Le livre le plus complet sur le miracle de Guadalupe, préfacé par le Cardinal Barbarin.

Notre-Dame de Gadalupe
par: David CARON OLIVARES et Jean-Pierre ROUSSELLE
264 pages
ISBN 97823646314

Les deux plus importants sanctuaires mariaux au monde sont en Amérique latine.

Notre-Dame-de-Guadalupe au Mexique occupe la première marche du podium des sanctuaires mariaux les plus fréquentés. Pas moins de 20 millions de fidèles sont venus du monde entier en 2017, afin de vénérer la « Vierge brune » mystérieusement imprimée sur la tunique de Juan Diego en 1531.

Le deuxième lieu de pèlerinage le plus fréquenté, après Guadalupe, est le sanctuaire brésilien d’Aparecida. Ils sont plus de 13 millions de pèlerins à être venus prier la statue miraculeuse de la Vierge découverte en 1717. A l’occasion de son tricentenaire, le sanctuaire a connu une affluence record, ainsi que le relève son recteur, le père João Batista de Almeida.

L’Amérique latine avec plus de 432 millions de catholiques est bien devenue l’un des centres vitaux du catholicisme.

Notre Dame de Guadalupe, l'image face à l'histoire et à la science - David Caron Olivares et Jean-Pierre Rousselle

Entrons dans le mystère de l’Image de Notre-Dame de Guadalupe qui, depuis 1531, n’a pas fini de nous étonner. Elle représente sans aucun doute le miracle le plus surprenant et durable de la Vierge Marie qui nous a laissé son vrai visage.

Par son amour maternel, La Vierge de Guadalupe réussit à arrêter les sacrifices humains pratiqués par le peuple aztèque, à évangéliser un peuple qui avait perdu son identité et, quatre siècles plus tard, à intéresser notre science moderne, qui s’étonne que cette Image, imprimée sur un tissu d’origine végétale, nous révèle tous ses secrets.

En effet, diverses études scientifiques ont montré l’étonnante actualité de l’Image dans des domaines très variés : optique, ophtalmologie, mathématiques, astronomie, médecine, orographie et musique, nous montrant à nouveau que, à Guadalupe comme dans d’autres lieux saints, la science n’est pas étrangère aux apparitions de la Vierge et, plus globalement, au fait religieux chrétien.

David Caron Olivares, ingénieur électrotechnicien, et Jean-Pierre Rousselle, responsable scolaire retraité, enthousiastes et passionnés de Notre-Dame de Guadalupe, travaillent conjointement depuis 2004 à l’approfondissement du vaste ensemble d’éléments scientifiques, historiques et religieux qui constitue «l’événement guadalupéen ».

En juin 2011, ils organisent en France, les conférences de Mgr Eduardo Chávez Sánchez, Recteur de l’Institut Supérieur d’Etudes Guadalupéennes de Mexico.

Par la suite, soucieux de faire connaître la vérité de Guadalupe, ils présentent aux lecteurs français cet ouvrage, résumé actualisé de l’apparition mariale qui est sans doute la plus fascinante depuis l’origine de la chrétienté.

La Vierge de Guadalupe de Mexico

Nous voilà près de 5 siècles plus tard et tous les experts qui l’ont étudiée en arrivent à la même conclusion : L’image imprimée recto verso dans la tilma de Diego est inexplicablement conservée dans son état d’origine, les couleurs trouvées ne proviennent d’aucun pigment connu sur terre, on a même pu retrouver la représentation cosmologique du jour de l’apparition présente sur la tunique.

Selon beaucoup de scientifiques qui ont inspecté l’image miraculeuse on peut voir dans ses yeux aussi précisément que dans un œil humain.

En 1929 le photographe officiel de la Basilique Alfonso Marcue a trouvé dans l’œil une image qui ressemblait à un homme barbu se reflétant dans l’œil droit ( ne serait-ce pas Diego et l’évêque Mgr Zumarraga ? ). Après bien des hésitations il décida d’en informer les autorités de la Basilique. On lui dit de garder le silence ! ce qu’il fit pendant 20 ans. Mais le 29 Mai 1951 Jose Carlos Salinas Chavez redécouvre la même image dans l’œil gauche…

Découvertes sur le Tilma de la Vierge de Guadalupe - Par André Fernando García

Voici ce que la science a découvert sur le Tilma (Vêtement de pauvre qualité tissé en fibres de cactus) de la Vierge de Guadalupe:

Vierge de Guadalupe
Impératrice des Amériques

1.Les études ophtalmologiques effectuées sur les yeux de Marie ont révélé que lorsqu’ils sont exposés à la lumière, leur rétine se contracte, et que lorsque la lumière cesse, elle revient à un état de dilatation, tout comme celle d’un oeil vivant.

