructeurs mexicains se remirent à travailler sur la nouvelle bâtisse. Elle serait grande ; plus grande en fait que la plupart les chapelles des missions de cette contrée. Elle devait faire 25 pieds de large (8 mètres environ) 75 pieds de long (23 mètres environ) et 85 pieds de haut (26 mètres environ). Sœur Madeleine note dans les annales que la construction de la chapelle était placée sous le patronage de Saint Joseph, « en l’honneur duquel nous recevions chaque mercredi la Sainte Communion afin qu’il nous prête assistance ». Puis elle ajoute : « nous avons été témoins de la puissance de son aide en plusieurs occasions ».
L’erreur de l’architecte
Les travaux de construction de la chapelle se réalisèrent non sans quelques difficultés financières, et de la part des Sœurs, avec un maximum de Foi. Ce n’est que lorsqu’elle fut presque terminée qu’elles se rendirent compte qu’une horrible erreur avait été faite. La chapelle en elle-même était magnifique : et la tribune pour la chorale ne l’était pas moins. Mais aucune liaison entre les deux n’avait été prévue ! Il n’y avait pas de cage d’escalier, et l’exceptionnelle hauteur de la tribune ne laissait pas la place d’en positionner un ordinaire. Mère Madeleine fit appel à de nombreux charpentiers pour essayer de construire un escalier : mais les uns après les autres, ils prenaient les mesures, réfléchissaient, puis ils hochaient la tête en disant tristement : « c’est infaisable, ma Mère ». Il semblait n’y avoir de choix qu’entre deux solutions : mettre une échelle pour atteindre le chœur, ce qui paraissait dans tous les cas peu pratique, ou raser tout l’édifice, pour le reconstruire différemment. La dernière solution eût été un crève-cœur.
Le mystérieux charpentier
Pourtant, quiconque connaît les Sœurs, quelles qu’elles soient, sait qu’elles ne se résoudront pas à des solutions aussi drastiques sans d’abord avoir dit quelque chose comme « attendons un peu, et faisons une neuvaine ». Et parce qu’elles avaient une grande dévotion à Saint Joseph, les Sœurs de Lorette lui adressèrent une neuvaine, afin qu’il trouve une solution convenable à la question.
Le dernier jour de la neuvaine, un homme aux cheveux gris se présenta au couvent, avec son âne et sa caisse à outils. Lorsqu’il vit Mère Madeleine, il lui demanda s’il pourrait aider les Sœurs à construire un escalier ! La Mère donna volontiers son accord, et il se mit au travail. Selon la tradition orale, passée par les sœurs présentes à l’époque aux suivantes, les seuls outils en sa possession étaient un marteau, une scie et une équerre en té. Il mit entre six et huit mois pour terminer le travail. Lorsque Mère Madeleine chercha à le payer, il avait disparu. Elle se rendit alors à la scierie locale pour payer au moins le bois utilisé. Là, personne ne savait quoi que ce soit à ce sujet. Il n’y a, à ce jour, aucune trace, aucun document établissant que ce travail n’ait jamais été payé.
L’extraordinaire escalier
L’escalier en colimaçon laissé par le vieil homme aux Sœurs est un chef d’œuvre, aussi magnifique qu’étonnant. Il fait deux tours complets (2 x 360°) sur lui-même. C’est un escalier colimaçon à noyau creux, il n’y a aucun pilier pour le soutenir, comme la plupart des escaliers circulaires en ont. Cela signifie qu’il est suspendu sans aucun support. Tout son poids repose sur sa première marche. Plusieurs architectes ont avancé qu’il aurait dû s’effondrer sur le sol au moment même où la moindre personne se serait aventurée sur la première marche : et il a cependant été utilisé quotidiennement pendant plus de cent ans. L’escalier a été assemblé exclusivement par des chevilles en bois : il n’y a pas un seul clou. La partie située sous les marches et entre le limon et la crémaillère ressemble maintenant à du bois léger : c’est en réalité du plâtre mélangé à du crin de cheval destiné à donner de la rigidité. Trop nombreux sont les visiteurs à avoir succombé à la tentation de rapporter chez eux un souvenir, et d’avoir pour cela arraché à l’escalier des morceaux de plâtre. En 1952, lorsque les sœurs ont fêté le centenaire de leur arrivée à Santa Fe, elles ont remplacé le plâtre, et l’ont peint de manière à lui donner l’aspect du bois vernis.
