Interview de Pierre Barnérias pour la sortie de HOLD-OUT.

Pierre Barnerias

INTERVIEW de M. Pierre Barnérias, journaliste et producteur, à l’occasion de la sortie de HOLD OUT, le dernier volet de l’enquête sur la crise sanitaire du Covid-19, menée par « Le collectif Citizen Light », un collectif de journalistes . 

Des révélations ont été faites par des vaccinés-victimes, par des médecins, du personnel  soignant et par des scientifiques, voir des collectifs de scientifiques et de journalistes, alertant depuis 2020 sur les effets secondaires constatés chez certains : Pertes d’audition, acouphènes, dérèglements menstruels, paralysie faciale, apparition de caillots sanguins et de thromboses veineuses, arythmie, myocardites..
Près de 140.000 effets indésirables seraient recensés en France, on parle de surmortalité post vaccinale, de modification de l’ADN, de la destruction des défenses immunitaires, d’atteinte à la fertilité… Mais finalement la vie continue : malgré des pétitions, des commissions d’enquêtes, des poursuites juridiques, des documentaires, des interviews, des révélations, tout ça glisse, le rouleau compresseur avance avec sa 4è dose et les suivantes.

AC – Pierre Barnérias, bonjour, le 9 avril 2022 votre film HOLD-OUT, est publié en ligne alors que finalement, 6 milliards de personnes à travers le monde auraient accepté de se faire injecté un produit (appelé vaccin) en phase de tests. Il serait pourtant inefficace contre le Covid-19 (puisque les « vaccinés » peuvent attraper le virus, et le transmettre); et il pourrait avoir des effets secondaires graves.

AC – Êtes-vous en guerre contre la politique sanitaire de la présidence Macron ?

Pierre Barnérias – Non, je suis en guerre contre personne. La seule guerre qui m’intéresse c’est celle contre l’injustice et le mensonge. Et là, on est servi. Je suis horrifié de constater que les journalistes aujourd’hui dans leur ensemble se contentent de relayer le discours officiel. Il n’y a quasiment plus de journalistes d’investigation. C’est dramatique.

AC – Mais comment interprétez- vous cette dénaturation du métier journalistique ?

Pierre Barnérias – Les journalistes aujourd’hui sont les nouveaux rois, ils ne vont pas chercher l’info. 

Les journalistes depuis des années sont les plus grands moralisateurs de la vie publique. Ce sont les grands prêtres les grands rabbins du XXI siècle. Ils vous disent ce qui est bien ou mal. C’est juste insupportable de les entendre. C’est un mélange de prétentions, d’ignorance et et d’incompétence.

Aujourd’hui pour être un bon journaliste, il suffit de savoir lire les dépêches. La presse était le contre-pouvoir, ce contre-pouvoir a disparu. Ils n’enquêtent pas et se contentent de lire les dépêches. 

AC – Vous les mettez tous dans le même sac ?

Pierre Barnérias – Ecoutez, certains font un peu de résistance, mais c’est quand même énorme de ne pas être capable vérifier la véracité des dépêches, de découvrir au bout d’un an qu’il y a des effets secondaires d’une injection qui n’est pas un vaccin.
C’est juste pas possible que la presse n’ait pas réagi sur les essais cliniques Pfizer qui étaient catastrophiques. Comment se fait-il que les administrations de santé aient pu valider ces essais catastrophiques sans que la presse n’ait eu la curiosité d’investiguer ?  Pourquoi la presse ne révèle rien sur l’origine du virus Covid-19 alors que l’on sait que ce virus sort d’un labo : HOLD-Up l’avait montré d’une façon certaine, avec des arguments scientifiques. 

AC – Quel est le pitch de HOLD-OUT ?

Pierre Barnérias – avec HOLD-UP nous avons montré qu’il y avait un loup dans la bergerie : déclencher une pandémie mondiale sur un virus dont ont guéri quasiment à 99,95%  ? Quelque chose n’allait pas, et HOLD-UP (2020) a questionné les gens.

Avec HOLD-ON a touché le coeur des gens en montrant les dégâts des vaccins et les effets secondaires.

Et dans HOLD-OUT nous démontrons ce qu’il y a dans la composition des vaccins et nous expliquons pourquoi nous en sommes arrivés là. 

AC – Est-ce que le concept de réalisation de HOLD-OUT est différents des précédents films ?

Pierre Barnérias – Oui nous sommes allés à la rencontre du personnel de santé qui a été interdit de soigner. Nous avons trouver de rares médecins qui eux continuent de braver les interdits et qui soignent ! Nous avons recueillis des milliers de témoignages d’effets secondaires.

AC – Qu’est-ce qui vous anime dans cette production de qualité, vous semblez être seul contre tous, vous n’avez pas peur de vous retrouver en hôpital psychiatrique comme pour le professeur Fourtillan qui a connu cette « mésaventure » ? 

Pierre Barnérias – Non, la seule chose serait le découragement devant l’attentisme et l’indifférence. Je pense que le monde va mourrir non pas du manque de merveille, mais du manque d’émerveillement. Parce que nous sommes dans un monde qui est juste magnifique, mais à cause d’une poignée de personnes hors-sol prétentieux qui veulent contrôler la planète et devenir dieu à la place de Dieu.
pour moi, seule une explication surnaturelle peut donner sens à ce délire transhumaniste qui détruit notre humanité sous le prétexte fallacieux de la santé.  Regardez, Monsieur Breton – un commissaire européen –  nous explique maintenant préparer un passeport sanitaire pour juin prochain : un passeport sanitaire ?? Mais de qui se moque t-on ? Ou est la presse ?

AC – J’imagine que vous avez eu des retours, des témoignages, qui vous ont conforté à faire un, puis deux, et trois films, trois enquêtes en fait. C’est un travail colossal. Quelle est votre méthode de travail ?

Pierre Barnérias – Nous répartissons les tâches entre journalistes, exactement comme dans une rédaction, et après nous assemblons l’ensemble des éléments d’enquêtes, puis nous montons les sujets de manière la plus pédagogique possible.  

AC – Quels sont vos prochains projets ?

Cet été nous lançons la branche internationale de Citizen Light, qui est une agence de presse indépendante, dans laquelle ce sont les citoyens qui seront les journalistes.

Nous allons lancer un Crowdfunding à travers l’Europe pour dire aux citoyens de bonne volonté : « si vous avez une information que vous jugez utile, juste et vérifiable, vous nous l’envoyez et notre équipe de journaliste dans chaque pays; fera un travail d’investigation, et si cette information est utile elle sera diffusé. Et dans chaque pays nous allons faire une télé, une radio et un magazine gratuit de presse écrite. 

Et puis nous avons un film « Miracles » sur un tout autre sujet qui  sortira au cinéma, sur trois grandes énigmes scientifiques « le miracle de la tilma de Guadalupe, le Saint Suaire de Turin, et les écrits de Maria Valtorta.

 

Le projet Citizen Light consiste à créer une agence de presse indépendante et libre de toute pression, avec comme objectifs :

  • Amener une information juste, pertinente, vérifiable afin d’éclairer chaque citoyenne et chaque citoyen.
  • Éviter la censure sur des sujets clés : science, droit, santé, souveraineté, autonomie, économie… 
  • Proposer un média libre et indépendant, sans conflits d’intérêt. 
  • Porter des projets, mettre en lumière des initiatives positives.

Plusieurs journalistes professionnels issus de grands médias (TF1, CANAL+, Radio France, AFP…), ont déjà rejoint ce projet. 

 

Citizen Light