2.Le Tilma de l’Indien Juan Diego, tissé en fibres de maguey (un cactus), se maintient à une température constante de 37°, qui est celle d’un corps humain vivant.

3.L’un des médecins qui ont analysé le Tilma a placé son stéthoscope sous la bande noire ceignant la taille de Marie et a entendu un coeur battre à cent-quinze pulsations par minute, le rythme cardiaque du foetus humain dans le sein maternel.

4.Aucune trace de peinture n’a été constatée sur le Tilma. À une dizaine de centimètres de l’image, on ne voit plus que les fibres de cactus du tissu: les couleurs disparaissent. Aucune étude scientifique n’a permis de découvrir l’origine de la coloration, ni la manière dont l’image aurait été peinte. Il a été impossible de détecter des vestiges de coups de pinceaux ou de toute autre technique de peinture connue. Des scientifiques de la NASA ont confirmé que la matière de la peinture ne correspondait à aucun élément connu sur terre.

5.Lors de l’examen du Tilma sous rayon laser, on s’aperçut qu’il n’y avait aucune coloration sur l’avant ou l’arrière du vêtement et que les couleurs ne touchaient pas la surface de ce dernier, qu’elles «survolent» littéralement à une distance de trois dixièmes de millimètre.
N’est-ce pas extraordinaire?

6.Le tissu grossier du Tilma a une durée de vie normale n’excédant pas une vingtaine ou une trentaine d’années. Il y a plusieurs siècles, une copie de l’image fut peinte sur une pièce identique du même tissu de maguey, qui se désintégra au bout de quelques dizaines d’années. Or, pendant près de cinq cents ans, le vêtement miraculeux portant l’image de Marie est resté aussi solide que le jour où il fut tissé. La science ne parvient pas à expliquer comment il ne s’est pas encore désintégré.

7.En 1791, de l’acide chlorhydrique fut accidentellement renversé sur le côté supérieur droit du Tilma. Or, en l’espace de trente jours, sans avoir subi aucun traitement spécial, le tissu ainsi attaqué se reconstitua miraculeusement.

8.Les étoiles figurant sur le manteau de Marie reflètent la configuration exacte qui était la leur dans le ciel de Mexico le jour du miracle:

Sur le côté droit du manteau de Marie, on peut voir la reproduction des constellations australes:

-Au sommet, on reconnaît les quatre étoiles faisant partie de la constellation d’Ophiucus(ou Serpentaire);

-En dessous, à gauche, on voit la constellation de la Lyre, et à droite, où semble figurer une pointe de flèche, apparaît l’amorce de la constellation du Scorpion;

-Au milieu se trouve la constellation du Loup, et à sa gauche, on aperçoit l’extrémité de celle de l’Hydre;

-Plus bas, on voit clairement la Croix du Sud, au-dessus de laquelle figure le carré légèrement incliné de la constellation du Centaure.

Sur le côté gauche du manteau de la Vierge, on reconnaît les constellations de l’hémisphère Nord:

-Sur son épaule figure une partie des étoiles de la constellation du Berger: à sa droite, la Chevelure de Béréniceet, en dessous, la constellation des Chiens de Chasse; à sa droite, Thuban, étoile la plus brillante de la constellation du Dragon;

-En dessous des deux étoiles parallèles (qui font encore partie de la Grande Ourse), on trouve des étoiles d’une autre paire de constellations: l’Aurigeet, en bas, trois étoiles du Taureau.

Ainsi peut-on identifier en totalité, et à leur emplacement exact, les quarante-six étoiles les plus brillantes visibles à l’horizon de la vallée de Mexico.

9.En 1921, un homme dissimula une bombe de forte puissance dans un arrangement floral qu’il plaça au pied du Tilma. L’explosion détruisit tout ce qui se trouvait autour de ce dernier, qui demeura intact.

10.Des scientifiques ont constaté que les yeux de Marie présentaient les caractéristiques réfractives de l’oeil humain.

11.Dans les yeux de Marie (dont le diamètre ne dépasse pas 8 à 9 mm), on a découvert de minuscules silhouettes humaines qu’aucun artiste n’aurait pu peindre, et la même scène figure dans chaque oeil.
À l’aide de techniques numériques, on a élargi les yeux un grand nombre de fois, ce qui a révélé que chaque oeil reflétait l’image de l’Indien Juan Diego ouvrant son Tilma en face de l’évêque Zumarraga. Et toute la scène ne mesure qu’un quart de millimètre…

Il est évident que toutes ces choses inexplicables ont été conçues dans un but précis, qui était d’attirer notre attention.