Expertises
J’ai parlé de l’escalier avec Monsieur Urban C. Weidner, architecte de la région de Santa Fe, et expert en boiseries. Il m’a dit qu’il n’avait jamais vu un escalier circulaire sur 360° qui ne soit pas supporté par un pilier central. Les autres escaliers colimaçons à noyau creux ont des dimensions nettement plus réduites. L’une des choses les plus surprenantes à propos de cet escalier, c’est, selon Monsieur Weidner, la perfection des courbes des limons. Il m’a expliqué que le bois est raccordé (en menuiserie on dit « enté ») sur les côtés des limons par neuf entures sur l’extérieur, et sept sur l’intérieur. La courbure de chaque pièce est parfaite. Comment cela a-t-il été réalisé dans les années 1870, par un homme travaillant seul, dans un endroit retiré, avec des outils des plus rudimentaires ? Cela n’a jamais été expliqué.
De nombreux experts on tenté d’identifier le bois utilisé, et de deviner son origine. Personne n’a encore été capable de produire un rapport satisfaisant sur la question. Les marches ont constamment été piétinées depuis plus de cent ans. Elles ne présentent des signes d’usure que sur les bords. Monsieur Weidner identifie ce bois comme « une sorte de pin granuleux sur les bords ». Il sait cependant avec certitude que ce bois au grain dur ne provenait pas du Nouveau Mexique. La nature exacte du bois utilisé, et l’endroit où le vieux charpentier se l’est procuré restent un mystère. Notre Mère la Sainte Eglise est toujours très circonspecte lorsqu’il s’agit de juger des choses surnaturelles. C’est pourquoi les Sœurs et les prêtres de la région de Santa Fe ont évité, dans le même esprit, de dire quelque chose de définitif à propos de l’escalier. Les Sœurs du Collège de Notre Dame de Lorette savent aujourd’hui, comme le disaient déjà Sœur Madeleine et sa communauté, que l’escalier était la réponse de Saint Joseph à leurs prières. Beaucoup se plaisent à penser que le charpentier était Saint Joseph lui-même. Pourtant les annales de la communauté comme les archives diocésaines sont silencieuses sur le sujet : les annales nous apprennent cependant que la chapelle Notre Dame de Lumière a été dédicacée le 25 avril 1878.
Tous ceux qui visitent l’édifice pour voir ce magnifique escalier circulaire, sont stupéfaits de sa beauté et de son caractère merveilleux. Mais personne ne peut donner d’explication satisfaisante pour sa construction et pour sa conservation. C’est vraiment un escalier inexplicable. Sœur M. Florian, O.S.F
Chronologie
Santa Fe est fondée par les espagnols, dix ans avant que les Pilgrims Fathers n’accostent en Nouvelle Angleterre.
1622 l’église Saint Francis de Santa Fe est construite
1812 l’ordre des Sœurs de Lorette est fondé le 25 avril dans le Kentucky
1823 le Mexique gagne son indépendance sur l’Espagne
1848 la partie sud-ouest des Etats-Unis leur est cédée
1849 le Vicariat du nouveau Mexique est établi, et confié à Monseigneur Jean-Baptiste Lamy
1852 les Sœurs de Lorette répondent à l’appel de Monseigneur Lamy qui demande des renforts pour instruire ses ouailles, en envoyant six sœurs enseignantes
1853 premiers bâtiments du collège
1854 le collège reçoit ses premières élèves
1855 des Sœurs supplémentaires arrivent à Santa Fe
1856 un troisième groupe de sœurs arrive à Santa Fe
1870-1880 ? ? construction de l’actuelle Cathédrale Saint Francis
1873 début des travaux de la Chapelle
1878 fin des travaux de construction de la chapelle
Neuvaines et prières en l'honneur de Saint Joseph, Patron de l’Église
"Je ne vois plus du tout Saint Joseph comme un vieillard cacochyme”
