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mercredi 20 novembre 2024

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Covid-19 – Éloge des lanceurs d’alerte

Il était possible que l’opinion dominante soit construite sur des critères intègres non équivoques,  permettant le consentement libre et éclairé sur la responsabilité individuelle. Mais lorsque la décision politique imposait l’obligation vaccinale sous peine de désocialisation, des voix s’élevèrent, les lanceurs d’alerte se retrouvèrent de facto en résistance d’une doxa qui ne les écoutaient pas. Mieux, l’opinion dominante, les ridiculisait, les insultait, les méprisait. Ils n’avaient pas le droit de cité, et encore moins de prouver, les dangers des décisions politiques sur la population. Les forces de la confrontation entre la terre et le fer, étaient inégales. 

Depuis l’obligation vaccinale sournoise, les tribunaux submergés de saisines d’indemnisations des fonctionnaires en réparation du préjudice causé du fait de la loi, ne désemplissent pas.

Rappelons pour l’exemple, qu’en août 2021, l’instauration du pass sanitaire était assorti dans les Yvelines d’un arrêté préfectoral sans limitation de durée, obligeant la présentation d’un QR-code à l’entrée des centres commerciaux. Arrêté illégal et  finalement suspendu par la justice à la suite d’un recours gagné par deux avocats, Maîtres Koraitem et Sibille.

Au cours des années 2019-2023 une minorité de  responsables politiques conservateurs et souverainistes en France et au parlement européen, s’informaient et construisaient leur opinion au fur et à mesure contre la politique de l’obligation, dans le sillage des lanceurs d’alerte qui s’évertuaient à informer la population alors que le show médiatique sanitaire télévisé de la pensée unique battait son plein. Ils étaient leurs relais influents, mais peu nombreux chez nous : Villiers, Poisson, Philippot, Dupont-Aignant,… et quelques autres au Parlement européen : Joron, Lacapelle… A l’unisson d’autres députés européens : le Croate Kolakusic, le député Roumain Terhes…

Aux Etats-Unis, Robert Kennedy Jr (neveu du Président JFK), s’est démené pour prêcher dans le désert, à l’instar de nombreux scientifiques à travers le monde : tous abreuvés d’insultes et ignorés des grands médias « publics ».

Le Sénat se déjugera t-il ?

L’Assemblée Nationale a voté hier, 4 mai 2023, l’abrogation de l’obligation vaccinale des personnels soignants, mais maintenant le processus législatif conduit cette loi au Sénat. 

Or le vote du Sénat est incertain si l’on en juge par les votes décisifs rendus depuis quatre ans par cette assemblée, qui a validé gaiement toute la politique Covid-19 gouvernementale de la présidence Macron. Un temps, le sénateur Karouchi a émit du bout des lèvres, des doutes sur le narratif peu engageant de la doxa. Messieurs Larcher, Retailleau, Bas, Malhuret etc. contribuaient étonnamment à la propagande gouvernementale et en votaient les textes. Pourquoi le Sénat se déjugerait-il maintenant ?

[Communiqué] La communauté hospitalière et hospitalo-universitaire dénonce le vote de la proposition de loi sur l’abrogation vaccinale anti #COVID19 pour les soignants à l’Assemblée et appelle les sénateurs à rejeter le texte lors de son prochain examen dans la Chambre Haute.


Lionel Collet est nommé président de la Haute Autorité de santé

COMMUNIQUÉ DE PRESSE – Mis en ligne le 20 avril 2023

20 avril 2023

Le Président de la République a nommé le Pr Lionel Collet en qualité de président de la Haute Autorité de santé à compter du 19 avril 2023. Il succède au Pr Dominique Le Guludec, dont le mandat débuté en décembre 2017 s’est achevé le 9 avril dernier.

Le Pr Lionel Collet a été désigné par M. Emmanuel Macron, président de la République, pour présider la HAS à compter du 19 avril 2023 par un décret publié au Journal Officiel aujourd’hui. Cette nomination a été approuvée le 12 avril dernier par les commissions des affaires sociales de l’Assemblée nationale et du Sénat.