Ont-elles attiré la vôtre?

Pour finir, examinons trois autres faits surprenants:

1.-En langue indienne, guadalupe signifie «écraser la tête du serpent», ce qui correspond parfaitement au chapitre 3, verset 15 de la Genèse, où Marie est présentée comme victorieuse du démon.

2.-L’image illustre également un détail du chapitre 12 de l’Apocalypse : «Puis il parut dans le ciel un grand signe: une femme revêtue de soleil, la lune sous ses pieds».

3.-La Vierge porte à la taille une bande noire symbolisant sa grossesse, afin de montrer que Dieu voulait que Jésus fût né dans les trois Amériques pour demeurer dans le coeur de chaque Américain.
«Je louerai l’Éternel tant que je vivrai, Je célébrerai mon Dieu tant que j’existerai.»(Ps. 146:2)

Le présent exposé a pour unique objet de vous prouver que la Vierge sera toujours avec vous, chaque fois que vous aurez besoin d’elle, qu’elle ne vous abandonnera jamais et que vous serez toujours son fils ou sa fille particulièrement aimé(e).

N’oubliez jamais les paroles qu’elle a adressées à Juan Diego :
“ Mon cher petit enfant, écoute-moi… Ne crains rien. Ne suis-je pas ici, moi ta mère ?
N’es-tu pas sous ma protection ?…
Ne te trouves-tu pas enveloppé dans mon manteau, blotti dans mes bras ? ”

Ô ma souveraine, Sainte Vierge Marie. Je me place sous votre céleste protection, et votre personnelle défense, me confiant en votre maternelle miséricorde. Je vous recommande mon corps et mon âme, aujourd’hui, tous les jours de ma vie et à l’heure de ma mort. Je vous confie, mon avenir éternel, toutes joies, mes angoisses et misères d’ici-bas, ma vie et la fin de ma vie. Que par votre très sainte intercession et par vos mérites, toutes mes intentions et mes actions soient conformes à votre volonté et à celle de votre fils.
Ainsi soit-il.

(Original latin : O Dómina mea sancta Maria, in tuam benedíctam fidem ac singulárem custódiam, et in sinum misericórdiae, hódie et quotidie, et in hora éxitus mei ánimam meam et corpus meum tibi comméndo : omnem spem meam et consolatiónem meam, omnes angústias et misérias meas, vitam et finem vitae meae tibi commítto, ut per tuam sanctissimam intercessiónem, et per tua mérita, ómnia mea dirigántur et disponántur ópera secúndum tuam tuíque fílii voluntátem.Amen)

Le sanctuaire Notre Dame de Guadalupe au Mexique

Parler de Notre Dame de Guadalupe c’est parler d’espérance car elle dit à tous les hommes: «Mon Fils, ne crains rien. Ne suis-je pas là, moi qui suis ta Mère? N’es-tu pas sous ma protection? Ne reposes-tu pas heureux en mon sein? (verset 119 Nican Mopohua).

Notre Dame de Guadalupe a voulu se manifester à l’humanité dans un pauvre indien, Juan Diego Cuahtlatoatzin, canonisé par Jean Paul II le 31 juillet 2002.
Connue sous le nom de “La Morenita” (La Vierge brune), elle apparaît en décembre 1531 à Juan Diego sur la colline de Tepeyac, au cœur du Mexique. Un événement certifié non seulement par la tradition populaire mais également par un document historique écrit en Nahuatl, la langue aztèque et intitulé «Nican Mopohua».

Le “Nican Mopohua” qui signifie “Voici le récit…”, décrit les 5 apparitions de la Vierge de Guadalupe à Juan Diego et l’image miraculeuse imprimée sur sa tilma, un manteau de qualité modeste, en fibres d’agave.

Lors d’une apparition, la Vierge prie Juan Diego de se rendre chez l’évêque de Mexico, Juan de Zumarraga, et de lui demander de bâtir une chapelle en son honneur sur le sommet de la colline. Sceptique, l’évêque réclame au Ciel un signe pour s’assurer de la véracité de la demande de Marie par l’intermédiaire de son humble messager.