ゲーム開発初心者ならPythonPropos recueillis par Bruno Perrinet. Chrétiens Magazine : Docteur, le CFRDJ, Centre Français de Recherche et de Documentation sur Saint Joseph, dont vous êtes le secrétaire, nous interpelle, car enfin, les Evangiles disent peu de choses sur St Joseph, et on ne voit pas bien la nécessité et surtout la possibilité de faire des « recherches » sur St Joseph. Tout n’a-t-il pas été dit depuis le début de la joséphologie au 15ème siècle avec Gerson, puis au 16ème avec Ste Thérèse d’Avila et St François de Sales, deux docteurs de l’Eglise sans parler du « siècle d’or » de la joséphologie avec Monsieur Ollier, Bossuet, St Jean Eudes, etc ? Dr Doublier-Villette : C’est bien ce que je me suis dit quand Monsieur Nicolas Reveyron, me donna mon sujet de maîtrise d’archéologie à l’Université Lumière-Lyon II en 2003: Joséphologie, état de la question. Et lui-même pensait me donner un sujet facile, limité dans le temps (depuis le 15ème siècle) et dans l’espace (l’Occident). Le but de cet « état de la question » était de comprendre pourquoi le linteau de l’église du Boulou (près de Perpignan,) était à la gloire de St Joseph… dès le 12ème siècle. Mais, très vite, mes recherches devinrent interdisciplinaire et débordèrent dans l’espace (dans le monde entier et notamment en Egypte), et dans le temps (depuis 2.000 ans). Ma maîtrise se limita donc à un survol et à ouvrir les voies à mon mémoire de master 2 (ancien DEA) en vue d’une base de données ouverte aux chercheurs du monde entier. Ces deux mémoires, de maîtrise et de master 2, sont sur http://www.josephologie.info et ils ont été suivis par la publication d’un livre de vulgarisation: La saga de St Joseph, 2.000 ans d’histoire et d’œuvres d’art, 2.000 ans de cache-cache avec St Joseph. Ed. du CFRDJ, juin 2006. C. M. : D’accord donc sur l’utilité de « recherches » pour retrouver des connaissances perdues, mais est-ce que vos trouvailles artistiques et archéologiques (et jusqu’en Egypte au 4ème siècle!) changent vraiment notre regard actuel sur St Joseph? Dr D-V. : Vous me direz si elles changent le votre. En tout cas, elles ont changé le mien et je ne vois plus du tout Saint Joseph comme un vieillard cacochyme, s’essoufflant sur la route d’Egypte en courant derrière l’âne portant Marie et Jésus. Je ne le vois plus pauvre, pire: miséreux, pour élever le Verbe incarné et prendre soin de Sa Mère, sa chaste épouse. Aujourd’hui, je crois fermement, à la suite d’auteurs, isolés mais tissant une trame, que Saint Joseph devait avoir à peine quelques années de plus que Marie lors de leur mariage. Joseph devait avoir une remarquable formation religieuse et professionnelle pour instruire l’humanité du Créateur! Etant un excellent ouvrier, il gagnait bien la vie de sa famille… et donc il n’était pas pauvre, mais il vivait en « esprit de pauvreté ». Et tout à l’avenant ! Et cela permet de mieux comprendre l’importance de St Joseph, reconnue dans l’urgence, en des »temps difficiles » (le Pape prisonnier à Rome, la Commune en France) quand Pie IX décréta St Joseph Patron de l’Eglise universelle (décret Quemadmodum Deus) le 8 décembre 1870. Et, le 15 août 1889, Léon XIII promulgua l’encyclique Quamquam pluries qui faisait demander la protection de Saint Joseph « en raison des menaces qui pèsent sur la famille humaine ». C. M. : Ces menaces « qui pèsent sur la famille humaine » ne sont-elles pas plus fortes aujourd’hui qu’en 1889? Dr D-V. : Les papes contemporains ne s’y sont pas trompés : c’est un véritable appel au secours qu’ils lancent à Saint Joseph… mais les prêtres et les fidèles n’y font que trop peu écho. * Quels sont par exemple les prêtres qui citent St Joseph au canon de la Messe, avec Marie et avant les apôtres, comme l’a demandé Jean XXIII (décret Novis hisca temporitus du 13 novembre 1962) ? Or la Messe c’est le salut du monde… * Qui évoque encore et qui essaye de mettre en pratique: • la Lettre apostolique