"Protégés par la loi"

Soucieux de l’intérêt général, des personnes physiques signalant ou révélant une grave atteinte à l’intérêt général sont protégés par la loi n°2016-1691 du 9 décembre 2016, dite loi « Sapin 2 » (dont les personnes morales sont exclus).

« Un lanceur d’alerte est une personne physique qui révèle ou signale, de manière désintéressée et de bonne foi, un crime ou un délit, une violation grave et manifeste d’un engagement international régulièrement ratifié ou approuvé par la France, d’un acte unilatéral d’une organisation internationale pris sur le fondement d’un tel engagement, de la loi ou du règlement, ou une menace ou un préjudice graves pour l’intérêt général, dont elle a eu personnellement connaissance. Les faits, informations ou documents, quel que soit leur forme ou leur support, couverts par le secret de la défense nationale, le secret médical ou le secret des relations entre un avocat et son client sont exclus du régime de l’alerte ». (Loi « Sapin 2 » du 09 décembre 2016)

L'inefficacité de l'injection

L’inefficacité des injections a été courageusement annoncé et expliqué par les lanceurs d’alerte à contre courant du discours officiel. Il l’a été par des chercheurs, des professeurs, des pharmaciens, des médecins, autres professionnels médicaux.

Cette alerte s’est fracassée sur le mur médiatique du mépris, et l’onde de la dénégation semait confusion et indifférence, esquivant les rares débats de fond et les investigations journalistiques et politiques pourtant exposés au cinéma par la trilogie qui leur donnait la parole 
HOLD UP (une politique mondiale pour un virus ayant 99,95% de guérison),
HOLD-ON (les effets secondaires),
HOLD-OUT (la composition des vaccins)

Les lanceurs d’alerte ont prévenu que de graves atteintes à l’intérêt général portaient sur les injections qui :

  • n’étaient pas des vaccins,
  • ne protégeaient pas contre le virus,
  • n’empêchaient pas la transmission du virus.
 
Aujourd’hui ces alertes sont enfin passées dans l’opinion, pourtant sans aucune référence à ceux qui se risquèrent à les exposer inlassablement depuis quatre ans… La moindre des chose serait maintenant de les décorer officiellement pour service rendu et même à titre posthume : L’éminent professeur Montagnier n’avait honteusement pas été écouté, loin de là…
Mirror - Des dizaines de milliers de britanniques morts

Des dizaines de milliers de britanniques supplémentaires à l’habitude sont morts de Mai à Décembre 2022 hors cause COVID…et les autorités Britanniques disent ne pas comprendre ce qui se passe. D’autres pays comme L’Espagne… font le même constat !

Des traitements médicaux utiles

Contraignant l’inoculation des injections, les traitements étaient mis au piloris. Il était devenu ridicule de lutter contre ce virus par des traitements ayant faits leurs preuves depuis des années, alors que des injections toutes nouvelles devaient être le seul recours face à ce virus Covid-19. 

Dissimulation des effets secondaires graves

Il ne nous appartient pas de faire le procès de cette dissimulation qui finira par s’imposer. En revanche, près de 800 célébrités sont décédées après avoir été vaccinées contre le Covid-19. Combien d’anonymes ?

Méprisés, écartés, ignorés.

Au pays des droits de l’homme, les salariés n’avaient pas le droit d’avoir de doutes sur ces injections, ni de préserver leur intégrité physique. Ils étaient ipso facto jetés au dehors de la société qui ne voulait plus les voir ni les entendre, mettant en difficulté autant de familles dépouillées de leur métier, et donc de salaires :

  • personnel médical
  • personnel soignant
  • pompiers
  • militaires
  • autres…
  • anonymes…
Ils le sont toujours, suspendus au vote sénatorial.

« J’ai eu le vaccin Johnson qui a failli me tuer, qui m’a déformé le cœur, j’ai eu 4 opérations depuis le 3 janvier 2022.(…) J’ai failli en mourir (du vaccin), alors que je n’ai pas eu le Covid. »

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