Juan Diego revoit donc la Sainte Vierge et lui fait part de la requête de l’évêque. Elle lui dit: «C’est bien, tu reviendras ici demain pour porter à l’évêque le signe qu’il t’a demandé. La Vierge demande alors à Juan Diego d’aller au sommet de la colline de Tepeyac, d’y cueillir des fleurs et de les lui apporter.
Or, c’est le 11 décembre, en plein hiver, et Tepeyac, près de Mexico, se trouve à 2500 mètres d’altitude. Cependant, là où auparavant il n’y avait que chardons et épines, Juan Diego découvre de magnifiques fleurs de la région de Castille, en particulier des roses qui brillent sous les gouttes de rosée. Il en fait une gerbe qu’il place dans son poncho puis redescend vers la Sainte Vierge.

La Dame prend les fleurs, les dispose dans la tunique de Juan Diego et précise: «Mon fils, ces fleurs variées sont la preuve, le signe que tu porteras à l’évêque».
L’Indien retourne alors au palais de l’évêque, lui dit que la Sainte Vierge lui a demandé d’aller cueillir des fleurs pour lui donner le signe qu’il désirait, et déploie sa tunique devant lui : les fleurs tombent et sur la tunique se trouve imprimée le portrait de la Sainte Vierge. Elle a les mains jointes, les yeux baissés, et est revêtue d’un voile constellé de 46 étoiles d’or.

Enceinte, elle a un visage très doux et rayonnant ; un regard d’une tendresse et d’une pureté si humaine et surnaturelle, que l’évêque et ceux qui l’entourent, bouleversés, s’agenouillent.

Mgr de Zumarraga demande pardon à la Sainte Vierge de n’avoir pas immédiatement réalisé sa volonté et commande aussitôt la construction du sanctuaire qui accueille le portrait de Notre-Dame de Guadalupe.
L’image imprimée dans le manteau de Juan Diego est inexplicablement conservée.

Avec 14 millions de visiteurs par an Notre Dame de Guadalupe, au Mexique, est le second monument catholique le plus visité au monde, après le Vatican. Le sanctuaire marial le plus fréquenté au monde Chaque année, le 12 décembre, date anniversaire du jour où la Vierge est apparue à un paysan indien, Juan Diego, d’immenses foules (entre 4 à 5 millions de personnes ) se pressent dans les rues de Mexico, convergent en pèlerinage vers le nord-est de la ville, se rendant sur le mont Tepeyac, lieu de l’apparition en 1531. Après être venu une première fois au Mexique en janvier 1999, le Pape Jean Paul II, âgé de 82 ans et malgré son état de santé fragile s’est rendu à nouveau dans ce pays, le 30 juillet 2002 . Le lendemain, il canonisait l’indien Juan Diego Cuauhtlatoatzin (Aigle-qui-Aime) devenu chrétien et à qui la Vierge de Guadalupe était apparue en décembre 1531. La conversion prodigieuse des Aztèques au christianisme par la Vierge de Guadalupe En 1521, la capitale de la civilisation Aztèque tombe sous les forces armées de Cortez. Moins de 20 ans plus tard, neuf millions d’habitants qui avaient professé pendant des siècles une religion polythéiste et prônant des sacrifices humains les plus cruels, sont convertis au christianisme. En effet, chaque année les Aztèques offraient au moins 20.000 hommes, femmes et enfants en sacrifice humain à leurs dieux féroces et assoiffés de sang. En 1487, durant une longue cérémonie qui dura 4 jours lors de la consécration d’un nouveau temple à Tenochtitlan, quelque 80.000 captifs furent tués en sacrifice humain au sanguinaire dieu serpent Quetzalcoatl… Que s’est -il passé en ces temps-là pour qu’il y ait une conversion aussi incroyable et sans précédent historique ? Pour Jean Paul II, Notre Dame de Guadalupe est « la Mère des Amériques » En 1531, une « Dame du Ciel » apparut à un pauvre Indien à Tepeyac, une colline au Nord-Ouest de la Cité de Mexico; Elle se présenta comme la mère du Vrai Dieu, lui donna des instructions pour que l’évêque fit construire une église sur le lieu et laissa une image d’elle même imprimée miraculeusement sur son tilma. Le tilma est un vêtement de pauvre qualité fait à base de cactus qui aurait dû se déteriorer en 20 ans. Aujourd’hui, après 470 ans, il ne montre aucun signe de détérioration et défie toutes les explications scientifiques de son origine. Apparemment, l’image reflète même dans ses yeux l’indien qui était en face d’elle en 1531. Sa Sainteté le Pape Jean Paul II visita par deux fois le sanctuaire, se prosterna devant l’image, implora son assistance maternelle et l’invoqua comme la Mère des Amériques.