Neminem fugit de Léon XIII (14 juin 1892), montrant Joseph comme « modèle parfait de la communauté familiale »? • le Motu proprio Bonum sane de Benoît XV (25 juillet 1920), faisant de Joseph, le « modèle des ouvriers »? • les actes de Pie XI établissant St Joseph… »patron de la Russie » (1930) et « protecteur de tous ceux qui lutteront contre le communisme athée » (1937)? • les actes de Pie XII instituant Saint Joseph « patron des artisans » le 1er mai 1955, puis « modèle de vie intérieure » par l’ encyclique Haurietis aquas, le 15 mai 1956? • l’exemple de Jean XXIII qui offrit son anneau papal au tableau miraculeux de Saint Joseph à Kalisz: signe d’allégeance…et ce, pour l’ouverture du concile Vatican II, en 1962? • les allocutions de Paul VI sur la paternité de Joseph ? • et les magnifiques Exhortations Apostoliques de Jean-Paul II: – Familiaris consortio, du 22.11.1981, décrivant la Sainte Famille comme l’Eglise en miniature, et le prototype de toutes les familles chrétiennes? – Redemptoris custos, du 15 août 1989, où le « gardien du Rédempteur » est montré dans un « pèlerinage de foi » parallèle à celui de Marie décrit dans la Constitution dogmatique Lumen gentium ? Suite de l’interview dans le prochain N°: sur la « glorification de Saint Joseph »: vers des dogmes ? • Tournée de conférences du Docteur Doublier-Villette (une ou deux conférences complémentaires. L’idéal étant un séminaire avec deux conférences illustrées, et une cérémonie religieuse): en convenir avec le Docteur Doublier-Villette: 04 75 25 11 88 et doublier@josephologie.info • le site du CFRDJ :
ゲーム開発初心者ならPython• trois livres édités par le CFRDJ: – « La saga de St Joseph » (25 € + 3 € de port) – « l’apocryphe de St Joseph à La Salette » (2ème édition) (10 € + port) – « les Actes du 1er symposium français sur St Joseph », à Cotignac en 2008. (15 € + port), avec les conférences des P.Yannik Bonnet, Verlinde, Samuel-Bernard, Perrier, Doze, du musicologue de Cambridge, Christian Gaumy, etc Port gratuit pour commande des trois livres à: CFRDJ, Sanctuaire St Joseph, 26400 Allex. • 10ème symposium quadriennal et international sur St Joseph du 26 septembre au 8 octobre 2009, à Kalisz, Pologne, sur le thème : « St Joseph, protecteur, aujourd’hui ». Traduction simultanée en 6 langues (français, espagnol, italien, allemand, anglais et polonais). Programme définitif et prix à demander à l’adresse ci-dessus. Inscription rapide pour bénéficier des prix de charter. (réservation: 100 € à envoyer au CFRDJ)
Saint Joseph - par Thierry Fourchaud
Fêté le 19 mars.
« C’était un juste » selon l’évangile de saint Matthieu, chapitre 1, verset 19.
Les évangélistes ne nous ont conservé aucune parole de ce « juste », le charpentier de Nazareth en Galilée, fiancé de Marie, la Mère de Dieu, époux aussi discret que fidèle et chaste. Père nourricier et éducateur de Dieu le Fils, devenu homme parmi les hommes de ce village, il le fait tout simplement.
L’ange lui avait dit: « Ne crains pas de prendre chez toi, Marie, ton épouse. » et Joseph prit chez lui Marie son épouse.
L’ange lui avait dit : « Lève-toi, prends l’enfant et sa mère » et Joseph se leva, prit l’enfant et sa mère et s’enfuit en Egypte.
Il est un vrai fils d’Abraham: il croit et fait ce que Dieu lui dit. Lorsque Jésus disparaît pendant trois jours lors du pèlerinage à Jérusalem, Joseph accompagne la quête de Marie: « Ton père et moi nous te cherchions. » Et Jésus, redescend à Nazareth, soumis à celui qui, sur terre, a autorité paternelle sur lui. Dieu savait à qui il confiait son Fils unique et sa Mère, à celui qui était l’homme le plus capable au monde d’être la parfaite image du Père .
Les Orientaux honorent saint Joseph depuis toujours. Les Latins l’ont méconnu longtemps.
Sa fête
Les Syriens et les autres Orientaux font la fête de saint Joseph le 20 juillet, mais on la fait le 19 mars dans les églises d’Occident.
La fête de Saint Joseph se place au 19 mars, et elle était très suivie par les artisans (il était charpentier) puis par les ouvriers – Saint Joseph voit son culte prendre de l’ampleur dès le XVIe siècle ; – en 1621 le pape Grégoire XV éleva la fête du de Saint Joseph le 19 mars au rang de fête d’obligation ; – en 1642 le pape Urbain VIII confirma à son tour le rang de cette fête ; – en 1661, après l’apparition et le miracle de la source de Cotignac, Mgr Joseph Ondedei, évêque de Fréjus, reconnaît officiellement les apparitions de saint Joseph et en approuve le culte ; – cette même année 1661 le roi Louis XIV consacre la France à saint Joseph, chef de la Sainte Famille à la suite des apparitions de Cotignac
Le 8 décembre 1870 le pape Pie IX déclara officiellement Saint Joseph Patron de l’Eglise universelle, et fit du 19 mars une fête solennelle ; – en 1889, le pape Léon XIII démontra comment Saint Joseph est le modèle des pères de famille et des travailleurs, et lui décerna officiellement le titre de « saint patron des pères de famille et des travailleurs », titre que la piété populaire lui avait déjà décerné depuis des siècles ; – en 1955 le pape Pie XII reprit bien volontiers le principe de la fête du travail en instituant la solennité de Saint Joseph artisan et en la fixant au 1er mai de chaque année ; Saint Joseph est ainsi l’un des saints que l’on fête deux fois dans l’année (19 mars et 1er mai) ; – le pape Jean XXIII a ajouté son nom au canon de la Messe.
L’Eglise va le redécouvrir !
Marthe Robin, la stigmatisée de Châteauneuf-de-Galaure, dont la cause de béatification est introduite, a dit un jour à propos de saint Joseph cette parole : « L’Eglise va le redécouvrir ! »
Litanies de Saint Joseph
Seigneur, aie pitié de nous.
Jésus-Christ, aie pitié de nous.
Seigneur, aie pitié de nous.
Jésus-Christ, écoute-nous.
Jésus-Christ, exauce-nous.
Père du Ciel, qui es Dieu,
Fils, Rédempteur du monde, qui es Dieu,
Esprit Saint, qui es Dieu,
Trinité Sainte, qui es un seul Dieu,
Sainte Marie,
Saint Joseph,
Honneur de la famille de David,
Gloire des Patriarches,
Epoux de la Mère de Dieu,
Chaste gardien de la Vierge,
Nourricier du Fils de Dieu,
Vigilant défenseur du Christ,
Chef de la Sainte Famille,
Joseph très juste,
Joseph très chaste,
Joseph très prudent,
Joseph très courageux,
Joseph très obéissant,
Joseph très fidèle,
Merveille de patience,
Ami de la pauvreté,
Modèle des travailleurs,
Honneur de la vie de foyer,
Gardien des vierges,
Soutien de familles,
Consolation des malheureux,
Espérance des malades,
Patron des mourants,
Terreur des démons,
Protecteur de la Sainte Eglise,
Agneau de Dieu, qui efface les péchés du monde,
Agneau de Dieu, qui efface les péchés du monde,
Agneau de Dieu, qui efface les péchés du monde,
Il l’a établi maître de sa maison, Seigneur, aie pitié de nous.
Jésus-Christ, aie pitié de nous.
Seigneur, aie pitié de nous.
Jésus-Christ, écoute-nous.
Jésus-Christ, exauce-nous.
pardonne-nous, Seigneur
exauce-nous, Seigneur
prends pitié de nous
Il lui a confié son domaine.
* Prions :
Seigneur, ta divine Providence a choisi Saint Joseph pour être l’époux de ta sainte Mère. Fais qu’en nous mettant ici-bas sous sa protection, nous méritions de l’avoir pour intercesseur dans le ciel. Toi qui vis et règnes avec le Père et le Saint-Esprit, Dieu pour les siècles des siècles.
Amen.
Thierry F et la fraternité de la Cité de l’Immaculée
La Bonne Nouvelle – Cité de l’Immaculée
BP 24 – 53170 SAINT DENIS DU MAINE France
Téléphone : 02.43.64.23.25